Note de la fic :
Publié le 01/07/2010 à 01:40:08 par Ratou
Qu'allais-je faire? Cette personne avait un lien certain avec tout ce sang retrouvé dans l'appartement. Devrais-je aller a son rendez-vous? Ce serai du sucide. Peut-être m'attendait t'il pour me tuer. Mais il etait avec ma mère si je ne venait pas et tout seul dieu sait ce qu'il lui ferait. Vue la quantitée de sang trouvé dans la chambre il ne faisait pas de doute que d'une manière ou une autre une scène horrible c'était déroulée. Ma mère était sans doute grièvement bléssée, un chat ne pourrai posséder autant de sang.
Si je n'allais pas au rendez-vous, peut-être risquerais-je d'agraver la situation. Cette pensée me tourmenta, l'heure ce défilait lentemant mais j'aurais tellement voulu qu'elle ce fige. Il fallait que me decider. Après une longue reflexion, je pris ma décision : je me rendrai cette nuit à la gare.
Je me mis donc en route. Le chemin était désert je ne rencontrais que quelques rares personnes qui m'avaient tous l'air d'être aussi malhonnêtes les uns que les autres. Je passais mon chemin tout en essayant d'être le plus naturel possible. Cette persone ne m'avait pas donné d'heures de rendez-vous fixe mais je me suis arrrangé pour arrivé a minuit à la gare. J'étais a porté de vue de la gare. Il n'y avait personne, la gare ou le jours regorgait de vies semblait vide et abandonnée depuis plusieurs annnées déjà tant les murs étaient sales et délabrés.
J'aprochais toujours de la gare, je pouvais maintenant distinguer les horaires des trains sur des panneaux-affiches grâçe cette petite portion de rayonnement de lune. Mais n'aperçevais toujours personne. C'est alors que j'entendis du bruit, on montait les marches qui reliait l'acceuil ou je me trouvais vers un des quait. Les bruits de pas étaient fermes et plein de determination, ils ce rapprochaient de moi. Je reculais pris de peur, mais étais déterminé a ne pas fuir.
J'perçus petit à petit une sillouette. Puis je le vit completement. C'était un homme de la quarentaine, d'une taille moyenne avec des cheveux fonçés, il avait des petit yeux noirs et profond comme les ténèbres. On pouvait sentir une aura maléfique qui émanait tout autour de son corp. Il aprochait toujours, il était tout près. Je ne pouvais plus fuir. Dans un élant de peur je fermis les yeux. C'était la fin.
- Tu as le cran de venir, je t'ai sous estimé.
Il m'avais parlé sans même être menaçant et dans un ton que l'on pourrai qualifier de normal.
- Où est ma mère ? Demandais-je, d'un ton peu rassuré
- Ah, tu as marché, navré de te le dire mais ta mère est morte. A vrai dire elle a éte assassiné. Il me disait ces paroles sans même une once de pitiée. J'ai menacé ta mère pour que tu vienne et sa marché.
Chanboulé par cette sinistre nouvelle, je restais figé devant lui. Ébetté, la tête vide. Entendant ses paroles << elle a été assassiné >>
Il continua :
- Je m'appelle Marcus delarive, et je suis à la recherche de ce salaud de serial killer. Il a encore fait une victime ce soir. Tu doit te demander pourquoi je te connait et pourquoi tu es là. Cette assasin qui ce nomme lui même le faucheur du soir, il tue ses victimes le soir juste avant le couché du soleil. Il observe ses proies quelques semaines avant de passer à l'action. Il a cependant une autre particularité, il tue avec une faucheuse, coupe la tête de ses victimes, ramène les cadavre dans sa cachette et mange leurs organes. Tu devais être une de ses victimes mais par chance l'hiver aproche et il a pas calculé que les jours sont de plus en plus courts. Il est donc parti avant la nuit.
Moi, j'étais dans la liste de ses victimes. Je ne pouvais plus prononcer un seul mot. Pourquoi moi, une personne ordinaire qui ne sortais que très rarement de chez moi a part pour aller étudier, étais déstinée a mourrir par les mains d'un tueur ? Heureusement ce temps qui devenait de plus en plus hivernal m'avais sauvé la vie.
