Note de la fic : 
Publié le 19/08/2013 à 01:10:42 par Globax
Bonne lecture à tous !
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Soudain, d'immenses volutes de fumées s'échappèrent, dans des sifflements strident. Une large fente apparue, coupant la machine en deux dans le sens de la hauteur. Elle s'écarta de plus en plus, s'ouvrant sur le corps d'une personne, assise, attachée sur une chaise métallique par de lourdes chaînes.
Ses yeux d'un noir profond, empreint d'une folie sans nom s'ouvrirent lentement.... Kirkill...
….
« COUREZ !!! »
Tel fut le cri qui retentit, avant... l'apocalypse.
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Chapitre 35 de L'autre monde.
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L'obscur être qui se nommait Kirkill disparut soudainement, laissant retomber, dans de sinistres cliquetis, les lourdes chaînes qui l'attachaient.
Alors le massacre commença.
Abdel s'effondra au sol, décapité. Un geyser de sang éparpillait la sombre couleur à travers toute la salle. J'écarquillais les yeux.
Bordel, il c'était passé quoi là ?! Putain !!
Tremblant malgré moi, je me précipitais vers la porte dans un élan de survie. Tout le monde courait en tous sens hurlant l'horrible panique qui les prenaient au ventre. Les pas de course raisonnaient sur le marbre teinté d'un affreux liquide écarlate. La mort était dans la même salle que nous, prête à nous faucher à tous moment. J'hurlais de terreur en sentant une main glaciale se poser sur mon épaule.
Personne.
Soudain, un cri de haine pur retentit derrière nous, tandis que nous nous engagions enfin sur le sol boueux de l'extérieur. Même de là, la colère sans nom semblait si puissante, si grande, phénoménal. Je suffoquais, incapable de respirer dans une tel atmosphère.
Le monstre de haine apparut soudainement devant nous, alors que nous courions au sommet de la colline. Une peur sans nom m'assaillit de nouveau tandis que je fessais demis-tours.
J'écarquillais les yeux...
C'est pas possible....
Devant moi, s'étendait un champ de désolation... Toute la moitié nord de la ville avait été rasée... En quelques seconde.
Les bâtiments, calcinés fumaient de toutes parts, noircies par un incommensurable incendie.
Tans de vie... Anéanties...
Je me retournais vivement. Juste à temps pour voir une masse phénoménal pulvériser Knil. Celui-ci, éjecté à une vitesse effroyable, fila à travers la ville, explosant les murs d'une dizaine de maisons, qui s'écroulèrent, avant que son horrifiante course ne se termine.
Je.. Je rêve.. Ce...c'est impossible...
Un hurlement transperça le vacarme assourdissant.
« Eniarel !! COURE !! »
Soudain, la mort apparut dans son dos. Celle-ci tendis la main, dans une déflagration infernale. L'elfe contempla la mort arriver, sans rien pouvoir faire, le visage tordu dans un masque d'épouvante absolue.
Un ouragan d'énergie pur le frappa de plein fouet.
Un cri de haine se fit entendre, suivi d'une détonation ahurissante. Une onde de choc se propagea, soulevant une gigantesque quantité de poussières et de terre battue. Maxime filait, transperçant de loin la vitesse du son, une dague à la main.
Kirkill eu à peine le temps de voir son ennemis arriver. Il commença à tendre la main dans un espoir de protection. Trop tard.
La lame trancha la chaire au niveau du torse, courant à travers les tissus organiques, explosant les os sous l'infernale vitesse. Dans sa course effrénée, il manqua d'éclater le mur d'une maison en s'arrêtant. Sonné, il put regarder son œuvre ébahi, n'y croyant qu'à moitié.
Les deux parties de l'entité haineuse se séparèrent, glissant lentement l'une sur l'autre. Le tronc tomba au sol, accompagné une fraction de seconde plus tard par les jambes. Kirkill reposait dans une marre de sang.
J'Hurlais de joie. J'allais féliciter tout le monde lorsque je vis avec horreur le visage de Fannalo se décomposer, ses yeux s'écarquiller.
