Note de la fic :
Lycée condamné
Par : CoeurDeBide
Genre : Action
Statut : Abandonnée
Chapitre 2 : Une journée (presque) comme les autres..
Publié le 02/09/2010 à 12:17:33 par CoeurDeBide
Tut Tut Tut Tut !
Le réveille sonne, il est 6h du mat'. Je me lève, boit mon café matinal avec des biscottes. Ah oui, j'oubliais, moi c'est Chris, j'ai 16ans et j'suis en seconde général. Aujourd'hui nous somme le mardi 15 février 2011 et je doit aller en cours.
Une fois tout prêt, je sors de chez moi et je prend le bus pour me rendre à mon Lycée qui est à 30min de chez moi en auto-car. Une fois dans le véhicule, je passe ma carte dans la machine et je m'assoie à coté de François, mon meilleur pote, comme tous les matin.
Nous entamons la discutions :
Moi : S'lut Franc', comment tu vas ?
François : Bien, comme tous les matins hein ?
Moi : Ouais... T'as fais ta dissert' ?
François : Quelle dissert' ?
Moi : Bah la prof' de Français nous a filé une dissert' à faire vendredi...
François : Eh merde ! Fait chier p'tin... Pourvu qu'il se passe quelque chose pour qu'on rate le cours...
Moi : Mouais, il faut vraiment avoir de la chance, c'est notre premier cours de la matinée...
François : Arf...
Sur ces mots, la discutions pris fin et nous arrivâmes au Lycée. Nous entrons dans celui-ci et nous nous rangeons devant la salle de Français quand soudain...
BAM ! BAM ! BAM ! AAAAAAAH
François : Hey ! T'as entendu ça ?
Moi : Ouais ! C'est surement un trizo' qui se fait tabasser sur les casiers...
François : J'penses pas. On aurait plutôt dit des coups de feu !
Moi : T'es un ouf toi, comme-ci y avait un gars qui se baladait dans les couloir avec un flingue...
Quand tout à coup, on vu au loin un jeune d'à peu près notre age, cagoulé avec une sorte de gros magnum à la main et une mitraillette attaché à une liasse dans son dos qui dépassée.
Moi : Oh nan... PUTAIN COURS !
François et moi coururent dans les couloirs à toute vitesse et nous nous réfugions dans une salle de classe où avait lieu un cours de Math'. Nous leurs crièrent qu'il y a un homme armé dans le bâtiment, nous renversèrent toutes les tables pour nous réfugier derrière celles-ci. Le prof' partit vers la porte pour la verrouiller quand tout à coup, l'homme défonça la porte et lui colla une balle dans la tempe.
L'Homme : Ne faites plus un geste où j'vous défonce le crâne ! le premier qui bouge j'lui mettrais une balle dans sa gueule de merde !
Nous restons donc immobile sous les ordre de l'homme armé.
François : Bah voilà, on rate le cours de Français comme ça... Me chuchota-t-il.
Moi : Taggle il va nous buter ! Lui dis-je en chuchotant de la même sorte.
Soudain un mec courra vers l'homme et fonce dans les jambe pour le mettre à terre et lui placer une droite mais l'homme, qui avait son flingue en main, leva la tête et au moment où il vu le poing arriver, il lui mit une balle dans sa main, ce qui metta l'élève hors de lui. Ce dernier cria de douleur tendis que le terroriste (si on peu appeler ça comme ça) se releva et sortit sa mitraillette pour lui foutre un coup de cross dans laggle. Le gars était au sol, inconscient.
L'Homme : Le prochain qui fait ça je lui mitraillerai le Z et je lui ferai bouffer de la craie !
Nous restons tous sans bouger jusqu'à que le mec pris le portable du prof' mort et composa un numéro.
Le réveille sonne, il est 6h du mat'. Je me lève, boit mon café matinal avec des biscottes. Ah oui, j'oubliais, moi c'est Chris, j'ai 16ans et j'suis en seconde général. Aujourd'hui nous somme le mardi 15 février 2011 et je doit aller en cours.
