Note de la fic :
Publié le 24/08/2010 à 15:17:49 par GonzagueTv
- Sortez vos livres et vos cahiers ! nous ordonna Madame Chateau-de-la-rivière.
Nous nous exécutâmes.
- Aujourd'hui, je vais vous rendre vos dissertations
- Ah oui c'est vrai, cette vieille folle nous avait filé une dissert sur les ravages de la confiture a la fraise
- Pierre, je crois qu'elle t'a entendu
- Monsieur Vert (">
Gonzague intervint.
- Faut vous rendre à l'évidence madame. Vous êtes vraiment plus dans le coup avec vos dissertations, vous avez pris un coup de vieux.
- Il a raison m'dame, vous devenez gâteuse avec vos sujets de vieille truie
- CA SUFFIT (">
MONSIEUR VERT, MONSIEUR TEVAI, SORTEZ IMMEDIATEMENT (">
Jennifer et moi explosâmes de rire.
- MADAME GARCIA ET MONSIEUR PREVERT, FAITES DE MEME (">
C'en était trop, on en pouvait plus
Mais comme si cela ne suffisait pas, Nicolas intervint.
- Vous n'avez pas le droit de l'éjecter de ce cours madame
Dit-il, son pissenlit (fané) à la main.
- NICOLAS, TU SORS AUSSI (">
- Mais
Nicolas fondit en larmes, et prit la porte, tout comme nous.
Nous nous retrouvâmes dans le couloir.
Le loser était effondré
- On doit aller dans le bureau du proviseur maintenant
- On s'en fout du proviseur, on se casse
Pierre avait raison, dans deux jours c'était les vacances, on n'allait pas se gêner.
- Bah moi je reste, je vais voir le proviseur, bande de voyous (">
Pierre lui envoya une droite droit dans la face, lui déchaussant trois ou quatre dents au passage. Nicolas s'effondra.
- Depuis le temps que je rêve de faire ça
- Va pas falloir qu'on s'éternise ici
Nous fîmes demi-tour, pour sortir du bahut, bien content de s'être débarassé de ce boulet.
Soudain, Nicolas surgit dans le dos de Pierre.
- CONNARD (">
Il le mit a terre, et commença a le mordre, le griffer, le frapper. Nicolas était transfiguré, on ne le reconnaissait plus, la haine l'avait transformé.
Ca virait au sang
Je décidai d'y mettre un terme.
*CHBAM*
- AAAAAAAH
- Putain, t'y es allé un peu fort
Je venais de mettre un énorme chassé dans la tête de Nicolas, qui était en train de détaler comme un lapin.
- Ouaaaaaah
Apparemment, ca avait plu a Gonzague
- On fait quoi maintenant ?
- ON LE SUIT (">
Sur le moment, Gonzague semblait admiratif, Pierre et Jennifer étaient remontés contre Nicolas et bien décidés à lui rendre la monnaie de sa pièce.
Quant à moi, je dois dire que j'étais fier de ma prouesse.
Nous nous lançâmes donc à la poursuite de Nicolas.
En quelques secondes nous nous retrouvâmes en dehors du lycée, cet enfoiré courrait vite
Malheureusement, après avoir bifurqué dans une rue, on ne trouva vite plus trace de lui. Le quartier était désert, laissant place a la sensation de solitude habituelle que ressentait quiconque s'y trouvait.
La seule présence de vie était celle d'un chat.
Pas de Nicolas.
- Merde, on l'a perdu de vue (">
- C'est pas grave Pierre, il ne reviendra pas nous emmerder de si tôt
*WOUUUUUUUUUUUSH*
- PUTAIN C'ETAIT QUOI
Une forte chaleur se fit rapidement sentir. Nous accourâmes vers le lieu du bruit.
-
- ...
- Oh mon dieu ...
-
Comment décrire cette image...
Des flammes commençaient à surgir des fenêtres...
On entendait des cris, des râles, mêlés aux différentes alarmes qui bourdonnaient....
Certains sautaient même à travers les vitres des 2èmes et 3ièmes étages pour échapper à une mort lente et douloureuse...
