Note de la fic :
Publié le 28/12/2008 à 17:18:38 par HousseDeRocket
[ Épilogue ]
C'est un homme d'une cinquantième d'année, qui travaille aux usines du nord de la ville, et qui emprunte ce chemin tous les jours qui découvrit mon corps.
Il appelât aussitôt une ambulance. Mais malheureusement il était déjà trop tard pour moi.
Les ambulanciers essayèrent tant bien que mal de me sauver, mais rien n'y fut. Ils décidèrent d'appeler la police. Et seulement quelques minutes après, ils arrivèrent, accompagnée de la police scientifique.
Les policiers firent un relevé d'indices : coup de couteaux, vêtements déchirés etc... , et ils découvrirent ma carte d'identité, rangée dans ma poche. Ils prévinrent alors mes parents qui arrivèrent sur les lieux peu après.
Ma mère pleurait, mon père lui, avait le regard vide. Ils ne réalisaient pas encore totalement ce qu'il s'était passé. On leur avait juste dit que j'étais mort, mais, on leur avait caché comment.
Au lever du soleil, les policiers apprirent qu'un homme avait découvert un cadavre flottant sur la Somme (le fleuve). Et après une rapide autopsie, on découvrit que ce cadavre était marqué de traces de luttes, et partiellement taché de sang, bien qu'il n'est aucune plaie suffisamment profonde. On fit vite le rapprochement entre moi et ce cadavre.
Et le lendemain, tous les journaux régionaux et mêmes nationaux titraient à la une : « Tragédie dans le nord : un adolescent tué sauvagement par un déséquilibré ».
Et oui, entre temps on apprit l'identité de mon assassin : c'était un fou, on du moins un ancien interné d'asile psychiatrique, qui venait de sortir d'un long séjour, et qui, trainait par hasard dans ce quartier, à la recherche de substance qui le calmerait.
Et partout, les gens s'indignait, tout le monde cherchait à savoir comment et pourquoi un malade mental pouvait se promener librement, et pouvait agresser n'importe qui sur son passage. En somme, un relent de vieux débat sur les hôpitaux psychiatriques et la récidive.
En revanche, certains louèrent ma bravoure : car du haut de mes seize ans, je réussis quand même à me défendre, et à tuer qui puis est, cet individu.
Mes parents firent une déclaration à la télévision, où ils réclamèrent que justice soit faite, pour que plus jamais d'innocentes personnes ne soient tuées par des gens qui ne devraient pas être en liberté.
Je crois qu'ils ne sauront sans doute jamais pourquoi je suis mort ce soir là. Pourquoi je me suis retrouvé dans ce quartier craignosse à une heure si tardive. Ils ont du se poser la question, mais ils l'ont sans doute laissé sans réponse.
Ils ne sauront jamais rien de ces 3 dernières semaines, de mon nouveau métier, de mes nouvelles relations, et de mes implications dans diverses affaires de meurtres. Ils ne sauront rien car la police n'a toujours pas récolté d'indices sur les différents lieux de mon passage, et je reste un inconnu des services judiciaire. Me voilà donc innocent pour l'éternité.
Être innocent pendant toute la durée de sa vie, c'est déjà merveilleux, l'être pour l'éternité, c'est encore plus beau.
La vérité ne sera donc jamais élucidé. Mais c'est sans doute mieux ainsi. Il vaut mieux éviter d'autres peines, et d'autres larmes, mêmes si je le payerai peut être un jour... au purgatoire ?
Voilà ce qu'il en est pour les quelques semaines qui suivirent ma mort.
Après cela, il ne restait de moi qu'un souvenir douloureux pour mes parents et mon frère, et certains des mes amis, anciens comme nouveaux.
Mais une chose bien plus grave arriva après quelques mois à peine : Alisson, qui était rentrer chez elle, à Adélaïde, en Australie, apprit malgré elle qu'elle était enceinte : après avoir passer une mâtiné à vomir, elle décida d'acheter un test de grossesse. Et il se révéla positif. Mais de qui était elle enceinte ? De moi ou de Simon ?
Quoiqu'il en soit, ce fut une tragédie dans sa famille, ses parents étaient furieux. Son père, riche homme d'affaire, et sa mère, ancienne avocate, qui prônaient tous deux les valeurs de la morale chrétienne, décidèrent de garder l'enfant, mais forcèrent leur fille à se marier rapidement pour éviter à tout prix qu'elle ne passe pour une dévergondée, et qu'elle ne déshonore la famille. Et après avoir discuter avec la famille du futur époux, pour cacher le fait que l'enfant n'était pas de leur fils (à coup de dollars et de pistonage), ils durent se résilier à oublier leur propre fille et à rayer son existence de leur vie.
L'enfant naquis 8 mois plus tard, un beau matin de Juillet. On lui donna le nom de Nathan.
Mais le pire, dans toute cette histoire, c'est qu'on se saura jamais qui était le Père.
