Note de la fic :
Publié le 05/12/2010 à 21:06:49 par lelouch
["-D'acc'. Allé on est partit."]
Avant de se reposer, nous prîmes quelques précautions. Fermer la porte, et mettre un bureau devant, pour éviter toute intrusion pendant notre repos.
Toutes les fenêtres avaient leurs rideau fermé. Ce qui était pratique si on voulait éclairer la pièce.
"-On va dormir ici. Et on fera des tours de garde. Ok ?
-D'accord. Alors on se mettra dans le fond de la salle là-bas. Pour éviter de se faire avoir trop vite si les Zombies rentrent dans la salle.
-Pas con comme idée. Bon moi j'me sens en forme, alors j'fais le premier tour de garde.
-Bon on va dire.. 1er tour, Simon. 2eme tour, moi. Et bien évidemment Léo tu fera le dernier tour.
-Entendu.
-Au fait Léo, tout à l'heure j'ai trouvé des armes avec des chargeurs. Tiens ! 1 pistolet et 2 chargeurs. Comme Brieuc et moi.
-Yes ! Merci ! Je sais ce que tu va dire, et ne t'inquiète pas. Je l'utiliserais que si j'en ai vraiment besoin.
-Ok je savais que je pouvais compter sur toi ! Bon .. Maintenant on va manger et on commence les tours de garde.
-Très bien."
Après un petit repas, et des blagues douteuses, Brieuc et Léo allèrent se coucher. Mon tour de garde commença alors.
Au bout de quelques minutes, un des deux se mit a ronfler. Ce qui me fit sursauter. Mais je compris très vite qu'il n'y avait aucune menace.
Et cela m'apaisa même, de voir qu'au moins il y en avait un sur les trois qui était pas stressé au point de pas dormir.
Je regardais l'heure qui indiquait 23 h 29. Et me dirigea vers Brieuc pour le réveiller. Au moment ou j'allais poser ma main sur son épaule, un léger bruit se fit entendre au rez de chaussée. Comme un objet qui heurte le sol. Puis un second. Je me relevais tout doucement, sans réveiller personne. Dès fois que ce soit une fausse alerte. Sur la pointe des pieds, je me rapprochais de la porte, et y colla mon oreille. Rien. Un silence total. Je commençais a me demander si ce n'était pas mon imagination qui me jouait des tours. Et au même moment, quelque chose remua en bas. Je décidais donc d'aller voir. Je revenais auprès de nos affaires, pour y prendre une lampe torche, et la machette.
Le bruit en bas était toujours présent. Je pris donc mon courage a deux mains, et entrouvrit la porte, assez pour me laisser passer. Il n'y avait aucune luminosité, et le bruit s'était arrêté. Je restais sur la première marche, sans descendre pour l'instant. Pour que mes yeux s'habituent légèrement à l'obscurité ambiante. Un silence de mort s'était installé dans la pièce. Au bout de quelques secondes, mes yeux étaient habitué et je pus distinguer les formes de la pièce. Rien ne bougeait, même pas moi.
Le bruit repris, plus important cette fois, et il me guida vers les cellules où on avait tué les deux zombies il n'y a pas si longtemps.
J'entreprit de descendre les escaliers doucement. Une fois arrivé en bas, avant de me diriger vers les cellules, je regardais si la porte d'entrée était ouverte. Mais non. Toujours fermée. Le bruit venait de quoi dans ce cas ? Car un zombie ne peut pas fermer une porte...
Une idée me vint donc à l'esprit, pour savoir si c'était un zombie ou pas. Un stratagème simple mais efficace.
Je situais (toujours dans le noir) l'entrée des cellules, et un bureau juste en face mais éloigné. Sans faire de bruit, je posa ma lampe torche sur le bureau, et attendis quelques secondes.
Le bruit était toujours là, toujours aussi bizarre.
Je respirais un bon coup et c'était partit. Je ne devais pas faire d'erreur.
J'allume la lampe torche, je tourne le faisceau lumineux vers les cellules, et je donne un petit coup sur le bureau. Que la chose a l'intérieur entende et voie. Et dans le même geste, je fis un bond sur le côté et alla me réfugier quatre bureau plus loin.
Le bruit cessa. Ma respiration aussi.
Quelque chose tomba sur le sol, puis, plus rien. Je me concentrais pour entendre le moindre bruit, voir un mouvement. Mais rien.
Ce n'est que quelques minutes plus tard qu'une silhouette se dessina dans la lumière pâle de la lampe. Elle s'avançait vers la lampe. Malgrès la faible luminosité, je pus voir que c'était un homme, assez grand, portant une veste noire et un pantalon noir, mais je ne pus distinguer ses traits. Il avait l'air de porter quelque chose ressemblant a un pistolet, mais je n'eus pas le temps d'en voir. Au moment ou il allait prendre la lampe, je me cachais sous le bureau, pour pas qu'il ne me voie. Une voie grave se fit entendre.
