Note de la fic :
La Compagnie de Noelfic
Par : GreenStatik
Genre : Nawak
Statut : C'est compliqué
Chapitre 7 : PetitZed, capitale pleine d'activités
Publié le 05/08/2010 à 17:23:21 par GreenStatik
PetitZed ? Eh bien pourquoi pas. Oui, y'a du monde à PetitZed. Oui, y'a surement plein de choses à faire, à PetitZed. Quand s'appellent les habitants de PetitZed ? Ah, ça, c'est une chose que je ne dirais pas ! D'où vient ce nom ? Et bien... Je vais vous raconter une petite histoire... Non, même si vous ne voulez pas, je la raconterai !
Donc, on remonte très loin dans le temps, pour retourner aux origines de GrosZed. Et ouais, ça remonte à loin, tout ça. Mais vous me remercierez, après cette histoire, de vous l'avoir conté !
Donc, voilà. GrosZed. À l'origine, c'était une petite caravane de voyageurs, que des hommes, je tiens à le préciser, qui c'était installer sur un gros terrain vierge, n'appartenant à personne. Ces voyageurs, qui étaient venus au monde depuis belle lurette, ne se sentaient plus de marcher sur les terres de CochonDeLay - le continent regroupant tous les pays dont GrosZed, à l'heure actuelle -, décidèrent de créer un village, à leur effigie. Ils avaient une sacrée réputation, ces gaillards. Oui, oui ! Ils ne passaient pas que dans les villages pour vendre leurs marchandises, mais aussi pour autre chose.
S'il vous plait, sortez les enfants de la salle.
Et ouais, ces gaillards, bah, ils se faisaient plaisir, tout simplement. Ils étaient beaux dans leur temps, et puis les femmes n'arrêtaient pas de leur sauter dessus.
Donc, pour revenir au nom du village, ils décidèrent de le baptiser « GrosZed ». Ils étaient super fiers d'eux.
Et au fur et à mesure du temps, les personnes de l'extérieur décidèrent aussi de venir, car selon les femmes qu'ils avaient rencontrées, eux aussi avaient des Gros Zed. Mais les femmes débarquent aussi, et les hommes ne purent pas refuser, car tel était la volonté des pulsions masculines, dans ce village rempli d'hommes.
Le village grandit très vite, et d'autres villages voisins, se disant aux aussi ressemblants aux GrosZediens (oui, ça s'appelait comme ça, avant, mais plus maintenant), décidèrent de créer un pays au nom du principal village : GrosZed.
Mais le drame arriva. Eh oui, tout le monde n'a pas sa place dans ce monde de brutes. Des gens voulurent entrer dans le pays de GrosZed, mais les GrosZediens ne les jugèrent pas aptes à ce privilège. Étant contre ce racisme, ces quelques habitants, rejetés, on décidait de créer un village, même, à l'intérieur de ce pays. Les vrais habitants de GrosZed l'appelèrent PetitZed, comme pour appuyer sur ce petit malentendu.
Très vite, les gens, voulant contrer cette injustice, se rassemblèrent à PetitZed, augmentant le nombre d'habitants de la ville, mais aussi, la grandeur de la ville, la faisant devenir capitale par la même occasion.
Depuis, ce jour, il n'y a plus de GrosZedien pur dans le pays. Non, le racisme a été battu ! Et tant mieux. Tout le monde est pareil, tout le monde s'aime !
Et voilà... C'était l'histoire extraordinaire de GrosZed, et ces origines. Maintenant, retournons voir nos aventuriers, qui, malgré tout, ont bien avancé !
« — C'est marrant, quand même, le nombre de conneries qu'il peut dire, cet auteur ! s'exclama Hui.
— Moi, je m'en fous, j'apprends des choses, et c'est toujours sympa pour faire passer le temps, répondit Khamsou.
— Il n’a pas parlé des elfes de la nuit, remarqua Blob, tout en trainant des pieds.
— Ouais, bah même avec tout ça, on ne sait même pas d'où viens Crazy ! constata Hui.
