C'était il y a 6 ans , lors de mon entrée au collège .

C'était un lundi , premier jour au collège , je me sentais plus grand , plus matûre car mon frère était en troisième , je me sentais bien .
Bien sûr , je vais sauter les banalités plus que longues et ennuyantes tel que la distribution de carnets et de l'emploi du temps .
Je ressortais de cette journée attrayante mais ennuyante à la fois, en attendant le lundi de la semaine d'après pour la vraie rentrée , cette journée que je n'attendais sans plus de joie que de tristesse.
N'étant que très jeune , je ne me faisais pas d'idée que j'allais voir de jolies filles , hors , le jour de la rentrée , je vus une fille de style assez gothique , c'était elle qu'il me fallait mais je ne me faisais pas de faux espoirs , elle était trop pour moi , assez petit et en surpoid.
A la récréation de dix heures , je la revus , mais une bande de 5 personnes de mon âge me tombent dessus "pour s'amuser" comme ils me l'avaient dit , mais , je n'étais pas du genre à me laisser faire et d'un ton assez énervé , je m'exprima :
-" Il vaut mieux pour vous que vous couriez très loin et très vite , car si je vous chope , je vous éclate"
Ils rétorquèrent qu'ils n'avaient pas peur dû à leur surnombre , en même temps 5 contre 1 pas très glorieux .
Là , je m'avançais vers un d'eux celui qui semblait être la plus grande gueule par rapport aux insultes , surtout une , que je ne supportais :" Fils de p***" . Et je me mis à lui mettre une grande beigne dans le visage au niveau du nez ce qui le fît tomber en arrière et ayant la rage et la hargne de ces insultes , je lui asseigne beaucoup de coup au niveau des côtes et du visage .
A la fin , je me suis calmé , je me relève , et j'entendis l'autre me dire :" Tu n'es qu'une m****" , ce qui m'enragea après la rouste que je lui ai mis .
A ce moment il se tenait debout en face de moi , je respire un grand coup et jeta l'oeil autour de moi , ayant vu un poteau de basket juste à côté de lui , je le pris par la tête et je lui la explosa contre celui ci .
Les surveillants n'ayant rien vu jusqu'au moment où il le vit par terre , je prenais l'air d'être choqué à la vue du gamin par terre , et je le pris et le releva , pris mon sac et parti en lançant un regard noir à ces gens , et chuchotant près d'eux :" Faites gaffe à vous , vous allez recevoir la même chose."
A ce moment là ils furent choqué par mon énervement .