Note de la fic :
Les Zombies n'existent pas : Partie II
Par : 17XX
Genre : Horreur, Action
Statut : C'est compliqué
Chapitre 5 : IV - Pas de problèmes sans solutions
Publié le 27/07/2011 à 20:01:36 par 17XX
-Bastien ! Oh ! Réveille toi grosse larve il est midi !
-Hein ? Midi sérieux ?!
Je me lève doucement et regarde ma montre. Effectivement il est dejà midi.
-Ca fait longtemps que j'ai pas autant dormi.
-Le Capitaine veut te voir.
-Ah ? Ok, bah je m'habille et j'y vais.
J'enfile un pantalon et un tee-shirt, mange un morceau et va rapidement au pavillon des militaires du Secteur 7. Lorsque j'ouvre la porte, je vois le Capitaine et ses hommes attablés et discutant gravement.
-Capitaine ?
-Ah Bastien. Désolé de t'avoir réveillé mais tu fais parti à part entière du groupe pour moi. Viens t'asseoir.
Je m'exécute et m'assoie. Une carte de la Bretagne est posé sur la table.
-Pour commencer je te présente le Soldat première classe Allen, un soldat américain qui a perdu toute son unité lors du crash de l'un de leur hélico.
Le contact radio est rompu. Il parle parfaitement français et à une bonne expérience du terrain. Je l'ai donc recruté à notre unité, afin de...d'augmenter les effectifs, dit-il en baissant les yeux.
Allen me fait un signe de tête.
Le Capitaine reprend sa respiration et continue :
-Et le caporal Alvarez, déjà en poste ici lors de notre arrivée, il a souhaité se joindre à nous.
Alvarez me fit un léger signe de tête également.
-Bon, alors, je t'ai fait venir pour avoir ton avis. Les ressources commencent à sérieusement manquer et plusieurs solutions s'offrent à nous. La première serait de déplacer le camp, aux environs d'une zone plus peuplée pour trouver toujours plus de denrées et de ressources. Mais le général Gomez, dirigeant la ville n'est pas d'accord avec moi.
A ce moment je remarque avec surprise qu'un autre homme se tient avec nous dans la pièce, derrière moi, à l'opposé de la porte.
Vu le nombre de médailles sur sa poitrine, aucun doute c'est bien le général Gomez.
-La deuxième solution, serait de partir avec les trois quarts des effectifs pour faire un maximum de provisions, mais sa laisserait la ville avec de faibles défenses.
Par contre, vu le nombre de camions à notre disposition, nous aurions tout ce qu'il faut pendant plusieurs mois, quatre ou cinq tout au plus.
Ca pourrait être efficace mais ce serait un cercle vicieux, tout les cinq mois la ville serait pratiquement sans défense, et il faudra aller toujours plus loin. Les zones exploitables pour nous serait ici, ici et ici, dit-il en pointant sur la carte diverses grandes villes.
-Vous connaissez mon avis Capitaine.
D'après sa voix, le Général doit avoir soixante ans environ.
-La troisième, serait de foncer vers l'aéroport le plus proche, prendre possession de plusieurs avions de bonne taille, et aller voir ailleurs. On pense qu'un pays « île » comme l'islande pourrait avoir été moins touché. Le problème c'est que pour déplacer 15 000 personnes, il en faudrait des aller-retours.
-On a que deux pilotes de ligne civils et un copilote de l'armée. Soit deux avions à la fois. Même si on arrivait à trouver des 747 ou autre foutue connerie d'avion, il nous faudrait plusieurs aller-retours de plusieurs heures, ceux qui resteront au sol seront en danger à chaque minute. Ce qui n'est pas envisageable, souligna Michael.
-Si ma juridiction s'appliquait sur votre unité, cette discussion n'aurait pas lieu d'être, Capitaine.
Le Capitaine lança un regard noir au Général, visiblement, il y a des tensions entre eux.
Il fit un signe de tête à ses hommes qui s'en allèrent, y compris le Général, après un dernier regard vers nous.
Je ne sais pas quoi penser, dur de prendre un décision quand on sait que chaque solution risquera la vie de peut-être les derniers survivants du pays.