— Ah, oui, c'est vrai, ça ! renchérit Hell.
— Et bien, tant mieux, ça vaut mieux, affirma Crazy.
— Bougli ! Dakolp Goulbali ! Kouwi nagaboulga !
— Je traduis ! “Là ! La ville est là ! On est arrivés !” Voilà. »
Nos aventuriers étaient donc arrivés à PetitZed. Le bonheur, quoi. Et peut-être un vrai but pour la compagnie, qui sait. Le passage était grand ouvert, il ne fallait plus qu'entrer.
Une vraie fourmilière ! Des troupeaux de gens, allant dans un sens, d'autres dans l'autre, vers différents magasins, ou encore auberges. Bref, le paradis pour tout voyageur à la recherche de quelque chose à acheter. Mais nos amis ne sont pas là pour ça, aujourd'hui. Non, d'abord, ils doivent se remplir les poches ! Et oui, avant d'acheter, il faut toujours faire quelque chose, pour avoir de l'argent.
« — Je pense qu'on devrait se diriger vers une auberge, ou le centre de la ville, exposa Khamsou. C'est toujours à ses endroits que l'on trouve quelque chose d'intéressant.
— Il n’a pas tort, remarqua Snake, en se grattant les couilles.
— Je propose qu'on aille à l'auberge, les patrons ont de bonnes infos, des fois ! s'exclama Hell.
— Je pense pareil, répondit Blob.
— Bah, moi, j'suis pas d'accord ! cria Hui. Depuis quand on dit suivre tes ordres, toi ?
— Tu te tais, et tu suis, le menaça Crazy.
— Mouais, mon cul... Hé ! Merde ! Mais qu'est-ce que tu fous, l'Ogre ?! »
Ballonche le prit sur ses épaules, et suivit le reste de la troupe, tandis que Hui, lui, criait dans tout les sens, et lui tapait dans le dos. Une fois, à l'auberge, celui-ci remit sa proie à terre. Hui lui donna un coup de pied, mais les dégâts se retournèrent contre lui. Pas de bol.
Khamsou chercha le barman, et une fois trouvait, il engagea la conversation. Un bon accent, qu'il avait, celui-là !
« — Bonjour ! Je m'appelle Khamsou, je fais partie d'une troupe d'aventuriers, comme vous pouvez le voir, et je souhaiterais vous demander une chose.
— Hé bien, va s'y, petiot ! T'sais, tonton Gilbert il connait pas mal d'trucs !
— Euh, merci. J'aurais voulu savoir si vous aviez une quelconque information sur une quête réalisable, par nous, ou sinon, où l'on pouvait en trouver.
— Demande lui une bière, aussi, glissa doucement Hui à l'oreille de Khamsou.
— Grobag ! cria Ballonche, en lui frappant sur la tête.
— Ah, bah, ça, ouais ! Je sais on tu peux avoir ça, mon p'tit gars ! Y'a le maire qui a lancé un appel à l'aide, concernant quelque chose. Enfin, bref, vous voyez, le genre de conneries dont raffolent les aventuriers !
— Ah, oui, je vois. Et où est située la mairie ? demanda Khamsou.
— Au centre d'la ville ! Vous v'lez une carte ?
— Non merci. On se débrouillera comme ça ! Au revoir !
— Vous ne prenez rien ? s'exclama le Barman.
— Non, nous sommes pressés. »
La compagnie sortit de l'auberge, et alla se rendre à la mairie. Une fois trouvée, Khamsou demanda audience auprès du maire, en expliquant pourquoi il devait absolument le voir. Un garde les accompagna au bureau de celui-ci. Ballonche essaya de bouffer toutes les fleurs, qui passaient sur son chemin, mais Crazy l'en empêcha. Une fois dans le bureau, chacun salua le maire, sauf Hui, qui faisait littéralement la gueule. Le maire se leva de sa chaise, et se présenta devant Khamsou, lui serrant la main.