Le lycée était en feu.
Nous nous exécutâmes.
- Aujourd'hui, je vais vous rendre vos dissertations
- Ah oui c'est vrai, cette vieille folle nous avait filé une dissert sur les ravages de la confiture a la fraise
- Pierre, je crois qu'elle t'a entendu
- Monsieur Vert (">
Gonzague intervint.
- Faut vous rendre à l'évidence madame. Vous êtes vraiment plus dans le coup avec vos dissertations, vous avez pris un coup de vieux.
- Il a raison m'dame, vous devenez gâteuse avec vos sujets de vieille truie
- CA SUFFIT (">
MONSIEUR VERT, MONSIEUR TEVAI, SORTEZ IMMEDIATEMENT (">
Jennifer et moi explosâmes de rire.
- MADAME GARCIA ET MONSIEUR PREVERT, FAITES DE MEME (">
C'en était trop, on en pouvait plus
Mais comme si cela ne suffisait pas, Nicolas intervint.
- Vous n'avez pas le droit de l'éjecter de ce cours madame
Dit-il, son pissenlit (fané) à la main.
- NICOLAS, TU SORS AUSSI (">
- Mais
Nicolas fondit en larmes, et prit la porte, tout comme nous.
Nous nous retrouvâmes dans le couloir.
Le loser était effondré
- On doit aller dans le bureau du proviseur maintenant
- On s'en fout du proviseur, on se casse
Pierre avait raison, dans deux jours c'était les vacances, on n'allait pas se gêner.
- Bah moi je reste, je vais voir le proviseur, bande de voyous (">
Pierre lui envoya une droite droit dans la face, lui déchaussant trois ou quatre dents au passage. Nicolas s'effondra.
- Depuis le temps que je rêve de faire ça
- Va pas falloir qu'on s'éternise ici
Nous fîmes demi-tour, pour sortir du bahut, bien content de s'être débarassé de ce boulet.
Soudain, Nicolas surgit dans le dos de Pierre.
- CONNARD (">
Il le mit a terre, et commença a le mordre, le griffer, le frapper. Nicolas était transfiguré, on ne le reconnaissait plus, la haine l'avait transformé.
Ca virait au sang
Je décidai d'y mettre un terme.
*CHBAM*
- AAAAAAAH
- Putain, t'y es allé un peu fort
Je venais de mettre un énorme chassé dans la tête de Nicolas, qui était en train de détaler comme un lapin.
- Ouaaaaaah
Apparemment, ca avait plu a Gonzague
- On fait quoi maintenant ?
- ON LE SUIT (">
Sur le moment, Gonzague semblait admiratif, Pierre et Jennifer étaient remontés contre Nicolas et bien décidés à lui rendre la monnaie de sa pièce.
Quant à moi, je dois dire que j'étais fier de ma prouesse.
Nous nous lançâmes donc à la poursuite de Nicolas.
En quelques secondes nous nous retrouvâmes en dehors du lycée, cet enfoiré courrait vite
Malheureusement, après avoir bifurqué dans une rue, on ne trouva vite plus trace de lui. Le quartier était désert, laissant place a la sensation de solitude habituelle que ressentait quiconque s'y trouvait.
La seule présence de vie était celle d'un chat.
Pas de Nicolas.
- Merde, on l'a perdu de vue (">
- C'est pas grave Pierre, il ne reviendra pas nous emmerder de si tôt
*WOUUUUUUUUUUUSH*
- PUTAIN C'ETAIT QUOI
Une forte chaleur se fit rapidement sentir. Nous accourâmes vers le lieu du bruit.
-
- ...
- Oh mon dieu ...
-
Comment décrire cette image...
Des flammes commençaient à surgir des fenêtres...
On entendait des cris, des râles, mêlés aux différentes alarmes qui bourdonnaient....
Certains sautaient même à travers les vitres des 2èmes et 3ièmes étages pour échapper à une mort lente et douloureuse...
Le lycée était en feu.
Commentaires
- flybabada
25/08/2010 à 19:20:03
J'aime bien + Sweet ?