Note de la fic :
Publié le 02/09/2010 à 20:21:19 par CoeurDeBide
Nous restons tous sans bouger jusqu'à que le mec pris le portable du prof' mort et composa un numéro.
Il colla ensuite le téléphone à son oreille.
-Ouais les gars, c'est moi, j'peux pas m'occuper de cette affaire tout seul. Faut qu'vous venez merde ! Le lycée est grand ! [...] Oui j'suis sûr ! Allez, bougez votre fion parce que je sens que ça va mal finir si vous n'arrivez pas. [...] Dans un quart d'heure ? Y a pas une solution plus rapide de v'nir ? [...] Bon bah tant pis alors. Venez aussi vite que vous pouvez.
Puis il raccrocha et balança le portable par terre. Il fit ensuite les cents pas en attendant des renforts. François me chuchota :
-Chris, regarde à ta gauche, une porte de secours.
Effectivement, il y avait bien une porte de secours à coté de moi. Elle était grande, verte et pour l'ouvrir il fallait pousser une barre. Je répondis donc à mon pote :
-Ouais. J'te propose que dès qu'le mec a un moment d'inattention, on se jette sur la porte à toute allure.
-C'est ce que je pensais, mais tu crois qu'elle mène où ?
-Bah au couloir !
-Oui, j'suis pas con, mais j'dis ça parce qu'après le mec va sûrement nous courser et faudrait qu'on sache où on ira se réfugier non ?
-Mouais... Il me semble que y a des escaliers. Si on prend ceux qui nous mène vers le bas, on pourrais se planquer au réfectoire.
-Bonne idée, le réfectoire est grand et on le connait, on pourrais le semer !
-Euh... J'te rappelle qu'il est armé hein ?
-T'inquiète, on peux passer par dessus le comptoir et le longer jusqu'à la sortie qui donne sur la courre !
-Bonne idée gars.
Une fois d'accord, on se mit à observer le gars sans le lâcher du regard. Il faisait des allés retours en marchant dans la largeur de la pièce tout en s'arrêtant par moment pour jeter un coup d'oeil par la fenêtre, qu'il avait ouvert, au cas où si il y avait des personnes qui auraient tentés de s'enfuir. Au bout d'un moment, il regarda sa montre et commença à se plaindre :
-Mais putain, qu'est-ce qu'ils foutent ? J'aurais jamais dut y aller seul...
Il sortit un paquet de Malboro de sa poche, pris délicatement une cigarette dans sa main pour ensuite la coller entre ses lèvre et puis sortir son briquet pour l'allumer. Il recommençât à faire les cents pas quand tout à coup il s'arrêta à la fenêtre et déposa ses coudes au bord. C'est à ce moment là que je fit un petit signe à François.
Je me leva d'un coup brusque et je fonça vers la porte qui était à un mètres de moi, et je l'ouvris très rapidement. François couru derrière moi. Le gars avait à peine eu le temps de lâcher sa cigarette qu'on était déjà à la moitié de la distance entre la porte et les escaliers. Il courra aussi vite qu'il pouvait pour nous rattraper. Une fois au réfectoire, nous nous réfugions derrière le comptoir et nous avons couru tout en restant accroupi pour ne pas laisser notre tête dépasser. Il s'arrêta net à quelques dizaines de mètres du comptoir tout en tirant sur celui-ci en longueur, mais forte heureusement pour nous, la plus part des balles ne le franchirent pas. Mission accompli, nous avions réussi à débarquer dans la courre lorsque nous aperçûmes au loin, une camionnette noir, avec des tags dessus, qui s'était arrêtée au portail de l'entrée où l'on comptés aller. Je dit alors à François :
-Et merde ! Putain, fallait qu'ils arrivent à ce moment la ces blaireaux !
-Y a une allée à droite un peu plus derrière nous, elle mène au gymnase !
-Oui ! Si on y va on pourrait sortir par la porte derrière le gymnase!
-Go !
Nous nous dirigeâmes alors vers ce denier et, en route, François sortit son portable en appelant la police pour leur annoncer la prise d'otage.
-Oui bonjours, je m'appelle François Ferou et notre Lycée a était pris en otage. Moi et mon ami sommes en train de courir vers une sortie par derrière. [...] Notre Lycée se situe au 75632 allée des piqueurs. L'établissement se nomme "Lycée Crochudunay". [...] Merci bien !
Puis il raccrocha et rangea son mobile dans sa poche. Une fois au Gymnase, nous étions complètement épuisés. Nous décidions de nous rendre à la sortie quand soudain nous entendirent deux hommes parler :
-J'crois qu'ils sont là.