« — Alors, qu'est-ce que je peux faire pour vous ? Enfin, plutôt, je veux dire, on m'a dit que vous vouliez me rendre service.
— Alors, oui, voilà, en fait... »
La suite, au prochain épisode.
Donc, on remonte très loin dans le temps, pour retourner aux origines de GrosZed. Et ouais, ça remonte à loin, tout ça. Mais vous me remercierez, après cette histoire, de vous l'avoir conté !
Donc, voilà. GrosZed. À l'origine, c'était une petite caravane de voyageurs, que des hommes, je tiens à le préciser, qui c'était installer sur un gros terrain vierge, n'appartenant à personne. Ces voyageurs, qui étaient venus au monde depuis belle lurette, ne se sentaient plus de marcher sur les terres de CochonDeLay - le continent regroupant tous les pays dont GrosZed, à l'heure actuelle -, décidèrent de créer un village, à leur effigie. Ils avaient une sacrée réputation, ces gaillards. Oui, oui ! Ils ne passaient pas que dans les villages pour vendre leurs marchandises, mais aussi pour autre chose.
S'il vous plait, sortez les enfants de la salle.
Et ouais, ces gaillards, bah, ils se faisaient plaisir, tout simplement. Ils étaient beaux dans leur temps, et puis les femmes n'arrêtaient pas de leur sauter dessus.
Donc, pour revenir au nom du village, ils décidèrent de le baptiser « GrosZed ». Ils étaient super fiers d'eux.
Et au fur et à mesure du temps, les personnes de l'extérieur décidèrent aussi de venir, car selon les femmes qu'ils avaient rencontrées, eux aussi avaient des Gros Zed. Mais les femmes débarquent aussi, et les hommes ne purent pas refuser, car tel était la volonté des pulsions masculines, dans ce village rempli d'hommes.
Le village grandit très vite, et d'autres villages voisins, se disant aux aussi ressemblants aux GrosZediens (oui, ça s'appelait comme ça, avant, mais plus maintenant), décidèrent de créer un pays au nom du principal village : GrosZed.
Mais le drame arriva. Eh oui, tout le monde n'a pas sa place dans ce monde de brutes. Des gens voulurent entrer dans le pays de GrosZed, mais les GrosZediens ne les jugèrent pas aptes à ce privilège. Étant contre ce racisme, ces quelques habitants, rejetés, on décidait de créer un village, même, à l'intérieur de ce pays. Les vrais habitants de GrosZed l'appelèrent PetitZed, comme pour appuyer sur ce petit malentendu.
Très vite, les gens, voulant contrer cette injustice, se rassemblèrent à PetitZed, augmentant le nombre d'habitants de la ville, mais aussi, la grandeur de la ville, la faisant devenir capitale par la même occasion.
Depuis, ce jour, il n'y a plus de GrosZedien pur dans le pays. Non, le racisme a été battu ! Et tant mieux. Tout le monde est pareil, tout le monde s'aime !
Et voilà... C'était l'histoire extraordinaire de GrosZed, et ces origines. Maintenant, retournons voir nos aventuriers, qui, malgré tout, ont bien avancé !
« — C'est marrant, quand même, le nombre de conneries qu'il peut dire, cet auteur ! s'exclama Hui.
— Moi, je m'en fous, j'apprends des choses, et c'est toujours sympa pour faire passer le temps, répondit Khamsou.
— Il n’a pas parlé des elfes de la nuit, remarqua Blob, tout en trainant des pieds.
— Ouais, bah même avec tout ça, on ne sait même pas d'où viens Crazy ! constata Hui.
— Ah, oui, c'est vrai, ça ! renchérit Hell.
— Et bien, tant mieux, ça vaut mieux, affirma Crazy.
— Bougli ! Dakolp Goulbali ! Kouwi nagaboulga !
— Je traduis ! “Là ! La ville est là ! On est arrivés !” Voilà. »
Nos aventuriers étaient donc arrivés à PetitZed. Le bonheur, quoi. Et peut-être un vrai but pour la compagnie, qui sait. Le passage était grand ouvert, il ne fallait plus qu'entrer.
