Et plus si affinités
Par : PaulAllender
Genre : Sentimental, Fantastique
Statut : C'est compliqué
Chapitre 24
Publié le 23/11/2010 à 14:13:25 par PaulAllender
-Tu sais Alice, t'es vraiment une fille sympa, j't'aime bien et....
-Chuuuut, tais toi.
Alizée se mit à rire bizarrement pendant quelques secondes puis se tût. Je jouais avec ses cheveux (le rouge était pas très commune comme couleur quand on y pensait), doux, délicats, à la manière d'une velours de flammes voluptueuses, tissé par des anges. Nous restâmes là, sans rien dire pendant 5 bonne musique quand No Surprises de Radiohead se fit entendre. Les couples encore valide ou capable de tenir debout et de danser s'enlaçaient, dansant un slow langoureux et triste à la fois. Quelques filles avaient les larmes aux yeux en dansant, faisant couler leur maquillage sur le sol ou leurs partenaires. Alizée se redressa, me regarda dans les yeux, m'embrassa rapidement, me prit la main et m'invita à danser.
Nous étions collés, l'un à l'autre, nous étreignant tendrement, je suis sûr que si j'avais été dans mon corps, j'aurais bandé à m'en faire craquer le caleçon. Nous étions là tous les deux, nous dressant parmi tous ces gens, au milieu de cette foule compacte qui paraissait les étouffer, prisonniers de l'atmosphère suave de la pièce. Pourtant, nous étions ailleurs, loin de cette maison, en suspension sur un nuage, dans un coin de l'univers empli de décontraction, à la pesanteur spirituelle quasi nulle. Après deux minutes, Alizée me glissa à l'oreille qu'elle devait aller aux toilettes deux minutes.
-D'accord, mais fais vite !
Elle relâcha son étreinte m'embrassa tout doucement et s'éloigna en sautillant, sans se retourner. Je la regardais disparaître au fur et à mesure qu'elle avançait, comme une flamme qui s'effaçait petit à petit dans l'obscurité. Je restai planté là, au milieu des couples, sans bouger ou détourner mon regard. Elle était jeune pourtant. Quatorze ou quinze ans, pas plus. Mais elle m'attirait. Vraiment. Son visage innocent de collégienne était hypnotisant, exhalant un charme de pudeur aguicheuse. Cette fille était vraiment géniale
-Ah, Alice, t'es là !
Je sursautai, comme tiré d'un rêve. C'était Will, je l'avais carrément oublié.
-On danse ?
La chanson n'était toujours pas terminée, et Will me pris la main, me collant à lui pour un second slow emplit de tendresse. J'étais bien aussi dans ses bras, les effets de l'alcool me faisaient m'abandonner à leur stabilité sensuelle. Soudain, la musique s'arrêta, je levai la tête, fixant Will, qui approcha sa tête de la mienne, et m'embrassa, tout doucement, pendant une brève seconde. Un bruit de bouteille brisée se fit entendre. Tout le monde tourna la tête vers la gauche ; c'était Alizée, une bouteille de whisky dans la main, atterrée par ce qu'elle venait de voir. Elle me fixa avec un air de dédain larmoyant et sorti de la pièce à grands pas. Déçu de moi même, je lâchai Will et me lançai à sa poursuite, bien décidé à la rattraper.
-
-------------------------------------- *
On pleure avec Maman et Papa rentre dans la pièce, il court, il a peur on dirait.
-Claire, qu'est ce qui se passe ?
-... C'est... mon p...père...
-Il est arrivé quelque chose à ton père ? Dis moi !
-Il...Il est mort...
-Oh merde...
Papa se colle à nous mais il pleure pas, c'est bizarre... Maman se colle à lui, et elle pleure encore plus.
--- 1 mois plus tard ---
On est dans un cimetière, il fait froid, c'est le matin. On est à peine six. Moi, Papa, Maman, Kévin, le curé et une copine à maman. Maman elle tient Kévn dans ses bras, on est tous habillés tout en noir, même lui. Maman est bien triste, elle pleure encore... Il fait vraiment froid.
