Note de la fic :
Les Zombies n'existent pas : Partie II
Par : 17XX
Genre : Horreur, Action
Statut : C'est compliqué
Chapitre 13 : Fuite.
Publié le 03/08/2011 à 17:40:15 par 17XX
L’équipe au complet se tiens devant le pont. Prêts à partir.
-Bon. En route. Dit le Capitaine.
Les quatre 4x4 sont au complet, les camions sont prêts aussi à partir.
-Sans regrets ? me murmura Nathan.
-Sans regrets.
Si je n’avais pas l’estomac noué, j’aurai s presque trouvé cette scène émouvante. Fini les « vacances » …
Ca y’est. Le convoi s’élance vers Rennes. La ville est maintenant sans défenses. Le premier groupe est parti il y a une heure. Ils seront de retour demain, mais en attendant, si il y a la moindre attaque…
Les deux premières heures de route se passent sans problèmes notables. Jusqu’à ce que…
-Capitaine ! Cria le soldat pilotant la tête de convoi.
-Qu’est-ce qu’il se passe soldat ?
-La route est bloquée chef !
-Bloquée ? Bloquée par quoi ?! Rétorqua le Capitaine, le ton irrité.
-Vous voudriez pas le savoir…
Le genre de chose à ne pas dire. Nous nous empressons de sortir des véhicules et voyons…un véritable mur de cadavres.
-Mais…Qui a pu faire ça ?? demanda un soldat, choqué.
La pile de cadavres doit bien faire deux mètres de haut. Il y a au minimum cinquante cadavres…
-Il faut trouver une route, dit Allen.
-On peut contourner par ici, dit un lieutenant en pointant du doigt un panneau.
-Vous étiez du coin ?
-Ouais. J’étais en faction à la base de Finistère.
-D’accord. Allons-y.
Ce détour nous a fait perdre une heure de plus. Nous arrivons enfin à Rennes, qui a dû subir les dégâts de l’explosion car la moitié de la ville est effondrée.
-Prions pour que le supermarché du coin ne soit pas dévasté… murmura Alexis à Nathan.
J’aperçois un insigne Géant Casino. Par Miracle, le bâtiment est intact.
-Ok, on se deploi ! Position défensive sur le parking, les autres, embarquez le maximum de matériel !
Tout le monde accourt vers l’entrée et s’affaire à ramassez le maximum de provisions, deux 4x4 remplis de soldats partent vers le Lidl d’à côté, le premier camion benne est rempli à moitié au bout d’une heure. Le soleil ne va pas tarder à se coucher. Il faut faire vite.
Deux heures. Les deux camions sont presque remplis, on garde de la place pour le matériel de labo. Mais tout le monde s’interrompt lorsqu’on entend un bruit sourd…Un bruit régulier.
-Ca me rappelle quelque chose…murmura Michael.
-On fonce ! On a pas de temps et de munitions à perdre !
Le convoi repart rapidement, mais c’est trop tard. Un monstre d’au moins trois mètres de haut nous bloque la route, impossible de faire demi-tour. Pas de visage, la moitié de sa peau est arrachée, laissant entrevoir son crâne et sa chair… Le véhicule de tête tente de faire demi-tour, mais le monstre se jette sur lui impossible qu’il y est de survivants… La voiture est piétinée, écrasée.
-DEMI-TOUUUUUR ! hurla le Capitaine.
Les camions bennes mettent du temps à manœuvrer. Nous sommes le deuxième véhicule, j’ai l’impression qu’il me regarde avec fureur…Il enjambe la voiture de tête et s’approche, se préparant à nous piétiner. Tout le monde tire mais sans surprise, ça n’a pas d’effet. Les camions s’engouffrent dans une ruelle, nous laissant le champ libre. Juste à temps. Le monstre abat son énorme bras à moins d’un mètre de nous. C’était moins une.
Nous reprenons notre route, poursuivis par cette saloperie. Mais nous le distançons vite.
-Cette ville craint trop, on devrait pas rester ici, dit Lilian inquiet.
-C'est ce qu'on va faire. Depêchons nous d'aller chercher ce qu'il faut à Paris, avant qu'il n y ai plus personnes à sauver, répondit le Capitaine.
-Bon. En route. Dit le Capitaine.
Les quatre 4x4 sont au complet, les camions sont prêts aussi à partir.