-Ouais, c'est c'que Jack nous a dit.
Il colla ensuite le téléphone à son oreille.
-Ouais les gars, c'est moi, j'peux pas m'occuper de cette affaire tout seul. Faut qu'vous venez merde ! Le lycée est grand ! [...] Oui j'suis sûr ! Allez, bougez votre fion parce que je sens que ça va mal finir si vous n'arrivez pas. [...] Dans un quart d'heure ? Y a pas une solution plus rapide de v'nir ? [...] Bon bah tant pis alors. Venez aussi vite que vous pouvez.
Puis il raccrocha et balança le portable par terre. Il fit ensuite les cents pas en attendant des renforts. François me chuchota :
-Chris, regarde à ta gauche, une porte de secours.
Effectivement, il y avait bien une porte de secours à coté de moi. Elle était grande, verte et pour l'ouvrir il fallait pousser une barre. Je répondis donc à mon pote :
-Ouais. J'te propose que dès qu'le mec a un moment d'inattention, on se jette sur la porte à toute allure.
-C'est ce que je pensais, mais tu crois qu'elle mène où ?
-Bah au couloir !
-Oui, j'suis pas con, mais j'dis ça parce qu'après le mec va sûrement nous courser et faudrait qu'on sache où on ira se réfugier non ?
-Mouais... Il me semble que y a des escaliers. Si on prend ceux qui nous mène vers le bas, on pourrais se planquer au réfectoire.
-Bonne idée, le réfectoire est grand et on le connait, on pourrais le semer !
-Euh... J'te rappelle qu'il est armé hein ?
-T'inquiète, on peux passer par dessus le comptoir et le longer jusqu'à la sortie qui donne sur la courre !
-Bonne idée gars.
Une fois d'accord, on se mit à observer le gars sans le lâcher du regard. Il faisait des allés retours en marchant dans la largeur de la pièce tout en s'arrêtant par moment pour jeter un coup d'oeil par la fenêtre, qu'il avait ouvert, au cas où si il y avait des personnes qui auraient tentés de s'enfuir. Au bout d'un moment, il regarda sa montre et commença à se plaindre :
-Mais putain, qu'est-ce qu'ils foutent ? J'aurais jamais dut y aller seul...
Il sortit un paquet de Malboro de sa poche, pris délicatement une cigarette dans sa main pour ensuite la coller entre ses lèvre et puis sortir son briquet pour l'allumer. Il recommençât à faire les cents pas quand tout à coup il s'arrêta à la fenêtre et déposa ses coudes au bord. C'est à ce moment là que je fit un petit signe à François.
Je me leva d'un coup brusque et je fonça vers la porte qui était à un mètres de moi, et je l'ouvris très rapidement. François couru derrière moi. Le gars avait à peine eu le temps de lâcher sa cigarette qu'on était déjà à la moitié de la distance entre la porte et les escaliers. Il courra aussi vite qu'il pouvait pour nous rattraper. Une fois au réfectoire, nous nous réfugions derrière le comptoir et nous avons couru tout en restant accroupi pour ne pas laisser notre tête dépasser. Il s'arrêta net à quelques dizaines de mètres du comptoir tout en tirant sur celui-ci en longueur, mais forte heureusement pour nous, la plus part des balles ne le franchirent pas. Mission accompli, nous avions réussi à débarquer dans la courre lorsque nous aperçûmes au loin, une camionnette noir, avec des tags dessus, qui s'était arrêtée au portail de l'entrée où l'on comptés aller. Je dit alors à François :
-Et merde ! Putain, fallait qu'ils arrivent à ce moment la ces blaireaux !
-Y a une allée à droite un peu plus derrière nous, elle mène au gymnase !
-Oui ! Si on y va on pourrait sortir par la porte derrière le gymnase!
-Go !
Nous nous dirigeâmes alors vers ce denier et, en route, François sortit son portable en appelant la police pour leur annoncer la prise d'otage.
-Oui bonjours, je m'appelle François Ferou et notre Lycée a était pris en otage. Moi et mon ami sommes en train de courir vers une sortie par derrière. [...] Notre Lycée se situe au 75632 allée des piqueurs. L'établissement se nomme "Lycée Crochudunay". [...] Merci bien !
Puis il raccrocha et rangea son mobile dans sa poche. Une fois au Gymnase, nous étions complètement épuisés. Nous décidions de nous rendre à la sortie quand soudain nous entendirent deux hommes parler :
-J'crois qu'ils sont là.
-Ouais, c'est c'que Jack nous a dit.