Un froid polaire verglaçant littéralement l'esprit des personnes présentes, tel l'appel silencieux d'un damné tentant d'emporter avec lui toute l'assistance, comme une convocation par les éléments, les appels au secours venteux du défunt brûlaient froidement la famille assistant à l'enterrement.
Le curé parle depuis le début mais j'entends pas tout avec le vent, alors je m'approche.
-En un tragique accident de voiture s'est achevée la vie de Vincent Perec. Qu'il repose en paix.
*Tap*
Le curé referme son livre, et on s'en va. Tous.
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Dehors. Je respirais un peu mieux, même si mon coeur se haletait comme jamais, rebondissant, frappant ma poitrine, la cognant avec insistance, comme pour en sortir. J'arrivais pas à y croire, c'était pas possible.. A en croire les dires du vieux, il était mon grand-père, celui que j'avais pris pour mon grand père toute ma vie était en réalité mon oncle. Je cuisais littéralement quand des larmes se mirent à couler sur mes joues. Je restai là, plantée, sans la moindre force dans les bras, assis sur mon fauteuil "roulant". Le temps et l'espace paraissait figés. Impossible d'émettre le moindre son. Impossible de bouger le plus petit muscle qui soit. Impossible d'entendre un bruit, aussi infime soit il. Comme rouillée par mes larmes.
Soudain, la porte s'ouvrit. Le vieux en sorti et me regarda, visiblement calmé.
-Tu veux rentrer ?
Il avait retrouvé son habituel sourire, et son air de sérénité imprescriptible, comme un repentir. La vue de son visage me donna envie de vomir.
-Allez au Diable...
Sans que je comprenne comment, je retrouvai l'usage de mes sens, quasi instantanément, décidant de repartir chez moi. Ce type était vraiment un monstre... Il avait abandonné ma mère et mon oncle, le laissant l'élever pendant que cet imbécile dessinait et peignait ses saloperies, se tapant des putes aux quatre coins du globe alors que ses gosses l'attendaient. Arrivée chez moi, je ravageais tous mes dessins ; tout ce qui avait un rapport avec le vieux. Plus jamais de dessin ou de peinture, c'était fini tout ça.
Une semaine s'écoula lentement. Très lentement même. Comme si le temps était retenu prisonnier, quelque part ailleurs. Je m'étais lancé dans l'apprentissage de la jonglerie pour passer le temps. Mais ça marchait pas des masses en fait... Depuis une semaine je m'ennuyais sec. A part WoW et les petits passages à jouer chez Cyril (que j'ai vite arrêtés à cause de l'odeur), je ne faisais rien. J'étais allongée sur mon lit, contemplant mon plafond d'un blanc pur. Il n'avait rien à se reprocher lui. Je décidai de me rouler une clope, ça faisait longtemps. Il me restait quelques miettes de Camel presque sèches. Juste assez. Je pris donc un filtre, le tabac restant, une feuille d'OCB et me roulai ma clope. Magnifique, une vraie oeuvre d'art. Rouler, était quand même un des grands plaisir de la vie quoi qu'on en dise. Je la mis dans ma bouche et cherchais mon briquet un peu partout. En regardant dans le tiroir de ma table de nuit, retrouvant le dessin du vieux, l'homme qui se plantait un as de pique dans le coeur. A ce moment là, je compris.
"-Bien, je vois un homme dans une cellule qui se plante un as de pique dans le coeur, et qui inonde la pièce avec ses larmes.
-Bien, c'est une part lui même qu'il a essayé de représenter sur ce tableau... Durant notre séjour en Algérie, donc, nous avons rencontré beaucoup de personnes ; des miséreux, des rois du pétroles, des voleurs, des militaires... L'un d'entre eux était un homme d'une quarantaine d'année, toujours triste. Sa fille lui manquait terriblement, il avait abandonné sa femme à la naissance de leur enfant, et il regrettait, se laissant mourir à petit feu. Il avait provoqué lui même son malheur, qui le tuait lentement mais sûrement en abandonnant sa femme, comme l'homme sur le tableau qui s'est planté l'as de pique qu'il n'arrive pas à retirer de son coeur, et qui finira par le noyer. Cette journée fut une réelle prise de conscience pour lui. Ne voulant pas finir comme cet homme, il décida de rester vivre là bas, avec une femme et un enfant.