- Maintenant que tu es avec moi tu est en sécurité. Demain soir il va revenir espérant te tuer. Non, il va te traquer jusqu'a ta mort.
Il ce dirigeait maintenant vers la sortie de la gare sans ce retourner. Il s'arrêta et demanda de le suivre. Il voulait sans doute m'enmener chez lui. Je le suivit. Nous rentrâmes dans une voiture noire, elle devait valoir cher. Aucune paroles étaient prononcé durant le trajet. Nous étions sorti de la ville et parcourions les petites routes silloneuses de la campagne. Au bout d'une heure de route, nous étions arrivés. C'était un décort de campagne avec des champs partout et au millieu il y avait un grand engard il pouvait, je pense, contenir un avion de taille moyenne.
Il me fit rentrer. A ma surprise ce n'était pas un angard mais plus un loft. L'habitation était grande et bien tenu.
-Vas dormir je te raconterais plus en detaille demain ce que tu as à savoir.
Il me montrais ma chambre, il y avait une grande fenêtre mais ne disposait pas de volets ni de rideau. Par conséquant les rayons de la lune arrivait a pénétrer et a finir leurs course sur mon visage. La pièce était vide ; elle ne possédait qu'un lit ainsi qu'un porte bougie en boi sur une comode.
Aprés son départ, je me suis allongé. Repensant a ma dure mésaventure quand j'aperçus sur la fenêtre une silouette elle tenait dans sa mais droite une grande faux. Elle faisait sa taille. Cette silouette aprochait. Je le voiyait prendre un élent vers l'arrière et donner avec sa faux un grand coup dans la vitre. Le verre ce dispersa en mille morceaux dans toute la pièce. La silouette était vetu de noir il s'aprocha dangereusement de moi. C'est alors que surgi un chien, il sauta sur mon agresseur. L'homme sorti un couteau de sa ceinture et transperça la peau de l'animal. Le chien tomba inanimé sur le sol. Marcus, alerté par le bruit entra violement dans la chambre armé d'un révolver. L'assassin pris sa faux et me lança un coup en direction de mon cou. Je parvins à arrêter son coup à l'aide du porte bougie en bois. Marcus tira trois coups de feu qui font fuir l'assassin. Il tenta de le poursuivre mais il s'était évanouit dans les champs qui les entouraient.
To be continued
Si je n'allais pas au rendez-vous, peut-être risquerais-je d'agraver la situation. Cette pensée me tourmenta, l'heure ce défilait lentemant mais j'aurais tellement voulu qu'elle ce fige. Il fallait que me decider. Après une longue reflexion, je pris ma décision : je me rendrai cette nuit à la gare.
Je me mis donc en route. Le chemin était désert je ne rencontrais que quelques rares personnes qui m'avaient tous l'air d'être aussi malhonnêtes les uns que les autres. Je passais mon chemin tout en essayant d'être le plus naturel possible. Cette persone ne m'avait pas donné d'heures de rendez-vous fixe mais je me suis arrrangé pour arrivé a minuit à la gare. J'étais a porté de vue de la gare. Il n'y avait personne, la gare ou le jours regorgait de vies semblait vide et abandonnée depuis plusieurs annnées déjà tant les murs étaient sales et délabrés.
J'aprochais toujours de la gare, je pouvais maintenant distinguer les horaires des trains sur des panneaux-affiches grâçe cette petite portion de rayonnement de lune. Mais n'aperçevais toujours personne. C'est alors que j'entendis du bruit, on montait les marches qui reliait l'acceuil ou je me trouvais vers un des quait. Les bruits de pas étaient fermes et plein de determination, ils ce rapprochaient de moi. Je reculais pris de peur, mais étais déterminé a ne pas fuir.
J'perçus petit à petit une sillouette. Puis je le vit completement. C'était un homme de la quarentaine, d'une taille moyenne avec des cheveux fonçés, il avait des petit yeux noirs et profond comme les ténèbres. On pouvait sentir une aura maléfique qui émanait tout autour de son corp. Il aprochait toujours, il était tout près. Je ne pouvais plus fuir. Dans un élant de peur je fermis les yeux. C'était la fin.
