La nuit a été courte, très courte ! En me réveillant, tous mes hommes était silencieux, éveillée mais très silencieux, il avait la trouille au ventre, presque envie de chier même ! En même temps, ce n’est pas la rigolade, la bas : Leur Gouvernement tout entier les ont laissé pourrir, maintenant les civil ont monté une sécession contre Le Gouvernement et tous les jours de plus en plus de familles meurt, soit de misère soit assassinée par l’armée ! Mais pourquoi des hommes de ce pays dévasté en veulent à nos projets ?
-Chef !
-Oui ?
-Nous sommes fin prêt !
-Excellent, suivez-moi à présent jusqu'à l’aéroport !
Nous montions dans un engin dernier cri à propulsion ultra-puissante ! Elle brillait comme la lumière du jour bien que c’était la nuit ! Je prenais place dans le premier rang, la meilleure en faite !
Pendant le voyage, j’allais aux chiottes brillantes comme la carrosserie de l’avion, avant même de rentrer, j’entendis des bruis suspect dans la salle des machines, comme celui d’un robot, ca siffler et grisonnait, Je sortie mon Flingue, la sueur au visage, je poussais la porte, lentement, lentement, très lentement… Cette salle était immense, il y a pas dire, cette avion est gigantesque ! Le bruit continuait à me siffler dans les oreilles, je faisais quoi ici ? Je cherchais le courage ? Ou la mort ? A première vue, je voyais rien, R.A.S, le sifflement se mit à s’arrêter, remplacé par des grognements agressif, la je me pissais dessus ! En reculant en douceur, un filet de bave tomba sur mon épaule droit, j’avais nul envie de mourir aujourd’hui, dans l’ombre du plafond, se présentait deux énorme yeux et une bouche affamée, pourquoi je ne tirais pas ? Pourquoi ? Le monstre plein de crocs se rapprocha, la je ne pouvais pas me retenir, je me voyais dans ces yeux, il n’avait pas l’air agressif, il chercha surement quelqu’un qui l’aiderai à survivre, j’ai baissé mon arme, et en espérant qu’il comprenne, je lui dis :
« Reste ici jusqu'à notre arrivée »
Le monstre s’en alla rapidement !
Ce n’est pas tout mais je devais faire mes besoins à moins que je l’aie déjà fait dans mon froc, et c’était le cas ! Beurk ! J’allai m’essuyer en me demandant ce que cette bestiole faisait dans la salle des machines ! Bon maintenant je retournais à ma place a côté de Jake :
_ Alors, comment va –tu ?
- Eh bien, eh bien, euh…
- T’as la trouille, c’est ca ? T’inquiète pas, moi aussi ca me faisait ca au début !
- Oui… Euh, ou nous sommes-nous à présent ?
- A peu près 10 Kilométres des frontières !
-D’accord …
Il Répondait très apeurée ! Je le comprenais ! Nous ne sommes pas tous pareil ! La normalité existe-t-il ?...