Note de la fic : :noel: :noel: :noel:

Ma nouvelle vie de dealer


Par : HousseDeRocket
Genre : Action
Statut : C'est compliqué



Chapitre 4


Publié le 28/12/2008 à 16:55:43 par HousseDeRocket

[ Le week-end se passa vite et bien, je me suis poser la question: "que vais-je faire maintenant ?" durant ces deux jours mais le lundi approchait... ]



Je me préparais donc à partir pour le lycée. Habillé, rasé, coiffé, lavé me voici donc parti. Sur le chemin j'entends quelqu'un crier :
" Hey C********** (mon nom de famille )"

Je me retourne et je vois Charles-Henri qui arrive en pressant le pas (il est pensionnaire et il arrive de la gare).
"Hey C. ça va ?
- Yep et toi ?
- T'as kiffé alors la soirée ?
- Yeah, c'était sympa
- Et ta beuh alors ?
- Quoi ma beuh ?
- T'en as encore ?
- Ouais
- Tu m'en vends ?... nan je déconne


J'ai failli lui répondre oui . Bon à part ça, la matinée se passa bien et je rentrai chez moi pour midi.

Puis je retournais au lycée. Sur le chemin, il y a un petit parc pour enfant, endroit connut pour ses fréquentations à la pause de midi, surtout par les pensionnaires parigots. Un endroit propice à la vente de beuh quoi
Je passai donc devant le parc quand je reconnus la voix de Charles-Henri :
"Hey C*******"
Je m'approchais donc :
"Quoi ?
- t'as de l'herbe ?
- nan pas sur moi là, mais chez moi si.
- Hey Maxence, vient voir là !
Un mec s'approcha, un mec un peu chelou, que je connais de vu : un parisien blindé de thune, qui se la pète et qui est surtout connut à mon bahut pour ses activités de dealer notoire.
- Hey je te connais toi ?
- Ouais on était en SI l'année dernière
- Ouais p'tet, qu'est-ce qu'il y a Charles-Henri ?
- C******** a de la beuh super.
- J'en vends si tu veux, répondis-je
- Ah ouais ? combien ?
- Euh, (merde je dois trouver un prix ) 75€ les 10 grammes ?
- Et c'est bon au moins ?
- Ouais ça vient du Maroc , attends je vais la chercher

J'allais donc chercher la beuh, puis je retournais au square.
"Bon alors ça tient ?
- Ouais"

J'hallucine : il sort 75€cash de son porte-feuille et me les donne. Moi tout content de me débarrasser de ma beuh je lui donne sans regret.

Puis je retournais en cours, et à la fin ma journée, je rentre chez moi.
La journée de demain s'annonce plus rude.


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