-Autre chose, le scientifique et son équipe veulent te voir, il a été évasif, mais, je crois que c'est par rapport à cette fille que tu as trouvé à Montpellier.
-Hein ? Midi sérieux ?!
Je me lève doucement et regarde ma montre. Effectivement il est dejà midi.
-Ca fait longtemps que j'ai pas autant dormi.
-Le Capitaine veut te voir.
-Ah ? Ok, bah je m'habille et j'y vais.
J'enfile un pantalon et un tee-shirt, mange un morceau et va rapidement au pavillon des militaires du Secteur 7. Lorsque j'ouvre la porte, je vois le Capitaine et ses hommes attablés et discutant gravement.
-Capitaine ?
-Ah Bastien. Désolé de t'avoir réveillé mais tu fais parti à part entière du groupe pour moi. Viens t'asseoir.
Je m'exécute et m'assoie. Une carte de la Bretagne est posé sur la table.
-Pour commencer je te présente le Soldat première classe Allen, un soldat américain qui a perdu toute son unité lors du crash de l'un de leur hélico.
Le contact radio est rompu. Il parle parfaitement français et à une bonne expérience du terrain. Je l'ai donc recruté à notre unité, afin de...d'augmenter les effectifs, dit-il en baissant les yeux.
Allen me fait un signe de tête.
Le Capitaine reprend sa respiration et continue :
-Et le caporal Alvarez, déjà en poste ici lors de notre arrivée, il a souhaité se joindre à nous.
Alvarez me fit un léger signe de tête également.
-Bon, alors, je t'ai fait venir pour avoir ton avis. Les ressources commencent à sérieusement manquer et plusieurs solutions s'offrent à nous. La première serait de déplacer le camp, aux environs d'une zone plus peuplée pour trouver toujours plus de denrées et de ressources. Mais le général Gomez, dirigeant la ville n'est pas d'accord avec moi.
A ce moment je remarque avec surprise qu'un autre homme se tient avec nous dans la pièce, derrière moi, à l'opposé de la porte.
Vu le nombre de médailles sur sa poitrine, aucun doute c'est bien le général Gomez.
-La deuxième solution, serait de partir avec les trois quarts des effectifs pour faire un maximum de provisions, mais sa laisserait la ville avec de faibles défenses.
Par contre, vu le nombre de camions à notre disposition, nous aurions tout ce qu'il faut pendant plusieurs mois, quatre ou cinq tout au plus.
Ca pourrait être efficace mais ce serait un cercle vicieux, tout les cinq mois la ville serait pratiquement sans défense, et il faudra aller toujours plus loin. Les zones exploitables pour nous serait ici, ici et ici, dit-il en pointant sur la carte diverses grandes villes.
-Vous connaissez mon avis Capitaine.
D'après sa voix, le Général doit avoir soixante ans environ.
-La troisième, serait de foncer vers l'aéroport le plus proche, prendre possession de plusieurs avions de bonne taille, et aller voir ailleurs. On pense qu'un pays « île » comme l'islande pourrait avoir été moins touché. Le problème c'est que pour déplacer 15 000 personnes, il en faudrait des aller-retours.
-On a que deux pilotes de ligne civils et un copilote de l'armée. Soit deux avions à la fois. Même si on arrivait à trouver des 747 ou autre foutue connerie d'avion, il nous faudrait plusieurs aller-retours de plusieurs heures, ceux qui resteront au sol seront en danger à chaque minute. Ce qui n'est pas envisageable, souligna Michael.
-Si ma juridiction s'appliquait sur votre unité, cette discussion n'aurait pas lieu d'être, Capitaine.
Le Capitaine lança un regard noir au Général, visiblement, il y a des tensions entre eux.
Il fit un signe de tête à ses hommes qui s'en allèrent, y compris le Général, après un dernier regard vers nous.
Je ne sais pas quoi penser, dur de prendre un décision quand on sait que chaque solution risquera la vie de peut-être les derniers survivants du pays.
-Autre chose, le scientifique et son équipe veulent te voir, il a été évasif, mais, je crois que c'est par rapport à cette fille que tu as trouvé à Montpellier.