- Tu as le cran de venir, je t'ai sous estimé.
Il m'avais parlé sans même être menaçant et dans un ton que l'on pourrai qualifier de normal.
- Où est ma mère ? Demandais-je, d'un ton peu rassuré
- Ah, tu as marché, navré de te le dire mais ta mère est morte. A vrai dire elle a éte assassiné. Il me disait ces paroles sans même une once de pitiée. J'ai menacé ta mère pour que tu vienne et sa marché.
Chanboulé par cette sinistre nouvelle, je restais figé devant lui. Ébetté, la tête vide. Entendant ses paroles << elle a été assassiné >>
Il continua :
- Je m'appelle Marcus delarive, et je suis à la recherche de ce salaud de serial killer. Il a encore fait une victime ce soir. Tu doit te demander pourquoi je te connait et pourquoi tu es là. Cette assasin qui ce nomme lui même le faucheur du soir, il tue ses victimes le soir juste avant le couché du soleil. Il observe ses proies quelques semaines avant de passer à l'action. Il a cependant une autre particularité, il tue avec une faucheuse, coupe la tête de ses victimes, ramène les cadavre dans sa cachette et mange leurs organes. Tu devais être une de ses victimes mais par chance l'hiver aproche et il a pas calculé que les jours sont de plus en plus courts. Il est donc parti avant la nuit.
Moi, j'étais dans la liste de ses victimes. Je ne pouvais plus prononcer un seul mot. Pourquoi moi, une personne ordinaire qui ne sortais que très rarement de chez moi a part pour aller étudier, étais déstinée a mourrir par les mains d'un tueur ? Heureusement ce temps qui devenait de plus en plus hivernal m'avais sauvé la vie.
- Maintenant que tu es avec moi tu est en sécurité. Demain soir il va revenir espérant te tuer. Non, il va te traquer jusqu'a ta mort.
Il ce dirigeait maintenant vers la sortie de la gare sans ce retourner. Il s'arrêta et demanda de le suivre. Il voulait sans doute m'enmener chez lui. Je le suivit. Nous rentrâmes dans une voiture noire, elle devait valoir cher. Aucune paroles étaient prononcé durant le trajet. Nous étions sorti de la ville et parcourions les petites routes silloneuses de la campagne. Au bout d'une heure de route, nous étions arrivés. C'était un décort de campagne avec des champs partout et au millieu il y avait un grand engard il pouvait, je pense, contenir un avion de taille moyenne.
Il me fit rentrer. A ma surprise ce n'était pas un angard mais plus un loft. L'habitation était grande et bien tenu.
-Vas dormir je te raconterais plus en detaille demain ce que tu as à savoir.
Il me montrais ma chambre, il y avait une grande fenêtre mais ne disposait pas de volets ni de rideau. Par conséquant les rayons de la lune arrivait a pénétrer et a finir leurs course sur mon visage. La pièce était vide ; elle ne possédait qu'un lit ainsi qu'un porte bougie en boi sur une comode.
Aprés son départ, je me suis allongé. Repensant a ma dure mésaventure quand j'aperçus sur la fenêtre une silouette elle tenait dans sa mais droite une grande faux. Elle faisait sa taille. Cette silouette aprochait. Je le voiyait prendre un élent vers l'arrière et donner avec sa faux un grand coup dans la vitre. Le verre ce dispersa en mille morceaux dans toute la pièce. La silouette était vetu de noir il s'aprocha dangereusement de moi. C'est alors que surgi un chien, il sauta sur mon agresseur. L'homme sorti un couteau de sa ceinture et transperça la peau de l'animal. Le chien tomba inanimé sur le sol. Marcus, alerté par le bruit entra violement dans la chambre armé d'un révolver. L'assassin pris sa faux et me lança un coup en direction de mon cou. Je parvins à arrêter son coup à l'aide du porte bougie en bois. Marcus tira trois coups de feu qui font fuir l'assassin. Il tenta de le poursuivre mais il s'était évanouit dans les champs qui les entouraient.
To be continued
Commentaires
- Droran
01/07/2010 à 10:38:53
C'est fou comme tu t'améliores. Suite