La seconde d'après, il cria de toutes ses forces.
Le cadavre n'était plus.
Le visage du garçon se figea en un masque de terreur, tandis qu'il tournait sa tête lentement... doucement... la peur au ventre, les yeux écarquillés. Un souffle froid semblait rouler sur sa nuque.
Un hurlement strident retentit. Terrorisé, il sentit une main gelée lui saisir rudement l'épaule dans un murmure d'outre tombe :
...meurs...
Épouvanté, il cria à son tour, se débattant tant qu'il pouvait.
Kirkill, réuni le pouce et l'index de son autre main. Il le frappa d'une pichenette, sur son front.
L'espace se déforma, courbant ses lignes. Maxime ne broncha pas. Puis, quelque chose implosa sous son crane. Il s'effondra à terre, du sang ruisselant abonnement de son nez.
Marine tomba à genoux en hurlant de désespoir, tandis que la mort s'approchait lentement, une lueur démoniaque dans ses yeux entièrement noirs. Laissant présager le funeste sort qu'elle lui réservait.
C'est alors qu'une détonation hallucinante retenti. Aussitôt, une rafale de feu titanesque, un jet de lave infernale, de plus de cinquante pieds de rayon, fendit les airs dans un vacarme assourdissant. La masse ahurissante éclaira la ville comme en plein jour, pulvérisant, calcinant tous obstacles, sur son passage. Elle frappa Kirkill de plein fouet.
Après quelques secondes, elle fini par disparaître totalement, laissant seulement une large trainée de cendre derrière elle.
Un type bizarre se tenait devant nous. C'était celui qui avait ridiculisé le kaméhaméha de Hamed !!! Il avait pulvérisé l'homme...
Je soupirais de soulagement. On est sauvé !
Une fontaine de sang gicla de son cou tranché, se répandant sur plus de dix mètres, tandis qu'il la regardait avec horreur, essayant désespérément d'empêcher son fluide vitale de s'écouler de son corps. Il bascula lentement en avant, écrasant sa figure contre la terre boueuse. La mort avait encore frappée, plus forte que jamais.
Quelqu'un hurla derrière le cadavre. Un gigantesque mur de pierre se souleva au beau milieu de l'avenue. Il grandissait sans cesse manquant de toucher les astres, dépassant de trois fois la taille d'une maison. Finalement, il se stoppa et bascula.
Les milliers de tonnes de roches brutes tombèrent lentement en avant, gagnant plus de vitesse chaque secondes, elles s'écrasent au sol, faisant vibrer la ville entière, écrasant le tueur sous sa masse impossible.
Momo, le visage déformé par la haine sauta sur son œuvre. Avant de s'écrouler à son tour, décapité dans un jet écarlate.
Fannalo se laissa tomber à genoux. Le visage ruisselant de larme, il se tenait la tête en hurlant.
« Dire que je savais, je savais tout... Mais je n'ai pas pu... »
Il se tourna vers moi me murmurant quelques mots à l'oreille, ses dernières paroles.
J'écarquillais les yeux...
non.. NON !!! ça ne se pouvait pas !!
Kirkill apparut devant nous dans un tourbillons de flammes, un masque de rage pur lui traversant le visage. L'atmosphère s'alourdit, l'air se raréfia tandis qu'il nous balayait d'un geste sec de la main, pulvérisant le reste du groupe.
Un horrible goût de sang m'emplit la bouche alors que je filais à une vitesse incommensurable. Puis un cognement, un craquement sourd. Je ne voyais plus rien. Une douleur foudroyante me tenailla l'arrière du crane. Un liquide chaud me coula sur le visage. Je pouvais sentir une tonne de débris tomber, m'écrasant, broyant chacun de mes os.
Tordu de douleur, ne pouvant faire un seul geste, je perdis conscience, asphyxié. Ensevelis sous une tonne de grava, les dernières paroles de Fannalo résonnaient tout autours de moi.
- Adieu... Et bonne chance... Shinigami...