"-Je ne sais pas ce que tu es. Mais je te conseil de sortir de ton trou. J'ai un Magnum pointé sur toi"
Il bluff pensais-je. Reste où tu es Simon, il ne te trouvera pas.
"-Je le redis. Si tu me comprend et que tu ne veux pas mourir sort de dessous le bureau"
Je ne pouvais rien voir de la personne ni de ce qu'elle faisait, car le bureau était en bois plein. (Donc avec un espace pour mettre ses jambes sous le bureau. Mais pas les étendre) Et je continuais a penser qu'il bluffait jusqu'à ce que je vis la lumière se diriger dans ma direction, et vit sur le bureau d'en face la lumière se répercuter. Comment était-ce possible ? Comment m'avait il vu ? Je n'ai pourtant fait aucun bruit une fois arrivé derrière ce bureau
"-Tu n'a pas l'air d'avoir compris. Donc je vais tirer à 3. 1... 2....
-Non ne tire pas s'il te plaît...
-Ah ! Tu es raisonnable. Maintenant sors de la que je voie ta tête."
Je ne me fis pas prier. Je sortis de dessous mon bureau. Et la personne pris soin de ne pas pointer la lampe sur moi pour ne pas m'aveugler.
"-C'est pas que je n'ai pas confiance, mais pose ta machette sur le bureau.
-Je n'ai pas confiance non plus, et je ne vous connais pas alors je vais pas vous obéir !
-Alexandre
-De quoi ?
-Je m'appelle Alexandre.
-Ok.. Moi c'est Simon. Redonne moi ma lampe-torche
-Tiens.. Il la lança. Tu es seul ici ?
-Merci. Non j'ai deux amis avec moi.
-Ok. Rejoins les. J'ai des choses à faire je reviens demain matin."
Je remontais donc l'escalier. Tout chez cet homme m'intriguait.
Qui était il ? Que faisait-il là ? Comment m'avait il vu ?...
Je décidais d'en parler aux autres et de l'attendre demain. Pour qu'il nous en dise plus !
Fin du chapitre
Chapitre d'une qualitée pas exeptionelle car j'ai pas écrit depuis longtemps. Désolé. Mais je pense me remettre a l'écriture.
Avant de se reposer, nous prîmes quelques précautions. Fermer la porte, et mettre un bureau devant, pour éviter toute intrusion pendant notre repos.
Toutes les fenêtres avaient leurs rideau fermé. Ce qui était pratique si on voulait éclairer la pièce.
"-On va dormir ici. Et on fera des tours de garde. Ok ?
-D'accord. Alors on se mettra dans le fond de la salle là-bas. Pour éviter de se faire avoir trop vite si les Zombies rentrent dans la salle.
-Pas con comme idée. Bon moi j'me sens en forme, alors j'fais le premier tour de garde.
-Bon on va dire.. 1er tour, Simon. 2eme tour, moi. Et bien évidemment Léo tu fera le dernier tour.
-Entendu.
-Au fait Léo, tout à l'heure j'ai trouvé des armes avec des chargeurs. Tiens ! 1 pistolet et 2 chargeurs. Comme Brieuc et moi.
-Yes ! Merci ! Je sais ce que tu va dire, et ne t'inquiète pas. Je l'utiliserais que si j'en ai vraiment besoin.
-Ok je savais que je pouvais compter sur toi ! Bon .. Maintenant on va manger et on commence les tours de garde.
-Très bien."
Après un petit repas, et des blagues douteuses, Brieuc et Léo allèrent se coucher. Mon tour de garde commença alors.
Au bout de quelques minutes, un des deux se mit a ronfler. Ce qui me fit sursauter. Mais je compris très vite qu'il n'y avait aucune menace.
Et cela m'apaisa même, de voir qu'au moins il y en avait un sur les trois qui était pas stressé au point de pas dormir.
Je regardais l'heure qui indiquait 23 h 29. Et me dirigea vers Brieuc pour le réveiller. Au moment ou j'allais poser ma main sur son épaule, un léger bruit se fit entendre au rez de chaussée. Comme un objet qui heurte le sol. Puis un second. Je me relevais tout doucement, sans réveiller personne. Dès fois que ce soit une fausse alerte. Sur la pointe des pieds, je me rapprochais de la porte, et y colla mon oreille. Rien. Un silence total. Je commençais a me demander si ce n'était pas mon imagination qui me jouait des tours. Et au même moment, quelque chose remua en bas. Je décidais donc d'aller voir. Je revenais auprès de nos affaires, pour y prendre une lampe torche, et la machette.
