Note de la fic :
Les Zombies n'existent pas : Partie II
Par : 17XX
Genre : Horreur, Action
Statut : C'est compliqué
Chapitre 4 : Rencontre.
Publié le 27/07/2011 à 13:51:00 par 17XX
Chapitre III – Rencontre.
22h30, la nuit est tombée depuis longtemps, tout le camp est plongé dans le silence, à part la musique du bar de la place, qui devrait fermer dans pas longtemps. Nathan et Mika me proposent de prendre quelques bière et d'aller sur la plage, j'accepte. On voit pas grand chose mais le bruit des vagues et le sable sont reposant, la soirée se passe bien. Jusqu'à ce que...
-Arrête ! Tu dis vraiment n'importe quoi Mika ! S'exclama Nathan en explosant de rire.
-Mais si j'te le dis ! Tu les connais pas les réalisatrice, des vraies chaudasses !
Mika prétend qu'il s'est tapé sa réalisatrice sur le plateau d'une émission connue. Mais je ne les écoutes qu'à moitié, j'ai un mauvais préssentiment en regardant en face, et ça se confirme, une puissante fusée rouge s'élève dans les airs et explose, éclairant le ciel, elle doit être à une dizaine de kilomètres.
-Oh putain ! Fait Nathan, c'est une fusée de détresse ça non ?!
Je lui confirme et m'empresse de courir vers l'avant poste de l'armée, ou sont logés le Capitaine et ses hommes. Ces derniers jours il a recruté deux autres militaires qui ont perdus leur unité, je ne les connais pas encore.
-Capitaine ! Criais-je en arrivant essouflé.
-Je sais Bastien !
Effectivement, lui et ses hommes sont entrain d'enfiler leur matériel et de prendre leur armes.
-L'unité du Lieutenant Baumann va nous appuyer, tu n'es pas obligé de venir Bastien.
Je le regarde avec insistance pour lui faire comprendre.
-Bon d'accord ! Allez récupère ton arme, t'es tétu hein ! Soldats, allons-y.
Le Capitaine accompagné de Michael, Lilian et ses deux nouveaux hommes dont je ne connais pas encore le nom s'élancent vers les voitures, des 4x4 militaires. L'unité du Lieutenant Baumann est déjà prête. Je les rejoins rapidement lorsque que quelqu'un m'appelle :
-Bastien !
-Nathan ?! Quoi ?
-Tu crois quand même pas que je vais te laisser y'aller seul ! Dit-il en mettant son arme dans le dos.
Ah Nathan... Je ne l'aurais vraiment pas supporté si il avait succombé à l'explosion... Les deux 4x4 traversent le pont à toute vitesse vers la lumière qui s'est déjà affaiblit, à mon avis ça doit être des survivants qui ont entendu l'appel radio comme nous.
Nous arrivons vers une grande clairière au bord de la route, la fusée éclaire maintenant très faiblement la zone, nous allumons nos lampes, l'unité du Lieutenant a continué légèrement plus loin pour sécuriser la zone en amont.
La clairière est vide. On inspecte la zone mais rien.
-Lâchez vos armes !
Je ne connais pas cette voix.
-LACHEZ, VOS ARMES !!
Cinq, puis d'autres, en tout huit hommes sortent de la pénombre du bois, leur armes pointé vers nous. Ils sont habillés en militaires. Qu'est-ce que c'est que ce bordel ?!
-Vous faites quoi soldats ?! Lance le Capitaine sans pour autant lâcher son arme.
-Vous avez des problèmes d'audition Capitaine ? Dites à vos hommes de lâcher vos putains d'armes, vous nous donnez les clés du 4x4, toutes les munitions que vous avez et les provisions si vous en avez.
-A quoi ça rime Capitaine ?! Murmura Michael au Capitaine son arme toujours en main.
-Lâchez vos armes, dit-il toujours en fixant l'homme, vous êtes quoi, des pillards c'est ça ? Vous avez prêté serment soldat ! Hurla-t-il en regardant le groupe.