-Ca a beau être noble, c'est un peu bête quand on y pense, il aurait pu tout simplement retourner chez lui, retrouver sa femme et sa fille.
-Tu vois, il y a des choix dans la vie qu'on ne peut effacer, puis ça aurait été trop tard de toute manière, elle avait déjà refait sa vie, avait eu un autre enfant...
Impossible, comprend le, il n'aurait pas pu refaire surface après tout ses années ; qu'y pouvait il... ?
-Rien, j'imagine..."
Je compris qu'il regrettait amèrement ce qu'il avait fait, j'avais moi même compris son point de vue sans savoir que ça concernait ma mère. Puis, yavait que les imbéciles qui changeaient pas d'avis ! Je m'habillai rapidement et sorti de chez moi tout aussi vite arrivant devant la caravane du vieux. J'hésitai légèrement, puis toquai à la porte.
*Toc toc tocatoctoc toc toc*
La porte s'ouvrit. Le vieux en sorti et me regarda, calme.
-Je peux rentrer ?
Il avait toujours son habituel sourire, et son air serein.
-Bien sûr.
-
Je courrais derrière Alizée qui était carrément sortie de la maison. Elle marchait rapidement sans même détourner son regard, sachant pourtant pertinemment que j'étais là.
-Ecoute, c'est LUI qui m'a embrassé, j'y suis pour rien !
Elle ne répondait pas. Je la suivis inlassablement pendant dix minutes sans cesse à lui parler quand nous arrivâmes au port. Elle avait descendu la moitié de la bouteille de Vodka qu'elle se trimbalait, sans répondre.
-PUTAIN, MAIS REPONDS MOI.
Soudain Alizée s'arrêta et me regarda en souriant très légèrement puis s'assit sur le bord du quai.
-Fais pas ça, je suis déjà tombé en..
-Je m'en fiche.
Ce fût la goutte d'eau qui fit déborder le vase. Excédé, je me mis à lui hurler dessus.
-Putain, tu m'emmerdes, je t'explique, mais tu veux pas comprendre, et bah j'vais pas t'courir après, reste ici, tu me casses les burnes... Et puis va t'faire foutre aussi tiens !
Je me retournai et fis à peine deux pas lorsque la voix d'Alizée m'arrêta.
-Attends.
Je fis volt face, à 3 mètre d'elle. Elle pointa sa main droite vers moi en mimant un pistolet et fit mine de me tirer dessus.
-Pan !
Je la regardais, l'air surpris, quand elle se mit à rire aussi bruyamment que tout à l'heure.
-Alalah, Alice Alice Alice...
Elle se leva, s'avança vers moi et s'évanouit dans mes bras, comme d'un sommeil ferreux, aimanté à ma personne.
[* NDLR : Le passage entre "--------" et "-------" est un flashback de l'enterrement de Vincent (l'oncle d'Alice donc) pour les attardés, genre NPTK ]
Commentaires
- Pseudo supprimé
22/06/2011 à 08:31:29
Euh et la suite c'est pour quand
- Canis_Wolfborn
13/12/2010 à 20:27:21
Moui. En fait à me relire j'ai été assez agressif, c'était pas vraiment le but, l'histoire en elle-même reste intéressante, c'est juste ce contraste vraiment impressionnant qui me chagrine un peu, ainsi que parfois ton style. Sinon, je veux aussi la suite.
"C'est aussi pour montrer que la vie c'est jamais juste triste ou marrant, et que rien n'est ni tout blanc ni tout noir"
Malheureusement là on a viré dans le noir abyssal je trouve...
