Note de la fic :
Le jour ou je suis sorti de ma grotte
Par : MisterCouz
Genre : Réaliste, No-Fake
Statut : Terminée
Chapitre 3 : J'ai parlé à une fille!
Publié le 26/02/2011 à 18:12:32 par MisterCouz
Je ferme la porte, et je me dirige vers la visco. A ce moment, je ne sais pas pourquoi, j'ai envie
de chanter le générique de Naruto dans les couloirs. Se retenir. C'est une question vital. Ne pas
hurler : " LETS GO LETS GOOO ".
Sa y est, c'est une victoire, j'arrive à la vie scolaire et la pionne shouté, moche à percing,
encore dans le coltard me demande :
- Pourquoi t'es en retard ? Une panne de réveil ? Des éboueurs t'on bloqué la route ? Un rattata
sauvage ta attaqué ?
- Heu non, un accident sur la rocade
- Ouai c'est sa, allez envoie que je signe et tire toi
- D accord
Je monte les escaliers et je reviens en éco en montrant mon mot.
- Va t'asseoir
Alors la, j'ai un dur choix qui s'impose, ou je vais tout au fond, tout seul, comme d'habitude et je
dessine sur mon papier des dofus, ou je me met à coté de Caroline, le cachalot de ma classe, ou
alors, à coté de Julie, la bombe de la classe, toute seul parce que sa copine est malade.
J'hésite.
Se dépêcher vite.
J'ai trop peur, je me met à coté de la femme cachalot, elle voudras bien de moi
Je déballe mes affaires, apparemment, ils parlent sur la réforme des retraites, le prof pose une
question à Amaury qui joue avec son crayon :
- Amaury, tu fais quoi ?
- J'écoute monsieur pourquoi ?
- Au lieu de jouer avec ton crayon tu va me dire ce que tu pense de notre gouvernement :
- J'en pense rien
- Tu dois bien savoir quelque chose, ministre de l'éducation
Charlotte, une niaise de ma classe répond :
- XAVIER DARCOS monsieur
- Non, pas vraiment, si c'est pour dire des conneries charlotte tu ferme ta gueule.
Toute la classe explose de rire, moi avec.
Je l'aime bien ce prof d'éco Une fois, on avais joué au basket avec des boules de papiers,
bien sur je ne jouais pas, je dessinais seul...
C'est alors que le cachalot intervient :
- C'est Luc chatel monsieur
- Très bien Caro
Je viens de me rendre compte que Caroline pue de la gueule.
Violent.
Une odeur de poisson, ou bien de merde. A vrai dire je n'arrive pas trop à distinguer...
- Bon vous voyez que vous savez des choses, et ceux qui luttent contre le gouvernement, ou qui
militent ce sont les...
- Syndicats ! Cachalot viens de nouveau de répondre.
- C'est bien, plus dur,aucun rapport, qui est le ministre de la culture
Blanc.
- Frederic mittérand.
- Qui as répondus ?
Je viens de répondre, je l'ai appris hier! Je lève la main et dit :
- C'est moi
Toute la classe hallucine, je n'ai jamais parler, et la j'ai dit quelque chose... d'intelligent!
Enfin, la fin du cours se déroule normalement, je parle peu, voir pas avec Caro.
Je sort de cours et Amaury m'interpelle entouré de ses potes, il me bouscule :
- Il t'es arrivée quoi tout à l'heure fumier ?
Ne pas plier.
Une fille de la classe, plutôt jolie arrive et dit à Amaury :
- Arrête laisse le.
Il ne faut pas que je cède.
- Il m'est rien arrivée du tout, tu ne me parle pas comme ca, c'est tout.
- Ah ouai ?
- Ouai, maintenant, excuse moi, je vais en francais. Bye.
Je part dans le couloir, mais je suis heureux, j'ai eu le dernier mot.
Quelqu'un me rattrape, c'est Caroline :
- Salut, t'était a coté de moi en cours
L'odeur de poisson, doux jésus... Ça va être dur si je dois être a coté d'elle toute la journée ...
de chanter le générique de Naruto dans les couloirs. Se retenir. C'est une question vital. Ne pas
hurler : " LETS GO LETS GOOO ".
Sa y est, c'est une victoire, j'arrive à la vie scolaire et la pionne shouté, moche à percing,
encore dans le coltard me demande :
- Pourquoi t'es en retard ? Une panne de réveil ? Des éboueurs t'on bloqué la route ? Un rattata
sauvage ta attaqué ?
- Heu non, un accident sur la rocade
- Ouai c'est sa, allez envoie que je signe et tire toi
- D accord
Je monte les escaliers et je reviens en éco en montrant mon mot.
- Va t'asseoir
Alors la, j'ai un dur choix qui s'impose, ou je vais tout au fond, tout seul, comme d'habitude et je
dessine sur mon papier des dofus, ou je me met à coté de Caroline, le cachalot de ma classe, ou
alors, à coté de Julie, la bombe de la classe, toute seul parce que sa copine est malade.
J'hésite.
Se dépêcher vite.
J'ai trop peur, je me met à coté de la femme cachalot, elle voudras bien de moi
Je déballe mes affaires, apparemment, ils parlent sur la réforme des retraites, le prof pose une
question à Amaury qui joue avec son crayon :
- Amaury, tu fais quoi ?
- J'écoute monsieur pourquoi ?
- Au lieu de jouer avec ton crayon tu va me dire ce que tu pense de notre gouvernement :
- J'en pense rien
- Tu dois bien savoir quelque chose, ministre de l'éducation
Charlotte, une niaise de ma classe répond :
- XAVIER DARCOS monsieur
- Non, pas vraiment, si c'est pour dire des conneries charlotte tu ferme ta gueule.
Toute la classe explose de rire, moi avec.
Je l'aime bien ce prof d'éco Une fois, on avais joué au basket avec des boules de papiers,
bien sur je ne jouais pas, je dessinais seul...
C'est alors que le cachalot intervient :
- C'est Luc chatel monsieur
- Très bien Caro
Je viens de me rendre compte que Caroline pue de la gueule.
Violent.
Une odeur de poisson, ou bien de merde. A vrai dire je n'arrive pas trop à distinguer...
- Bon vous voyez que vous savez des choses, et ceux qui luttent contre le gouvernement, ou qui
militent ce sont les...
- Syndicats ! Cachalot viens de nouveau de répondre.
- C'est bien, plus dur,aucun rapport, qui est le ministre de la culture
Blanc.
- Frederic mittérand.
- Qui as répondus ?
Je viens de répondre, je l'ai appris hier! Je lève la main et dit :
- C'est moi
Toute la classe hallucine, je n'ai jamais parler, et la j'ai dit quelque chose... d'intelligent!
Enfin, la fin du cours se déroule normalement, je parle peu, voir pas avec Caro.
Je sort de cours et Amaury m'interpelle entouré de ses potes, il me bouscule :
- Il t'es arrivée quoi tout à l'heure fumier ?
Ne pas plier.
Une fille de la classe, plutôt jolie arrive et dit à Amaury :
- Arrête laisse le.
Il ne faut pas que je cède.
- Il m'est rien arrivée du tout, tu ne me parle pas comme ca, c'est tout.
- Ah ouai ?
- Ouai, maintenant, excuse moi, je vais en francais. Bye.
Je part dans le couloir, mais je suis heureux, j'ai eu le dernier mot.
Quelqu'un me rattrape, c'est Caroline :
- Salut, t'était a coté de moi en cours
L'odeur de poisson, doux jésus... Ça va être dur si je dois être a coté d'elle toute la journée ...