Note de la fic :
Publié le 26/12/2010 à 23:38:32 par Wukund
La nuit passait lentement au dessus de ma tête et de celle des millions d'autres habitants de France. J'étais allongé sur le même banc devant le même poste de police, le visage pointé vers le ciel à contempler les étoiles. Celles-ci ne bougeaient pas dans le ciel mais lui donnaient à elles seules plus d'éclat que la Lune elle même. Ces étoiles qui vous font oublier tout vos problèmes, vous laissant planer en leur compagnie, laissant vos soucis sur terre en vous emmenant vers les cieux. Ces étoiles symboliques qui nous relient tous, lorsque nous regardons le ciel, en ce même moment, de n'importe quel point de vue.
Cependant, un état serein n'est jamais long. Une autre lumière attirait mon attention, une lumière chaude et apaisante, située dans ma poche. Cette lumière n'était pas la même que celle du flash, mais provenais du même objet : La clé. En la sortant délicatement de ma poche, je remarquais que cette lumière m'indiquait une destination à suivre, par une flèche dessinée par la lumière sur le métal encore chaud.
Je ne sais toujours pas pourquoi j'ai fait cela, mais j'ai suivi cette flèche. Sur des mètres et des mètres, voir même des kilomètres. J'étais comme hypnotisé par la lumière en provenant, obstiné par cette destination. Je fus finalement stoppé de cette course acharnée par quelque chose d'imprévisible, quelque chose d'épique, de magique.
Une porte.
Cependant, cette porte avait une apparence étrange. Pas son apparence physique, car cela ressemblait à une porte en chêne peinte de blanc très banale, mais par le fait qu'elle soit posée seule dans un champs d'à peu près trois hectares. Malgré la bizarrerie de cette porte, quelque chose d'inconnu me poussa à aller plus loin. Une espèce de petite voix en mon fort intérieur qui me chuchotais "Fait le ! Faaaaaait leeeee !".
Et je le fis.
Je mis la clé dans l'étrange serrure dorée de cette porte, et la tourna vers la droite. Le verrou émit un petit "Clic", et la porte s'ouvrit sur un spectacle magnifiquement étrange. Deux rangées composées de milliers de portes allant jusqu'à se rejoindre tellement la distance était impressionnante étaient là sous mes yeux. Toujours la même porte, dans des milliers d'exemplaires. J'avançais de quelques pas pour entrer dans cette étrange pièce où mes pas résonnaient comme si j'eus porté des chaussure à claquettes, avant d'entendre la porte d'où je provenais claquer derrière moi. Lorsque je me retournai, je la voyais se dissoudre dans le néant, m'empêchant toute chance de retour. J'étais coincé dans ce monde étrange, à la croisée de tous.
Je n'avais désormais plus le choix. Pour sortir de cette salle, j'allais devoir ouvrir l'une de ces portes. J'allais me fier à mon instinct pour trouver la bonne porte. Je marchais donc pendant plusieurs mètres jusqu'à trouver une porte entre-ouverte qui m'intrigua.
Je poussais la porte vers l'extérieur, et avançais mon pied pour sortir de cet endroit.
Je l'avais peut-être trouvée, ma solution.
Cependant, un état serein n'est jamais long. Une autre lumière attirait mon attention, une lumière chaude et apaisante, située dans ma poche. Cette lumière n'était pas la même que celle du flash, mais provenais du même objet : La clé. En la sortant délicatement de ma poche, je remarquais que cette lumière m'indiquait une destination à suivre, par une flèche dessinée par la lumière sur le métal encore chaud.
Je ne sais toujours pas pourquoi j'ai fait cela, mais j'ai suivi cette flèche. Sur des mètres et des mètres, voir même des kilomètres. J'étais comme hypnotisé par la lumière en provenant, obstiné par cette destination. Je fus finalement stoppé de cette course acharnée par quelque chose d'imprévisible, quelque chose d'épique, de magique.
Une porte.
Cependant, cette porte avait une apparence étrange. Pas son apparence physique, car cela ressemblait à une porte en chêne peinte de blanc très banale, mais par le fait qu'elle soit posée seule dans un champs d'à peu près trois hectares. Malgré la bizarrerie de cette porte, quelque chose d'inconnu me poussa à aller plus loin. Une espèce de petite voix en mon fort intérieur qui me chuchotais "Fait le ! Faaaaaait leeeee !".
Et je le fis.
Je mis la clé dans l'étrange serrure dorée de cette porte, et la tourna vers la droite. Le verrou émit un petit "Clic", et la porte s'ouvrit sur un spectacle magnifiquement étrange. Deux rangées composées de milliers de portes allant jusqu'à se rejoindre tellement la distance était impressionnante étaient là sous mes yeux. Toujours la même porte, dans des milliers d'exemplaires. J'avançais de quelques pas pour entrer dans cette étrange pièce où mes pas résonnaient comme si j'eus porté des chaussure à claquettes, avant d'entendre la porte d'où je provenais claquer derrière moi. Lorsque je me retournai, je la voyais se dissoudre dans le néant, m'empêchant toute chance de retour. J'étais coincé dans ce monde étrange, à la croisée de tous.
Je n'avais désormais plus le choix. Pour sortir de cette salle, j'allais devoir ouvrir l'une de ces portes. J'allais me fier à mon instinct pour trouver la bonne porte. Je marchais donc pendant plusieurs mètres jusqu'à trouver une porte entre-ouverte qui m'intrigua.
Je poussais la porte vers l'extérieur, et avançais mon pied pour sortir de cet endroit.
Je l'avais peut-être trouvée, ma solution.
Commentaires
- Pseudo supprimé
27/12/2010 à 00:22:12
J'aime quand tu laisses du suspense à la fin du chapitre
Sweet