C'est un homme d'une cinquantième d'année, qui travaille aux usines du nord de la ville, et qui emprunte ce chemin tous les jours qui découvrit mon corps.
Il appelât aussitôt une ambulance. Mais malheureusement il était déjà trop tard pour moi.
Les ambulanciers essayèrent tant bien que mal de me sauver, mais rien n'y fut. Ils décidèrent d'appeler la police. Et seulement quelques minutes après, ils arrivèrent, accompagnée de la police scientifique.
Les policiers firent un relevé d'indices : coup de couteaux, vêtements déchirés etc... , et ils découvrirent ma carte d'identité, rangée dans ma poche. Ils prévinrent alors mes parents qui arrivèrent sur les lieux peu après.
Ma mère pleurait, mon père lui, avait le regard vide. Ils ne réalisaient pas encore totalement ce qu'il s'était passé. On leur avait juste dit que j'étais mort, mais, on leur avait caché comment.
Au lever du soleil, les policiers apprirent qu'un homme avait découvert un cadavre flottant sur la Somme (le fleuve). Et après une rapide autopsie, on découvrit que ce cadavre était marqué de traces de luttes, et partiellement taché de sang, bien qu'il n'est aucune plaie suffisamment profonde. On fit vite le rapprochement entre moi et ce cadavre.
Et le lendemain, tous les journaux régionaux et mêmes nationaux titraient à la une : « Tragédie dans le nord : un adolescent tué sauvagement par un déséquilibré ».
Et oui, entre temps on apprit l'identité de mon assassin : c'était un fou, on du moins un ancien interné d'asile psychiatrique, qui venait de sortir d'un long séjour, et qui, trainait par hasard dans ce quartier, à la recherche de substance qui le calmerait.
Et partout, les gens s'indignait, tout le monde cherchait à savoir comment et pourquoi un malade mental pouvait se promener librement, et pouvait agresser n'importe qui sur son passage. En somme, un relent de vieux débat sur les hôpitaux psychiatriques et la récidive.
En revanche, certains louèrent ma bravoure : car du haut de mes seize ans, je réussis quand même à me défendre, et à tuer qui puis est, cet individu.
Mes parents firent une déclaration à la télévision, où ils réclamèrent que justice soit faite, pour que plus jamais d'innocentes personnes ne soient tuées par des gens qui ne devraient pas être en liberté.
Je crois qu'ils ne sauront sans doute jamais pourquoi je suis mort ce soir là. Pourquoi je me suis retrouvé dans ce quartier craignosse à une heure si tardive. Ils ont du se poser la question, mais ils l'ont sans doute laissé sans réponse.
Ils ne sauront jamais rien de ces 3 dernières semaines, de mon nouveau métier, de mes nouvelles relations, et de mes implications dans diverses affaires de meurtres. Ils ne sauront rien car la police n'a toujours pas récolté d'indices sur les différents lieux de mon passage, et je reste un inconnu des services judiciaire. Me voilà donc innocent pour l'éternité.
Être innocent pendant toute la durée de sa vie, c'est déjà merveilleux, l'être pour l'éternité, c'est encore plus beau.
La vérité ne sera donc jamais élucidé. Mais c'est sans doute mieux ainsi. Il vaut mieux éviter d'autres peines, et d'autres larmes, mêmes si je le payerai peut être un jour... au purgatoire ?
Voilà ce qu'il en est pour les quelques semaines qui suivirent ma mort.
Après cela, il ne restait de moi qu'un souvenir douloureux pour mes parents et mon frère, et certains des mes amis, anciens comme nouveaux.
Mais une chose bien plus grave arriva après quelques mois à peine : Alisson, qui était rentrer chez elle, à Adélaïde, en Australie, apprit malgré elle qu'elle était enceinte : après avoir passer une mâtiné à vomir, elle décida d'acheter un test de grossesse. Et il se révéla positif. Mais de qui était elle enceinte ? De moi ou de Simon ?
Quoiqu'il en soit, ce fut une tragédie dans sa famille, ses parents étaient furieux. Son père, riche homme d'affaire, et sa mère, ancienne avocate, qui prônaient tous deux les valeurs de la morale chrétienne, décidèrent de garder l'enfant, mais forcèrent leur fille à se marier rapidement pour éviter à tout prix qu'elle ne passe pour une dévergondée, et qu'elle ne déshonore la famille. Et après avoir discuter avec la famille du futur époux, pour cacher le fait que l'enfant n'était pas de leur fils (à coup de dollars et de pistonage), ils durent se résilier à oublier leur propre fille et à rayer son existence de leur vie.
L'enfant naquis 8 mois plus tard, un beau matin de Juillet. On lui donna le nom de Nathan.
Mais le pire, dans toute cette histoire, c'est qu'on se saura jamais qui était le Père.
Commentaires
- Pseudo supprimé
19/11/2009 à 22:36:44
Toast d'adn sur Simon NOOB, sinon, c'est Arthur