Le bruit en bas était toujours présent. Je pris donc mon courage a deux mains, et entrouvrit la porte, assez pour me laisser passer. Il n'y avait aucune luminosité, et le bruit s'était arrêté. Je restais sur la première marche, sans descendre pour l'instant. Pour que mes yeux s'habituent légèrement à l'obscurité ambiante. Un silence de mort s'était installé dans la pièce. Au bout de quelques secondes, mes yeux étaient habitué et je pus distinguer les formes de la pièce. Rien ne bougeait, même pas moi.
Le bruit repris, plus important cette fois, et il me guida vers les cellules où on avait tué les deux zombies il n'y a pas si longtemps.
J'entreprit de descendre les escaliers doucement. Une fois arrivé en bas, avant de me diriger vers les cellules, je regardais si la porte d'entrée était ouverte. Mais non. Toujours fermée. Le bruit venait de quoi dans ce cas ? Car un zombie ne peut pas fermer une porte...
Une idée me vint donc à l'esprit, pour savoir si c'était un zombie ou pas. Un stratagème simple mais efficace.
Je situais (toujours dans le noir) l'entrée des cellules, et un bureau juste en face mais éloigné. Sans faire de bruit, je posa ma lampe torche sur le bureau, et attendis quelques secondes.
Le bruit était toujours là, toujours aussi bizarre.
Je respirais un bon coup et c'était partit. Je ne devais pas faire d'erreur.
J'allume la lampe torche, je tourne le faisceau lumineux vers les cellules, et je donne un petit coup sur le bureau. Que la chose a l'intérieur entende et voie. Et dans le même geste, je fis un bond sur le côté et alla me réfugier quatre bureau plus loin.
Le bruit cessa. Ma respiration aussi.
Quelque chose tomba sur le sol, puis, plus rien. Je me concentrais pour entendre le moindre bruit, voir un mouvement. Mais rien.
Ce n'est que quelques minutes plus tard qu'une silhouette se dessina dans la lumière pâle de la lampe. Elle s'avançait vers la lampe. Malgrès la faible luminosité, je pus voir que c'était un homme, assez grand, portant une veste noire et un pantalon noir, mais je ne pus distinguer ses traits. Il avait l'air de porter quelque chose ressemblant a un pistolet, mais je n'eus pas le temps d'en voir. Au moment ou il allait prendre la lampe, je me cachais sous le bureau, pour pas qu'il ne me voie. Une voie grave se fit entendre.
"-Je ne sais pas ce que tu es. Mais je te conseil de sortir de ton trou. J'ai un Magnum pointé sur toi"
Il bluff pensais-je. Reste où tu es Simon, il ne te trouvera pas.
"-Je le redis. Si tu me comprend et que tu ne veux pas mourir sort de dessous le bureau"
Je ne pouvais rien voir de la personne ni de ce qu'elle faisait, car le bureau était en bois plein. (Donc avec un espace pour mettre ses jambes sous le bureau. Mais pas les étendre) Et je continuais a penser qu'il bluffait jusqu'à ce que je vis la lumière se diriger dans ma direction, et vit sur le bureau d'en face la lumière se répercuter. Comment était-ce possible ? Comment m'avait il vu ? Je n'ai pourtant fait aucun bruit une fois arrivé derrière ce bureau
"-Tu n'a pas l'air d'avoir compris. Donc je vais tirer à 3. 1... 2....
-Non ne tire pas s'il te plaît...
-Ah ! Tu es raisonnable. Maintenant sors de la que je voie ta tête."
Je ne me fis pas prier. Je sortis de dessous mon bureau. Et la personne pris soin de ne pas pointer la lampe sur moi pour ne pas m'aveugler.
"-C'est pas que je n'ai pas confiance, mais pose ta machette sur le bureau.
-Je n'ai pas confiance non plus, et je ne vous connais pas alors je vais pas vous obéir !
-Alexandre
-De quoi ?
-Je m'appelle Alexandre.
-Ok.. Moi c'est Simon. Redonne moi ma lampe-torche
-Tiens.. Il la lança. Tu es seul ici ?
-Merci. Non j'ai deux amis avec moi.
-Ok. Rejoins les. J'ai des choses à faire je reviens demain matin."
Je remontais donc l'escalier. Tout chez cet homme m'intriguait.
Qui était il ? Que faisait-il là ? Comment m'avait il vu ?...
Je décidais d'en parler aux autres et de l'attendre demain. Pour qu'il nous en dise plus !
Fin du chapitre
Chapitre d'une qualitée pas exeptionelle car j'ai pas écrit depuis longtemps. Désolé. Mais je pense me remettre a l'écriture.