Une vraie fourmilière ! Des troupeaux de gens, allant dans un sens, d'autres dans l'autre, vers différents magasins, ou encore auberges. Bref, le paradis pour tout voyageur à la recherche de quelque chose à acheter. Mais nos amis ne sont pas là pour ça, aujourd'hui. Non, d'abord, ils doivent se remplir les poches ! Et oui, avant d'acheter, il faut toujours faire quelque chose, pour avoir de l'argent.
« — Je pense qu'on devrait se diriger vers une auberge, ou le centre de la ville, exposa Khamsou. C'est toujours à ses endroits que l'on trouve quelque chose d'intéressant.
— Il n’a pas tort, remarqua Snake, en se grattant les couilles.
— Je propose qu'on aille à l'auberge, les patrons ont de bonnes infos, des fois ! s'exclama Hell.
— Je pense pareil, répondit Blob.
— Bah, moi, j'suis pas d'accord ! cria Hui. Depuis quand on dit suivre tes ordres, toi ?
— Tu te tais, et tu suis, le menaça Crazy.
— Mouais, mon cul... Hé ! Merde ! Mais qu'est-ce que tu fous, l'Ogre ?! »
Ballonche le prit sur ses épaules, et suivit le reste de la troupe, tandis que Hui, lui, criait dans tout les sens, et lui tapait dans le dos. Une fois, à l'auberge, celui-ci remit sa proie à terre. Hui lui donna un coup de pied, mais les dégâts se retournèrent contre lui. Pas de bol.
Khamsou chercha le barman, et une fois trouvait, il engagea la conversation. Un bon accent, qu'il avait, celui-là !
« — Bonjour ! Je m'appelle Khamsou, je fais partie d'une troupe d'aventuriers, comme vous pouvez le voir, et je souhaiterais vous demander une chose.
— Hé bien, va s'y, petiot ! T'sais, tonton Gilbert il connait pas mal d'trucs !
— Euh, merci. J'aurais voulu savoir si vous aviez une quelconque information sur une quête réalisable, par nous, ou sinon, où l'on pouvait en trouver.
— Demande lui une bière, aussi, glissa doucement Hui à l'oreille de Khamsou.
— Grobag ! cria Ballonche, en lui frappant sur la tête.
— Ah, bah, ça, ouais ! Je sais on tu peux avoir ça, mon p'tit gars ! Y'a le maire qui a lancé un appel à l'aide, concernant quelque chose. Enfin, bref, vous voyez, le genre de conneries dont raffolent les aventuriers !
— Ah, oui, je vois. Et où est située la mairie ? demanda Khamsou.
— Au centre d'la ville ! Vous v'lez une carte ?
— Non merci. On se débrouillera comme ça ! Au revoir !
— Vous ne prenez rien ? s'exclama le Barman.
— Non, nous sommes pressés. »
La compagnie sortit de l'auberge, et alla se rendre à la mairie. Une fois trouvée, Khamsou demanda audience auprès du maire, en expliquant pourquoi il devait absolument le voir. Un garde les accompagna au bureau de celui-ci. Ballonche essaya de bouffer toutes les fleurs, qui passaient sur son chemin, mais Crazy l'en empêcha. Une fois dans le bureau, chacun salua le maire, sauf Hui, qui faisait littéralement la gueule. Le maire se leva de sa chaise, et se présenta devant Khamsou, lui serrant la main.
« — Alors, qu'est-ce que je peux faire pour vous ? Enfin, plutôt, je veux dire, on m'a dit que vous vouliez me rendre service.
— Alors, oui, voilà, en fait... »
La suite, au prochain épisode.
Commentaires
- GreenStatik
25/08/2010 à 17:50:30
Non, désolé
Mais je promet que cette fic sera terminé, un jour. - Aym
25/08/2010 à 17:24:00
VIENT LA QUE JE T'ARRACHE LES COUILLES ("> ! ! !
Ah c'est pas encore l'arrachage ?