Note de la fic : :noel: :noel: :noel:

Mon embrouille avec des Weshs


Par : Pseudo-colector
Genre : No-Fake
Statut : Terminée



Chapitre 6 : Chapitre 6


Publié le 30/08/2010 à 04:39:27 par Pseudo-colector

Voilà, je me retrouvais seul, caché dans un jardin, juste à côté du stade et voisin du grand escalier qu’on s’amusait à grimper le plus vite possible étant petit. Mais l’heure n’était pas à la nostalgie. On venait de se battre avec une dizaine de weshs très brièvement pour ensuite s’enfuir en courant. On c’était séparé. Deux de mes amis était dans la grande monté menant au coteaux, un autre vers le cinéma et la rue piétonne et moi, dans mon chère jardin dans lequel j’avais trouvé refuge.

Il était vraiment pas bien entretenu quand même cet espace vert.. M’enfin bon. Je viens donc d’envoyer à mes trois compatriotes, un texto pour leur demander confirmation de notre rassemblement chez Eniotna. Soilets me réponds immédiatement. Il c’est réfugié dans la salle d’accueil de notre cher cinéma de quartier. Il allait bien. Reivilo me répondit un tout petit peu après, me disant qu’il était réfugié dans la cours de notre école primaire. Il était saint et sauf, lui aussi. Ce fût un grand soulagement. Le seul truc qui nous inquiétez, lorsqu’on discutait par texto, bien caché à nos planques respectives, c’est qu’aucun de nous n’avait eu de nous D’Eniotna .. :peur:

On s’est donc donné rendez-vous chez lui, l’endroit le plus proche. Afin de se rassembler et d’en parler à ces parents, pour ensuite essayer de le retrouver. On avait tout essayé pour le contacter. Appel, sms, etc .. Même si on s’inquiétait pas trop car vu son entraînement quotidien de tennis, il courrait vite et longtemps.

C’est à ce moment là que nous sommes sortit de nos planques, en longeant les murs, l’adrénaline coulant à flot dans nos veines. C’était une petit ville, les weshs auraient vite fais de nous retrouver si ils savaient un minimum ou chercher. En faite, ça dépendait surtout d’où ils avaient été semé. C’était moi le plus proche. Je suis donc arrivé en premier chez Eniotna. Mais j’avais pas envie d’y aller seul, d’affronter ces parents. J’avais pas envie de leur dire que leur fils c’était battu et qu’on le retrouvait plus .. Car ils faisaient très attention à sa santé physique dût au fait qu’ils déboursaient des milliers d’euros par ans pour la formation d’Eniotna.

J’ai donc attendu mes deux compères, qui sont arrivé l’un après l’autre. Je leur avait donné rendez-vous dans la serre municipale, juste à côté de chez notre ami disparut. On a parlé pendant bien 10/20 minutes de comment l’annoncer au parent, sans jamais trouver la bonne façon. On s’inquiétait de plus en plus de pas avoir de nouvelle .. On est donc partit sonné chez ses parents, histoire de tout leur dire et d’être enfin à labris.

Qu’est-ce qu’on avait peur pour Eniotna .. Et qu’est-ce qu’on avait de la peine pour ses parents ..


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