Note de la fic :
Les Pérégrinations de Gandoulf Le Brun
Par : TrancheurDePile
Genre : Fantastique
Statut : C'est compliqué
Chapitre 3 : L'évasion
Publié le 14/06/2011 à 11:57:57 par TrancheurDePile
Le jour se lève sur Anduin Rath. Les oiseaux chantonnent dans les arbres. Lentement la ville commence à sortir de sa torpeur. Les volets des chaumières s'ouvrent, les commerçants déjà debout installent leurs étales et déjà le bruit de la vie citadine emplit la ville. Mais Gandoulf, car c'est bien ainsi que nous l'appellerons désormais, est déjà éveillé depuis un certain temps. Il a commencé à préparer ses affaires en silence, au milieu du dortoir de l'orphelinat. Alors que tout les « sans-parents » d’Anduin Rath dorment encore.
La sacoche qu’il a piquée au surveillant ne contient pas grand-chose, une carte, qu’il a déchirée dans un des livres de la bibliothèque, quelques pommes et du pain, ainsi que son oreiller qui prend en fait toute la place. Il confectionne de façon rudimentaire une cape avec son drap gris-brun. Récupère son bâton fétiche, qu’il a conservé depuis qu’il l’a trouvé, et il se dirige à pas feutrés vers la porte du dortoir, les pieds dans deux bouts de tissus qui lui servent de chaussures. A coté de la porte, le surveillant dort sur sa chaise, la tête vers le haut, la bouche béante. Gandoulf sourit à cette vue, puis entreprend d’ouvrir la porte le plus silencieusement possible. Alors que l’espace est presqu’assez suffisant pour qu’il puisse sortir, la porte émet un lourd grincement sinistre, qui réveille aussitôt le surveillant en sursaut.
« Ah non ! Tu n’arriveras pas à t’échapper de l’orphelinat pour aller trainé dans la bibliothèque aujourd’hui, sale morveux ! Dit-il en l’attrapant par le col tout en le soulevant de terre.
- Lâche-moi vieux Chnoque ! J’veux pas rester dans ce vieux machin tout miteux
-Foi de Boral ! Tu ne sortiras pas d’ici.
-Je m’en fous je me casse » Dit Gandoulf en lui donnant un gros coup de bâton dans un endroit qui bien qu’inutile vu l’âge du surveillant, n’en restait pas moins sensible. Celui-ci lâcha Gandoulf et poussa un petit cri plaintif. Notre héros en profita pour s’échapper par la porte, s’enfuir en courant à travers le bâtiment.
Boral se releva péniblement tout en se massant son entre-jambes encore douloureux. Il engueula les jeunes orphelins qui le regardaient en riant, puis se rassit sur sa chaise. « Ah ça me rappelle mon petit fils tout ça…. Quel ptit con c’était cet Ivan » pensa-t-il en se remémorant son petit fils s’échapper de la maison tout les jours.
La sacoche qu’il a piquée au surveillant ne contient pas grand-chose, une carte, qu’il a déchirée dans un des livres de la bibliothèque, quelques pommes et du pain, ainsi que son oreiller qui prend en fait toute la place. Il confectionne de façon rudimentaire une cape avec son drap gris-brun. Récupère son bâton fétiche, qu’il a conservé depuis qu’il l’a trouvé, et il se dirige à pas feutrés vers la porte du dortoir, les pieds dans deux bouts de tissus qui lui servent de chaussures. A coté de la porte, le surveillant dort sur sa chaise, la tête vers le haut, la bouche béante. Gandoulf sourit à cette vue, puis entreprend d’ouvrir la porte le plus silencieusement possible. Alors que l’espace est presqu’assez suffisant pour qu’il puisse sortir, la porte émet un lourd grincement sinistre, qui réveille aussitôt le surveillant en sursaut.
« Ah non ! Tu n’arriveras pas à t’échapper de l’orphelinat pour aller trainé dans la bibliothèque aujourd’hui, sale morveux ! Dit-il en l’attrapant par le col tout en le soulevant de terre.
- Lâche-moi vieux Chnoque ! J’veux pas rester dans ce vieux machin tout miteux
-Foi de Boral ! Tu ne sortiras pas d’ici.
-Je m’en fous je me casse » Dit Gandoulf en lui donnant un gros coup de bâton dans un endroit qui bien qu’inutile vu l’âge du surveillant, n’en restait pas moins sensible. Celui-ci lâcha Gandoulf et poussa un petit cri plaintif. Notre héros en profita pour s’échapper par la porte, s’enfuir en courant à travers le bâtiment.
Boral se releva péniblement tout en se massant son entre-jambes encore douloureux. Il engueula les jeunes orphelins qui le regardaient en riant, puis se rassit sur sa chaise. « Ah ça me rappelle mon petit fils tout ça…. Quel ptit con c’était cet Ivan » pensa-t-il en se remémorant son petit fils s’échapper de la maison tout les jours.