-Le serment n'est plus valable, il n'y a plus de pays, plus de gouvernement, plus d'armée, seulement des humains cherchant à survivre parcequ'ils se font bouffer par d'autres humains ! On se débrouille comme on peut.
-Et le message radio ? C'est pour ça que vous êtes ici non ? Demanda Michael.
-Vous rigolez ? On va pas venir s'encroûter ici, c'est le meilleur moyen d'y passer. Bon assez parlé, maintenant qu'on a tout ce qu'il faut, on va vous laisser pourrir ici, dit-il avec un sourire mauvais.
Mais il est trop tard. En quelques secondes, des infectés sortent de tout les côtés et se jettent sur tout le monde. Les pillards, et nous. Les tirs fusent, je ne vois rien et tir à l'aveuglette, chaque balle qui explose dans le canon éclaire pendant un fraction de seconde la clairière entière. Soudain, tout s'arrête. Les infectés sont au sol, y compris les pillards. Tous avec une balle dans la tête.
-Wow, si j'avais su les degâts qu'on peut faire même sans viser, murmura Michael.
-Je ne crois pas que c'est nous, répondit le Capitaine, fixant les bois.
D'autres hommes en sorte, habillés en militaire également. Mais leur armes ne sont pas pointés sur nous.
-Sergent Jimmy Pirelli, Capitaine ! Content d'avoir pu aider. Ils sont quatre, et ont l'air épuisés.
-D'ou vous sortez sergent ? Demanda le Capitaine toujours méfiant.
-C'est nous qui avons lancé la fusée, ces pillards nous collaient au cul depuis quelques temps. On a réussi à les semer mais on a été attaqué par des infectés, d'ou la fusée, car on savait que vous n'étiez pas loin.
-Vous êtes là grâce à l'appel radio ?
-Exact.
Quelques secondes plus tard l'unité du Lieutenant Baumann accouru vers nous, demandant ce qu'il se passe. Le Capitaine ramena tout le monde pour un débriefing, Nathan et moi retournons chez nous, mais cette nuit là je n'ai pas trouvé le sommeil.
22h30, la nuit est tombée depuis longtemps, tout le camp est plongé dans le silence, à part la musique du bar de la place, qui devrait fermer dans pas longtemps. Nathan et Mika me proposent de prendre quelques bière et d'aller sur la plage, j'accepte. On voit pas grand chose mais le bruit des vagues et le sable sont reposant, la soirée se passe bien. Jusqu'à ce que...
-Arrête ! Tu dis vraiment n'importe quoi Mika ! S'exclama Nathan en explosant de rire.
-Mais si j'te le dis ! Tu les connais pas les réalisatrice, des vraies chaudasses !
Mika prétend qu'il s'est tapé sa réalisatrice sur le plateau d'une émission connue. Mais je ne les écoutes qu'à moitié, j'ai un mauvais préssentiment en regardant en face, et ça se confirme, une puissante fusée rouge s'élève dans les airs et explose, éclairant le ciel, elle doit être à une dizaine de kilomètres.
-Oh putain ! Fait Nathan, c'est une fusée de détresse ça non ?!
Je lui confirme et m'empresse de courir vers l'avant poste de l'armée, ou sont logés le Capitaine et ses hommes. Ces derniers jours il a recruté deux autres militaires qui ont perdus leur unité, je ne les connais pas encore.
-Capitaine ! Criais-je en arrivant essouflé.
-Je sais Bastien !
Effectivement, lui et ses hommes sont entrain d'enfiler leur matériel et de prendre leur armes.
-L'unité du Lieutenant Baumann va nous appuyer, tu n'es pas obligé de venir Bastien.
Je le regarde avec insistance pour lui faire comprendre.
-Bon d'accord ! Allez récupère ton arme, t'es tétu hein ! Soldats, allons-y.