Enfin bref je te fais confiance, de toute façon je continuerai de te lire . C'est vrai que 2, c'est assez faible, mais c'est un avis personnel, pas un jugement, je suis sûr que beaucoup de personnes pensent le contraire et c'est pour ça que tu as 4 d'ailleurs. Donc ne t'arrête pas . - PaulAllender
13/12/2010 à 19:38:34
Je savais que j'aurais un jour un commentaire comme ça...
Donc pour commencer, concernant le contraste...
Le truc, c'est que quand j'ai commencé à écrire cette fic, j'étais encore dans l'esprit de la précédente, très 15-18 donc. Le truc, c'est qu'au fur et à mesure que ça avançait, écrire un texte marrant, ça m'amusait même plus au final.
Je sais pas, ça m'a pris d'un seul coup comme ça, le comique m'amusait plus, et l'histoire a pris des airs de tragédies, il est vrai.
Mais si je fais ça, c'est justement parce que j'ai toujours eu du mal à trouver un style linéaire en gros, soit comique, soit triste. C'est aussi pour montrer que la vie c'est jamais juste triste ou marrant, et que rien n'est ni tout blanc ni tout noir, et sans te mentir ou quoi, j'avais prévu de relancer bientôt l'effet comique histoire d'illuminer un peu l'histoire devenue assez sombre. ^^
Histoire donc que tu trouves donc totalement irréaliste. En fait, c'est histoire s'inspire assez de ma vie, de celles de mes amis. Comme je l'ai dit en com, je m'inspire souvent de personnes réels pour mes personnages. Certains peuvent sembler caricaturaux comme ça, mais ils sont quasiment tous inspirés de personnes existant réellement. Le père de Maxime, j'ai un pote dont le père lui a foutu un coup d'boule pour moins que ça et était vraiment aussi agressifs que ça, et supportait très mal la "non-vie" de son nolife de fils, par exemple. Ou encore pour la mère d'Alice malade, ma tente paternel a eu deux cancers successifs (en ce moment d'ailleurs) et une fille complètement conne, orgueilleuse, ingrate et capricieuse.
Puis voilà, ça peut te sembler caricatural au niveau de la drogue, mais pourtant, je t'assure que c'est pas si impossible que ça. Quand je vais dans des soirées et que je vois la quantité d'alcool et de drogues ou que des potes m'en racontent, je t'assure que c'est parfois pire que ça, sans déconner. Même dans la vie de tous les jours, j'ai des potes qui fument du cannabis tous les jours, sans exceptions (j'en fume parfois aussi). Et un de mes meilleurs ami ss'est déjà fait proposé par un mec de sa classe de la coke (on est en 2nde...), j'ai même un autre bon pote de mon âge qui en a dealé. Même l'alcool, j'ai pris ma première cuite à 14 ans, et je connais des filles qui on fait ça encore plus tôt, donc cet aspect alcool/drogue est absolument pas exagéré et pourrait être encore plus omniprésent...
Puis pour maxime qui passe par la fenêtre après s'être taillé le petit doigt, il y avait un fait divers comme ça ou un mec (sous champis), s'était pris pour une carotte et s'était râpé le bras à l'épluche légume...
Enfin, tout ça pour dire que la présence drogue alcool est pas si impossible que ça, et que la détresse des personnages est même commune à beaucoup de personnes, j'ai moi même une famille de barge et mes meilleurs amis aussi, et je peux te dire qu'à une époque, mon moral volait pas plus haut et que les situations sont pas si improbables que ça...
Ceci dit, je comprends ton point de vue et ton commentaire est très constructif hein, qu'il me montre à quel mon style a totalement changé assez rapidement. Concernant ton exemple, en le relisant, c'est vrai que c'est assez surfait, mais bon, ça arrive, j'ai pas la prétention d'être un PGM, j'écris que depuis 4 mois quoi, même pas ...
J'ai encore beaucoup de progrès à faire et ton commentaire m'y aidera forcément, merci !
+ pavay - Canis_Wolfborn
13/12/2010 à 03:27:41
Alors alors...
