Note de la fic : :noel: :noel: :noel: :noel:

La clé d'un monde.


Par : Wukund
Genre : Fantastique
Statut : C'est compliqué



Chapitre 1 : La découverte.


Publié le 25/12/2010 à 22:39:05 par Wukund

Ce qui se passa ce jour là, changea ma vie à tout jamais. En bien comme en mal. Nous étions le 6 Juin, lorsque je trouvai quelque chose qui changea ma vie à jamais.

J'étais en train de marcher à ce moment là dans une ruelle située dans un quartier chic de Paris, mais lorsque je vous dis un quartier chic, je ne parle pas de ces quartiers remplis d'immeubles qui peuvent facilement vous venir à l'esprit tellement ils sont présents dans les grandes villes, mais de ces quartiers simple aux habitations chères et magnifiquement construites, où l'on trouve de magnifiques jardins travaillés jusqu'à la moindre feuille, jusqu'au moindre bourgeon et jusqu'au choix des fleurs utilisées pour que ces jardins soient dignes des plus grands, donnant l'impression d'avoir été construits par l'alliance d'un fleuriste et d'un jardinier talentueux, les figeant de beauté pour l'éternité. Dans ces quartiers, on trouve aussi des parcs magnifiques, tant par leur végétation choisie pour illuminer ces lieux même lorsque la lune plane au dessus d'un ciel noir, entourée de ses amies brulantes regroupées par constellations, nommées les étoiles, que pour les aménagements effectués dans ceux-ci, se mariant parfaitement avec la nature alors que ceux-ci ne sont pas censé le faire. Crachant des jets d'eau reflétant tels des milliers de miroirs la lumière du jour et de la nuit dans des cuves de marbre que le temps avait parcouru, ces fontaines magnifiques désormais arrachées à l'humanité par une nature ancienne qui les eût recouvert de mousse et de racines.

C'est à coté de ces jardins, habitations et parcs magnifiques que je marchais sans but précis après avoir fui mon lieu de vie.
En effet, mes parents devenaient de plus en plus oppressants, leur autorité n'ayant plus d'effet sur moi. En effet, je venais de fêter mes dix-huit ans quelques jours auparavant, fêtant par la même occasion, mais seul cette fois-ci, l'arrêt de mes études. Ces jours ont été un enfer pour moi et mon égo. Mes parents me criant sans cesse : "Tu as raté ta vie, Lyke !" "Pourquoi mon fils est débile, bon dieu !" nous deux nous prenions en plein visage ce type de remarque toute la journée, mais ces remarques n'affectaient ni moi, ni mon égo.

J'avais arrêté mes études pour arrêter d'être guidé par des personnes elles même guidées vers un but commun : La mort dans la lassitude. En effet, toutes ces personnes qui travaillent tout les jours, sans répit, tout cela uniquement pour organiser une économique dégringolant chaque jour, n'est que d'une lassitude énorme. J'ai donc choisi de vivre ma propre vie, d'une manière différente que celle des autres.

Je ne savais pas vraiment comment j'allais faire, lorsque le bruit de mes pas se reflétait dans la nuit sur un trottoir pavé, illuminé par des grands lampadaires de fer froid à la pointe brillante. Tout du moins, je pensais à ce moment là que la solution n'allait pas se trouver toute seule.
En effet, une solution ne se trouve pas seule, il faut toujours des questions avant une solution. Cependant, la solution se trouva elle même, dans mon cas.

J'étais encore en train de marcher. Cependant, même les rues des quartiers chics ne sont pas très sûre la nuit. Je préférais donc me hâter. Je courais un peu, visant le poste de police dans mon esprit, afin d'être proche d'un lieu sécurisé si quelque chose devait m'arriver.

Cependant, quelque chose heurta mon visage et me força à m'arrêter. Je regardais autour de moi, les rues étaient déserte et peu rassurantes, un peu comme dans les films d'horreurs très vieux qui vous fichent les pétoches. La seule chose qui pouvait attirer mon attention était une clé, tombant au sol alors que je tournais mon visage. Au moment où elle toucha le sol, elle émit un petit bruit caractéristique, mais en plus de cela, elle s'illumina une demi seconde, d'une lumière très forte, presque semblable à un flash. Je descendis ma main vers le sol, et soulevais cette clé très légère. Elle était légèrement dorée et était très étrange, car plate comme une vitre de cinq millimètres d'épaisseur.

Je la mis dans ma poche et m'asseyais sur un banc près du poste de police, l'air innocent de ce qui allait se passer. Cependant, les évènement qui suivirent allaient être causés par ma faute.


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