Le Capitaine accompagné de Michael, Lilian et ses deux nouveaux hommes dont je ne connais pas encore le nom s'élancent vers les voitures, des 4x4 militaires. L'unité du Lieutenant Baumann est déjà prête. Je les rejoins rapidement lorsque que quelqu'un m'appelle :
-Bastien !
-Nathan ?! Quoi ?
-Tu crois quand même pas que je vais te laisser y'aller seul ! Dit-il en mettant son arme dans le dos.
Ah Nathan... Je ne l'aurais vraiment pas supporté si il avait succombé à l'explosion... Les deux 4x4 traversent le pont à toute vitesse vers la lumière qui s'est déjà affaiblit, à mon avis ça doit être des survivants qui ont entendu l'appel radio comme nous.
Nous arrivons vers une grande clairière au bord de la route, la fusée éclaire maintenant très faiblement la zone, nous allumons nos lampes, l'unité du Lieutenant a continué légèrement plus loin pour sécuriser la zone en amont.
La clairière est vide. On inspecte la zone mais rien.
-Lâchez vos armes !
Je ne connais pas cette voix.
-LACHEZ, VOS ARMES !!
Cinq, puis d'autres, en tout huit hommes sortent de la pénombre du bois, leur armes pointé vers nous. Ils sont habillés en militaires. Qu'est-ce que c'est que ce bordel ?!
-Vous faites quoi soldats ?! Lance le Capitaine sans pour autant lâcher son arme.
-Vous avez des problèmes d'audition Capitaine ? Dites à vos hommes de lâcher vos putains d'armes, vous nous donnez les clés du 4x4, toutes les munitions que vous avez et les provisions si vous en avez.
-A quoi ça rime Capitaine ?! Murmura Michael au Capitaine son arme toujours en main.
-Lâchez vos armes, dit-il toujours en fixant l'homme, vous êtes quoi, des pillards c'est ça ? Vous avez prêté serment soldat ! Hurla-t-il en regardant le groupe.
-Le serment n'est plus valable, il n'y a plus de pays, plus de gouvernement, plus d'armée, seulement des humains cherchant à survivre parcequ'ils se font bouffer par d'autres humains ! On se débrouille comme on peut.
-Et le message radio ? C'est pour ça que vous êtes ici non ? Demanda Michael.
-Vous rigolez ? On va pas venir s'encroûter ici, c'est le meilleur moyen d'y passer. Bon assez parlé, maintenant qu'on a tout ce qu'il faut, on va vous laisser pourrir ici, dit-il avec un sourire mauvais.
Mais il est trop tard. En quelques secondes, des infectés sortent de tout les côtés et se jettent sur tout le monde. Les pillards, et nous. Les tirs fusent, je ne vois rien et tir à l'aveuglette, chaque balle qui explose dans le canon éclaire pendant un fraction de seconde la clairière entière. Soudain, tout s'arrête. Les infectés sont au sol, y compris les pillards. Tous avec une balle dans la tête.
-Wow, si j'avais su les degâts qu'on peut faire même sans viser, murmura Michael.
-Je ne crois pas que c'est nous, répondit le Capitaine, fixant les bois.
D'autres hommes en sorte, habillés en militaire également. Mais leur armes ne sont pas pointés sur nous.
-Sergent Jimmy Pirelli, Capitaine ! Content d'avoir pu aider. Ils sont quatre, et ont l'air épuisés.
-D'ou vous sortez sergent ? Demanda le Capitaine toujours méfiant.
-C'est nous qui avons lancé la fusée, ces pillards nous collaient au cul depuis quelques temps. On a réussi à les semer mais on a été attaqué par des infectés, d'ou la fusée, car on savait que vous n'étiez pas loin.
-Vous êtes là grâce à l'appel radio ?
-Exact.
Quelques secondes plus tard l'unité du Lieutenant Baumann accouru vers nous, demandant ce qu'il se passe. Le Capitaine ramena tout le monde pour un débriefing, Nathan et moi retournons chez nous, mais cette nuit là je n'ai pas trouvé le sommeil.