-Sans regrets ? me murmura Nathan.
-Sans regrets.
Si je n’avais pas l’estomac noué, j’aurai s presque trouvé cette scène émouvante. Fini les « vacances » …
Ca y’est. Le convoi s’élance vers Rennes. La ville est maintenant sans défenses. Le premier groupe est parti il y a une heure. Ils seront de retour demain, mais en attendant, si il y a la moindre attaque…
Les deux premières heures de route se passent sans problèmes notables. Jusqu’à ce que…
-Capitaine ! Cria le soldat pilotant la tête de convoi.
-Qu’est-ce qu’il se passe soldat ?
-La route est bloquée chef !
-Bloquée ? Bloquée par quoi ?! Rétorqua le Capitaine, le ton irrité.
-Vous voudriez pas le savoir…
Le genre de chose à ne pas dire. Nous nous empressons de sortir des véhicules et voyons…un véritable mur de cadavres.
-Mais…Qui a pu faire ça ?? demanda un soldat, choqué.
La pile de cadavres doit bien faire deux mètres de haut. Il y a au minimum cinquante cadavres…
-Il faut trouver une route, dit Allen.
-On peut contourner par ici, dit un lieutenant en pointant du doigt un panneau.
-Vous étiez du coin ?
-Ouais. J’étais en faction à la base de Finistère.
-D’accord. Allons-y.
Ce détour nous a fait perdre une heure de plus. Nous arrivons enfin à Rennes, qui a dû subir les dégâts de l’explosion car la moitié de la ville est effondrée.
-Prions pour que le supermarché du coin ne soit pas dévasté… murmura Alexis à Nathan.
J’aperçois un insigne Géant Casino. Par Miracle, le bâtiment est intact.
-Ok, on se deploi ! Position défensive sur le parking, les autres, embarquez le maximum de matériel !
Tout le monde accourt vers l’entrée et s’affaire à ramassez le maximum de provisions, deux 4x4 remplis de soldats partent vers le Lidl d’à côté, le premier camion benne est rempli à moitié au bout d’une heure. Le soleil ne va pas tarder à se coucher. Il faut faire vite.
Deux heures. Les deux camions sont presque remplis, on garde de la place pour le matériel de labo. Mais tout le monde s’interrompt lorsqu’on entend un bruit sourd…Un bruit régulier.
-Ca me rappelle quelque chose…murmura Michael.
-On fonce ! On a pas de temps et de munitions à perdre !
Le convoi repart rapidement, mais c’est trop tard. Un monstre d’au moins trois mètres de haut nous bloque la route, impossible de faire demi-tour. Pas de visage, la moitié de sa peau est arrachée, laissant entrevoir son crâne et sa chair… Le véhicule de tête tente de faire demi-tour, mais le monstre se jette sur lui impossible qu’il y est de survivants… La voiture est piétinée, écrasée.
-DEMI-TOUUUUUR ! hurla le Capitaine.
Les camions bennes mettent du temps à manœuvrer. Nous sommes le deuxième véhicule, j’ai l’impression qu’il me regarde avec fureur…Il enjambe la voiture de tête et s’approche, se préparant à nous piétiner. Tout le monde tire mais sans surprise, ça n’a pas d’effet. Les camions s’engouffrent dans une ruelle, nous laissant le champ libre. Juste à temps. Le monstre abat son énorme bras à moins d’un mètre de nous. C’était moins une.
Nous reprenons notre route, poursuivis par cette saloperie. Mais nous le distançons vite.
-Cette ville craint trop, on devrait pas rester ici, dit Lilian inquiet.
-C'est ce qu'on va faire. Depêchons nous d'aller chercher ce qu'il faut à Paris, avant qu'il n y ai plus personnes à sauver, répondit le Capitaine.
Commentaires
- Happy-Noel
08/08/2011 à 22:28:48
17XX je te remercierais jamais assez pour avoir repris cette fantastisque épopé que je suis a chaque chapitre avec un délice des plus prononcé à chaque fois que l'histoire avance... ENCORE MERCI =D
- FlaV
08/08/2011 à 19:10:39
Sweet
La pile de cadavres et de plus gros infecté - Kaotix-Soul
04/08/2011 à 23:26:06
Encore des gros infectés :s ça craint pour leur vie
- Raidersii
03/08/2011 à 20:16:52
17XX Powahh !!!