Note de la fic :
Publié le 19/02/2011 à 17:03:43 par LittleJulio
Le but du fusil à pompe ? Plusieurs balles dans une cartouche. Quatre d’entres elles vinrent se loger dans ma poitrine. Le sang coulait à flot, je me vidais peu à peu. La puissance de l’arme m’avait projeté au sol. Mais… Je n’avais ressenti aucune douleur. Rien. Je n’avais même pas ressenti l’espace d’un instant quelque chose me faire mal. A terre, je me releva sans difficultés. Lohan et mon « assassin » n’en revenaient pas. Et moi j’étais bien plus que surpris, je ne savais comment réagir face à cela. Etait-ce bien vrai ? J’étais devenu…immortel. Que feriez-vous si vous appreniez cela ? Je m’approchais du tireur, lentement, quand lui se dépêcha de recharger son fusil à pompe. Il tira à nouveau. J’en avais conscience, je savais qu’il allait continuer à tirer. Je savais aussi que ça n’allait pas m’affecter, je resta immobile quant à toutes ses tentatives. Les balles fusaient dans mon corps. Mon ventre devenait un gruyère. Toutes les plaies cicatrisaient instantanément. J’étais maintenant face à lui. Lui qui m’avait rué de coups de pied quand j’étais au sol, lui qui me faisait vomir, lui qui avait gâché mon début d’adolescence, je vis tous ces moments se bousculer dans ma tête. Et à l’instant, il avait essayé de me tuer à trois reprises.
Je saisis mon couteau et l’enfonça de la gorge jusqu’au crâne. Il tomba sur le coup. Les deux corps restants jonchaient le sol, ils avaient du mal à bouger ne serait-ce qu’un doigt. Ils agonisaient et ça me plaisait. Je les avais frappés si fort…
L’un d’eux commençait à crier, comme pour appeler à l’aide. J’avais dû y remédier. Je plaça ma semelle, taille quarante deux, sur sa gorge et j’appuyais, fort, de plus en plus fort, il avait le souffle coupé et ça s’entendait aux derniers sons que sa voix avait prononcé. J’eu un sourire aux lèvres quand je ne sentis plus son pouls. C’était ma vengeance. Celle que j’avais attendue depuis des semaines, des mois même. J’avais lutté pour atteindre ce niveau ; cette perfection dans l’aptitude à me battre. A me venger. En quelques mois, j’avais adopté le côté sombre de Julien. Plus rien ne me faisait peur, j’étais livré à moi-même.
Je saisis mon couteau et l’enfonça de la gorge jusqu’au crâne. Il tomba sur le coup. Les deux corps restants jonchaient le sol, ils avaient du mal à bouger ne serait-ce qu’un doigt. Ils agonisaient et ça me plaisait. Je les avais frappés si fort…
L’un d’eux commençait à crier, comme pour appeler à l’aide. J’avais dû y remédier. Je plaça ma semelle, taille quarante deux, sur sa gorge et j’appuyais, fort, de plus en plus fort, il avait le souffle coupé et ça s’entendait aux derniers sons que sa voix avait prononcé. J’eu un sourire aux lèvres quand je ne sentis plus son pouls. C’était ma vengeance. Celle que j’avais attendue depuis des semaines, des mois même. J’avais lutté pour atteindre ce niveau ; cette perfection dans l’aptitude à me battre. A me venger. En quelques mois, j’avais adopté le côté sombre de Julien. Plus rien ne me faisait peur, j’étais livré à moi-même.