…
….
FIN DE LA SAISON 1.
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Soudain, d'immenses volutes de fumées s'échappèrent, dans des sifflements strident. Une large fente apparue, coupant la machine en deux dans le sens de la hauteur. Elle s'écarta de plus en plus, s'ouvrant sur le corps d'une personne, assise, attachée sur une chaise métallique par de lourdes chaînes.
Ses yeux d'un noir profond, empreint d'une folie sans nom s'ouvrirent lentement.... Kirkill...
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« COUREZ !!! »
Tel fut le cri qui retentit, avant... l'apocalypse.
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Chapitre 35 de L'autre monde.
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L'obscur être qui se nommait Kirkill disparut soudainement, laissant retomber, dans de sinistres cliquetis, les lourdes chaînes qui l'attachaient.
Alors le massacre commença.
Abdel s'effondra au sol, décapité. Un geyser de sang éparpillait la sombre couleur à travers toute la salle. J'écarquillais les yeux.
Bordel, il c'était passé quoi là ?! Putain !!
Tremblant malgré moi, je me précipitais vers la porte dans un élan de survie. Tout le monde courait en tous sens hurlant l'horrible panique qui les prenaient au ventre. Les pas de course raisonnaient sur le marbre teinté d'un affreux liquide écarlate. La mort était dans la même salle que nous, prête à nous faucher à tous moment. J'hurlais de terreur en sentant une main glaciale se poser sur mon épaule.
Personne.
Soudain, un cri de haine pur retentit derrière nous, tandis que nous nous engagions enfin sur le sol boueux de l'extérieur. Même de là, la colère sans nom semblait si puissante, si grande, phénoménal. Je suffoquais, incapable de respirer dans une tel atmosphère.
Le monstre de haine apparut soudainement devant nous, alors que nous courions au sommet de la colline. Une peur sans nom m'assaillit de nouveau tandis que je fessais demis-tours.
J'écarquillais les yeux...
C'est pas possible....
Devant moi, s'étendait un champ de désolation... Toute la moitié nord de la ville avait été rasée... En quelques seconde.
Les bâtiments, calcinés fumaient de toutes parts, noircies par un incommensurable incendie.
Tans de vie... Anéanties...
Je me retournais vivement. Juste à temps pour voir une masse phénoménal pulvériser Knil. Celui-ci, éjecté à une vitesse effroyable, fila à travers la ville, explosant les murs d'une dizaine de maisons, qui s'écroulèrent, avant que son horrifiante course ne se termine.
Je.. Je rêve.. Ce...c'est impossible...
Un hurlement transperça le vacarme assourdissant.
« Eniarel !! COURE !! »
Soudain, la mort apparut dans son dos. Celle-ci tendis la main, dans une déflagration infernale. L'elfe contempla la mort arriver, sans rien pouvoir faire, le visage tordu dans un masque d'épouvante absolue.
Un ouragan d'énergie pur le frappa de plein fouet.
Un cri de haine se fit entendre, suivi d'une détonation ahurissante. Une onde de choc se propagea, soulevant une gigantesque quantité de poussières et de terre battue. Maxime filait, transperçant de loin la vitesse du son, une dague à la main.
Kirkill eu à peine le temps de voir son ennemis arriver. Il commença à tendre la main dans un espoir de protection. Trop tard.
La lame trancha la chaire au niveau du torse, courant à travers les tissus organiques, explosant les os sous l'infernale vitesse. Dans sa course effrénée, il manqua d'éclater le mur d'une maison en s'arrêtant. Sonné, il put regarder son œuvre ébahi, n'y croyant qu'à moitié.
Les deux parties de l'entité haineuse se séparèrent, glissant lentement l'une sur l'autre. Le tronc tomba au sol, accompagné une fraction de seconde plus tard par les jambes. Kirkill reposait dans une marre de sang.
J'Hurlais de joie. J'allais féliciter tout le monde lorsque je vis avec horreur le visage de Fannalo se décomposer, ses yeux s'écarquiller.
