Note de la fic : :noel: :noel:

Meurtre a la faucheuse


Par : Ratou
Genre : Horreur
Statut : Abandonnée



Chapitre 2


Publié le 24/06/2010 à 19:27:25 par Ratou

Je courus vers les toilettes pour vider mon kinder que j'avais mangé pour le quatre heures. C'est alors que je vois une flaque de sang sortir d'en-dessous de la porte de la chambre de ma mère...


Apeuré, plein d'images sombres tournaient autour de ma tête : je voyais ma mère aplatie sur le sol, entrain de donner son dernier soupir tout en me regardant les yeux larmoyant puis s'afaisant lourdement sur le sol carrelé. Je l'imaginais même avec un cauteau, massacrant notre deuxième et dernier chat : Luna que nous aviont receuillit au pied de l'immeuble, elle semblait perdu et n'avait pas de collier. J'avais fais le tour de la résidence pour la rendre à son propriétaire mais je n'ai pus le trouver, nous l'avons donc adoptée.

Je m'étais caché derrière un coin du mur qui délimitait la chambre, ainsi j'étais à affût des moindre bruits suspects et pouvais par conséquent réagir; soit fuir pour sauver ma vie si des sons donnés par une autre personne que ma mère ce faisaient ententre ou acourir dans sa chambre pour lui porter de l'aide après ses appels.

Toujours caché, j'éssayais de réguler ma respiration pour ne pas me faire repérer. Bien que j'avais crié dans la cuisine, peut-être personne ne m'avais entendu? Après de longues minutes d'attente je pris mon courage et avança d'un pas lent et tremblant vers la porte. La tâche de sang était toujours là et était peut-être encore plus large que la première fois ou je l'ai aperçu. Un frisson encore plus froid me traversa le corp. Le soleil commençait a ce coucher, et toutes les lumière étaient éteintes, il faisait de plus en plus sombre.

J'approchais ma main lentement en direction de la poignée de la porte. Mon estomac étais noué. J'atteignis enfin la poignée en métal froid qui me gelai la main, je la tins fermement et exerça une pression, la porte s'ouvrit, il faisait sombre. La faible lumière des lampadaires éclairaient la chambre dont la seule fenêtre était pleinement ouverte. J'aperçus alors, dispersé dans toute la chambre du sang, il y en avait partout, même au plafond. Mais je pouvais distinguer une trace qui ce terminait à la fenêtre. Je me rendis au bord de la fenêtre mais je n'aperçus personne hormi les quelques voitures qui qui passèrent, la brise froide du vent en altitude me frappais.

Je fermais la fenêtre quand mon téléphone fixe sonna. Je suis resté crispé pendant un long moment ne savant quoi faire, puis d'un coup j'ai bondi sur le téléphone. J'appuis sur le bouton vert pour décrocher et je le mis sur mon oreille sans dire un mot. C'est alors que j'entendis une voix que je ne connaissait pas :

- Alors, on rentre tard des cours, Julien, tu n'as que 17 ans tu n'es pas majeur.
- Qu.., qui ête-vous? Je vous connais? ai-je demandé d'une petite voix

Cette voix était celle d'un homme dont je n'aurai pus savoir l'âge, sa voix était cassée. Il parraissait calme dans son discours.

- Ta mère ne dormira pas à la maison ce soir. J'aimerais te rencontrer. Hum, disont cette nuit au pied de la gare.
- Mais... ripostais-ge
- Ne ramène personne, ni même la police si tu veut voir ta mère. Et il racrocha.


to be continued :noel:


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