Note de la fic :
Publié le 28/12/2008 à 16:56:23 par HousseDeRocket
[ Reste à être inviter dans une de ces soirées de riches ]
Le reste de la semaine passa rapidement, Vendredi les rumeurs se confirmèrent : Maxence était bel et bien exclu définitivement de mon lycée, des gens pleuraient, d'autres se rassemblaient à la grille pour un ultime au revoir.
Moi j'en avais rien à foutre, je ne le connaissais pas de toute façon, et était-ce vraiment de ma faute ? Oui c'est moi qui ai lui ai vendu mais était il obligé de l'acheter ?
Bref, j'oubliais quasiment instantanément ce connard, et je me préparais au repas de classe de ce soir. Tous les premières S y allaient. Il y avait même une soirée dans la soirée, puisqu'après normalement les gens « cool » devaient aller dans un bar à St Leu (le quartier jeune de ma ville).
Moi j'y allais mais au départ j'y allais surtout pour le repas mes amis ne pouvant, ou ne voulant pas allé à St Leu .
Bref, la soirée se passa d'une façon bizarre :
Une fois le repas terminé, les gens sortaient des bouteilles d'alcool en pleine rue, et commençaient à se saouler. Un seul de mes amis était resté : Aurélien. Aurélien n'est pas du genre à boire de l'alcool, il ne l'a d'ailleurs jamais fait mais par contre il connaissait des gens qui avait prévu une soirée.
La soirée en question se déroulait chez une certaine Carole, une pensionnaire qui vivait dans un externat, chez sa sœur. Donc a priori pas de parent .
Lorsqu'on arrivât il y avait une bonne dizaine de personnes : que des gens que je connaissais à peu près, la soirée était moins select que celle de Samedi soir.
Tout le monde était bourré, un mec pinçait les fesses d'une fille qui lui avait un râteau quelques semaine auparavant , un autre était tellement torché qu'il embrassait son pote sur la bouche et enfin Carole chialait parce qu'il y avait du vomi par terre et que ses parents rentraient le soir même .
Bref un terrain propice à la vente de produit stupéfiant .
La soirée avançait, je n'avais pris qu'une Kronenbourg pour rester lucide, Adrien lui était rentrait à pied. J'étais donc seul face à ces gens que je ne connaissais point.
Ayant acquis une certaine assurance en seulement quelques jours, j'osais plus parler aux gens, et après quelques échanges verbaux, j'allais droit au but :
« Ca vous dit quelques feuilles ?
- Des feuilles de quoi ? Me dit William (ah okay le boulet )
- De cannabis
- J'ai jamais tester lol
- 1g pour 10€ mais comme t'es mon pote je le fais à 8,5€
- ok mais j'ai pas de feuille à rouler
- Moi j'en ai t'inquiète pas...
Et hop en deux temps trois mouvement je roule un joint qu'il s'empresse d'allumer et de faire tourner. Je lui refuse d'ailleurs la taf préférant rester lucide.
Bref la soirée se passa, tout le monde était complétement défoncé, certains s'étaient endormis et Carole Continuer de pleurer, je lui dis « salut ». Je partis donc mais avant de sortir, William me prit le bras et me demanda mon numéro de téléphone et me proposa de revenir à une autre soirée la semaine prochaine.
Peu à peu mon business s'agrandit
Le reste de la semaine passa rapidement, Vendredi les rumeurs se confirmèrent : Maxence était bel et bien exclu définitivement de mon lycée, des gens pleuraient, d'autres se rassemblaient à la grille pour un ultime au revoir.
Moi j'en avais rien à foutre, je ne le connaissais pas de toute façon, et était-ce vraiment de ma faute ? Oui c'est moi qui ai lui ai vendu mais était il obligé de l'acheter ?
Bref, j'oubliais quasiment instantanément ce connard, et je me préparais au repas de classe de ce soir. Tous les premières S y allaient. Il y avait même une soirée dans la soirée, puisqu'après normalement les gens « cool » devaient aller dans un bar à St Leu (le quartier jeune de ma ville).
Moi j'y allais mais au départ j'y allais surtout pour le repas mes amis ne pouvant, ou ne voulant pas allé à St Leu .
Bref, la soirée se passa d'une façon bizarre :
Une fois le repas terminé, les gens sortaient des bouteilles d'alcool en pleine rue, et commençaient à se saouler. Un seul de mes amis était resté : Aurélien. Aurélien n'est pas du genre à boire de l'alcool, il ne l'a d'ailleurs jamais fait mais par contre il connaissait des gens qui avait prévu une soirée.
La soirée en question se déroulait chez une certaine Carole, une pensionnaire qui vivait dans un externat, chez sa sœur. Donc a priori pas de parent .
Lorsqu'on arrivât il y avait une bonne dizaine de personnes : que des gens que je connaissais à peu près, la soirée était moins select que celle de Samedi soir.
Tout le monde était bourré, un mec pinçait les fesses d'une fille qui lui avait un râteau quelques semaine auparavant , un autre était tellement torché qu'il embrassait son pote sur la bouche et enfin Carole chialait parce qu'il y avait du vomi par terre et que ses parents rentraient le soir même .
Bref un terrain propice à la vente de produit stupéfiant .
La soirée avançait, je n'avais pris qu'une Kronenbourg pour rester lucide, Adrien lui était rentrait à pied. J'étais donc seul face à ces gens que je ne connaissais point.
Ayant acquis une certaine assurance en seulement quelques jours, j'osais plus parler aux gens, et après quelques échanges verbaux, j'allais droit au but :
« Ca vous dit quelques feuilles ?
- Des feuilles de quoi ? Me dit William (ah okay le boulet )
- De cannabis
- J'ai jamais tester lol
- 1g pour 10€ mais comme t'es mon pote je le fais à 8,5€
- ok mais j'ai pas de feuille à rouler
- Moi j'en ai t'inquiète pas...
Et hop en deux temps trois mouvement je roule un joint qu'il s'empresse d'allumer et de faire tourner. Je lui refuse d'ailleurs la taf préférant rester lucide.
Bref la soirée se passa, tout le monde était complétement défoncé, certains s'étaient endormis et Carole Continuer de pleurer, je lui dis « salut ». Je partis donc mais avant de sortir, William me prit le bras et me demanda mon numéro de téléphone et me proposa de revenir à une autre soirée la semaine prochaine.
Peu à peu mon business s'agrandit
Commentaires
- Pseudo supprimé
30/12/2008 à 01:19:36
Tu vas te faire baiser.
- Pseudo supprimé
28/12/2008 à 18:49:08
Ah okay les mecs qui pleurent quand quelqu'un se fait exclure