La seconde d'après, il cria de toutes ses forces.
Le cadavre n'était plus.
Le visage du garçon se figea en un masque de terreur, tandis qu'il tournait sa tête lentement... doucement... la peur au ventre, les yeux écarquillés. Un souffle froid semblait rouler sur sa nuque.
Un hurlement strident retentit. Terrorisé, il sentit une main gelée lui saisir rudement l'épaule dans un murmure d'outre tombe :
...meurs...
Épouvanté, il cria à son tour, se débattant tant qu'il pouvait.
Kirkill, réuni le pouce et l'index de son autre main. Il le frappa d'une pichenette, sur son front.
L'espace se déforma, courbant ses lignes. Maxime ne broncha pas. Puis, quelque chose implosa sous son crane. Il s'effondra à terre, du sang ruisselant abonnement de son nez.
Marine tomba à genoux en hurlant de désespoir, tandis que la mort s'approchait lentement, une lueur démoniaque dans ses yeux entièrement noirs. Laissant présager le funeste sort qu'elle lui réservait.
C'est alors qu'une détonation hallucinante retenti. Aussitôt, une rafale de feu titanesque, un jet de lave infernale, de plus de cinquante pieds de rayon, fendit les airs dans un vacarme assourdissant. La masse ahurissante éclaira la ville comme en plein jour, pulvérisant, calcinant tous obstacles, sur son passage. Elle frappa Kirkill de plein fouet.
Après quelques secondes, elle fini par disparaître totalement, laissant seulement une large trainée de cendre derrière elle.
Un type bizarre se tenait devant nous. C'était celui qui avait ridiculisé le kaméhaméha de Hamed !!! Il avait pulvérisé l'homme...
Je soupirais de soulagement. On est sauvé !
Une fontaine de sang gicla de son cou tranché, se répandant sur plus de dix mètres, tandis qu'il la regardait avec horreur, essayant désespérément d'empêcher son fluide vitale de s'écouler de son corps. Il bascula lentement en avant, écrasant sa figure contre la terre boueuse. La mort avait encore frappée, plus forte que jamais.
Quelqu'un hurla derrière le cadavre. Un gigantesque mur de pierre se souleva au beau milieu de l'avenue. Il grandissait sans cesse manquant de toucher les astres, dépassant de trois fois la taille d'une maison. Finalement, il se stoppa et bascula.
Les milliers de tonnes de roches brutes tombèrent lentement en avant, gagnant plus de vitesse chaque secondes, elles s'écrasent au sol, faisant vibrer la ville entière, écrasant le tueur sous sa masse impossible.
Momo, le visage déformé par la haine sauta sur son œuvre. Avant de s'écrouler à son tour, décapité dans un jet écarlate.
Fannalo se laissa tomber à genoux. Le visage ruisselant de larme, il se tenait la tête en hurlant.
« Dire que je savais, je savais tout... Mais je n'ai pas pu... »
Il se tourna vers moi me murmurant quelques mots à l'oreille, ses dernières paroles.
J'écarquillais les yeux...
non.. NON !!! ça ne se pouvait pas !!
Kirkill apparut devant nous dans un tourbillons de flammes, un masque de rage pur lui traversant le visage. L'atmosphère s'alourdit, l'air se raréfia tandis qu'il nous balayait d'un geste sec de la main, pulvérisant le reste du groupe.
Un horrible goût de sang m'emplit la bouche alors que je filais à une vitesse incommensurable. Puis un cognement, un craquement sourd. Je ne voyais plus rien. Une douleur foudroyante me tenailla l'arrière du crane. Un liquide chaud me coula sur le visage. Je pouvais sentir une tonne de débris tomber, m'écrasant, broyant chacun de mes os.
Tordu de douleur, ne pouvant faire un seul geste, je perdis conscience, asphyxié. Ensevelis sous une tonne de grava, les dernières paroles de Fannalo résonnaient tout autours de moi.
- Adieu... Et bonne chance... Shinigami...
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FIN DE LA SAISON 1.