J'avais mis un 4 au début. Puis finalement, je baisse à 2... Pourquoi?
Le contraste entre:
-les premiers chapitres, ambiance très 15-18, assez drôle, des situations cocasses et surtout de l'interaction entre les deux personnages qui sont pas à l'aise avec leurs nouveaux corps...
-Et la suite, qui perd tout aspect comique pour un truc hyper sombre, trop dans le trash, le choquant, ça en devient presque cliché, trop de drogue, trop d'alcool à mon goût, bref j'ai l'impression qu'on n'est presque plus dans un échange de corps mais dans la description totalement irréaliste de ce que pourrait être un genre de descente aux enfers poussée dans ses retranchements, avec les situations totalement improbables mais qui arrivent toutes à la fois.
De plus, avec la perte de l'effet comique, tu fais des descriptions hyper complexes et sérieuses en usant de mots parfois assez "wtf"... Un exemple: "Le mistral, plus comparable à une bise hurlante, semblait siffler à mes tympans, à l'instar des flots acides qui paraissaient ronger l'espoir et chuchoter à mes oreilles en des supplications affligées pareilles à des murmures hurlants de banshee chagrinée." Pour parler franchement, ça fait un peu écrivain qui essaie de placer le plus tournures possibles pour épater la galerie...
'fin bref, c'est que mon avis, et il n'engage que moi et moi seul (tu sembles avoir un public régulier), mais je suis vraiment déçu par l'évolution dans le temps de cette fic qui au départ était vraiment fraîche et drôle... - HAPONOEL
10/12/2010 à 08:57:12
D'accord.
/me note dans son pokédex
(Non pasque j'ai une bonne pelletée d'idées sur le feu pour plusieurs (oui, plusieurs) séries de romans dans un univers coloré et bossé à souhait, mais... Je trouve pas le "truc" D'ailleurs merci de partager votre savoir avec moi ). - Mecherki
09/12/2010 à 21:29:26
Je t'aime JP!
- PaulAllender
09/12/2010 à 18:19:37
Bah euh pour tout dire, j'ai commencé cette fic sur un coup de tête après m'être tapé un délire avec un pote en m'inspirant de personnes qui existent vraiment pour les personnages d'Alice et Maxime (et plusieurs autres ), en me disant juste "faudra que j'arrive à caller ça, ça, ça et tout...' en écrivant l'histoire au fur et à mesure en réfléchissant un minimum au scénar.
Puis petit à petit j'ai commencé à plus prévoir, anticipé, pour tout te dire, j'ai déjà écrit l'intrigue principale pour une bonne vingtaine de chapitres à venir là... - HAPONOEL
09/12/2010 à 11:35:37
Dans ce cas, félicitations pour l'encrage, très bien trouvé
+Ouais! Une sweet! \\ /
(Ceci dit, une question... Vous aviez déjà tout le scénario en tête au commencement ou vous avez improvisé/bâti au fur et à mesure que les pages se tournaient?) - PaulAllender
08/12/2010 à 21:50:40
Haha, merci pour ton com, c'est vraiment sympa... ^^'
Ceci dit, tu peux m'tutoyer mec...
Quant à "encrer", sans vouloir faire mon Zola, c'était effectivement un jeu de mot, le tout se rapportant à un livre, à des peintures qu'elle cherche à mémoriser en les fixant, elle essaie de les peindre dans son esprit justement, d'où l'utilisation d'"encrer" et pas "ancrer" pour le coup...
Enfin bref, j'essaie de faire la sweet dans la semaine - HAPONOEL
08/12/2010 à 21:43:53
PaulAllender, vous avez du talent.
(Oui, je vouvoie les personnes que je respecte.)
+ "Encrer", c'était une faute d'orthographe (ce qui m'étonnerait fort) ou un jeu de mot rabaissant François Pérusse au rang d'amateur?
+On ne le rajoutera jamais assez: SWEET! \\ / - Pseudo supprimé
08/12/2010 à 19:53:33
Pinaise, 3 chapitres d'un coup, c'est bon ça