Une fois tout prêt, je sors de chez moi et je prend le bus pour me rendre à mon Lycée qui est à 30min de chez moi en auto-car. Une fois dans le véhicule, je passe ma carte dans la machine et je m'assoie à coté de François, mon meilleur pote, comme tous les matin.
Nous entamons la discutions :
Moi : S'lut Franc', comment tu vas ?
François : Bien, comme tous les matins hein ?
Moi : Ouais... T'as fais ta dissert' ?
François : Quelle dissert' ?
Moi : Bah la prof' de Français nous a filé une dissert' à faire vendredi...
François : Eh merde ! Fait chier p'tin... Pourvu qu'il se passe quelque chose pour qu'on rate le cours...
Moi : Mouais, il faut vraiment avoir de la chance, c'est notre premier cours de la matinée...
François : Arf...
Sur ces mots, la discutions pris fin et nous arrivâmes au Lycée. Nous entrons dans celui-ci et nous nous rangeons devant la salle de Français quand soudain...
BAM ! BAM ! BAM ! AAAAAAAH
François : Hey ! T'as entendu ça ?
Moi : Ouais ! C'est surement un trizo' qui se fait tabasser sur les casiers...
François : J'penses pas. On aurait plutôt dit des coups de feu !
Moi : T'es un ouf toi, comme-ci y avait un gars qui se baladait dans les couloir avec un flingue...
Quand tout à coup, on vu au loin un jeune d'à peu près notre age, cagoulé avec une sorte de gros magnum à la main et une mitraillette attaché à une liasse dans son dos qui dépassée.
Moi : Oh nan... PUTAIN COURS !
François et moi coururent dans les couloirs à toute vitesse et nous nous réfugions dans une salle de classe où avait lieu un cours de Math'. Nous leurs crièrent qu'il y a un homme armé dans le bâtiment, nous renversèrent toutes les tables pour nous réfugier derrière celles-ci. Le prof' partit vers la porte pour la verrouiller quand tout à coup, l'homme défonça la porte et lui colla une balle dans la tempe.
L'Homme : Ne faites plus un geste où j'vous défonce le crâne ! le premier qui bouge j'lui mettrais une balle dans sa gueule de merde !
Nous restons donc immobile sous les ordre de l'homme armé.
François : Bah voilà, on rate le cours de Français comme ça... Me chuchota-t-il.
Moi : Taggle il va nous buter ! Lui dis-je en chuchotant de la même sorte.
Soudain un mec courra vers l'homme et fonce dans les jambe pour le mettre à terre et lui placer une droite mais l'homme, qui avait son flingue en main, leva la tête et au moment où il vu le poing arriver, il lui mit une balle dans sa main, ce qui metta l'élève hors de lui. Ce dernier cria de douleur tendis que le terroriste (si on peu appeler ça comme ça) se releva et sortit sa mitraillette pour lui foutre un coup de cross dans laggle. Le gars était au sol, inconscient.
L'Homme : Le prochain qui fait ça je lui mitraillerai le Z et je lui ferai bouffer de la craie !
Nous restons tous sans bouger jusqu'à que le mec pris le portable du prof' mort et composa un numéro.
Commentaires
- MiniFeu
02/09/2010 à 16:08:45
Moi perso je trouve ça parfait Je note 5
- CrazyMarty
02/09/2010 à 14:08:00
D'une, les fautes.
De deux les dialogues : réécris ça avec des incises, on est pas au théâtre quoi
Je jetterais un oeil plus approfondi. - Pseudo supprimé
02/09/2010 à 12:49:12
Ouais mais non.
- CoeurDeBide
02/09/2010 à 12:26:08
M'okay', merci du conseil
- Khamsou
02/09/2010 à 12:21:32
Y a plein de fautes de conjugaison... C'est assez lourd à lire...
Je te conseille de corriger ça avant d'éventuellement écrire une suite.