Note de la fic :
Publié le 06/08/2010 à 23:22:25 par lLeyla
En effet, depuis l’an 986 et la séparation entre Shykzurk et Aynan, les deux villages frontalier avec Fenzol, les Fenzoliens n’ont plus de contact avec d’autres villes.
Cette séparation est due, à l’origine, à un désaccord entre les deux rois de l’époque ( Polien I et Lorad VIII ) une dispute basique, qui s’est transformé en une haine sans précédente, d’ailleurs, dés que, en dehors des cités, un Shykzurkien croise un Aynanes, un combat s’engage. Il est presque sur, que personne ne sache d’où vient cette rivalité, ancestrale, et que personne ne s’en soucie.
Soixante huit ans de privation donc pour Fenzol, ce n’est pas pour rien que les commerçants du villages sont dévalisés, les remparts qui protégent chacune des deux cités désormais adverses encercle totalement la cité du roi Hécton. D’ailleurs, celui-ci craint qu’une guerre ne se déclenche d’ici quelques temps. La tension a encore augmenter ces derniers temps, après l’attaque d’un navire du peuple Aynanes par un peuple scandinave. Le roi Lorad IX, pensant que cette attaque avait était orchestrée par Polien III. Une guerre semble donc en vue dans ces contrée perdues. Mais le roi Hécton ne veut pas entendre parler de guerre, lui qui a tant fait durant ces dix dernière années pour conserver la paix, ne veux pas tout ruiner dans un bain de sang, et en plus, étant donné que la cité de Fenzol se trouve entre les deux villes, il faudrait que Fenzol choisisse un coté, au risque de se voir refusé tout partenariat commercial avec les deux villes. Et ça, Hécton ne veut pas en entendre parler. Au château, on s’active donc pour trouver une solution a ce problème. Chacun sait que ni Polien III ni Lora IX n’aurait un intérêt quelconque a déclencher une guerre en pleine période de moisson, au risque de laisser partir tous les hommes à la guerre et de faire perdre de l’argent a la ville. Il reste donc moins d’un mois au roi Fenzolien pour trouver une solution, et réconcilier les deux cités.
Non loin de la salle où les discutions entre le roi et ses conseillers pour trouver une solution contre cette horrible guerre, Demelza attendait patiemment, que le roi reviennent, pour pouvoir exprimer son talent. Elle s’occupait comme elle le pouvait, parlant avec Leyla, sa sœur, qui l’accompagnait au château. La complicité entre les deux sœurs rendait jalouse Aznile, l’aînée de la famille. Celle-ci se retrouver perpétuellement seule, quand elle ne travaillait pas. Les hommes de la famille, en ce dimanche matin, étaient partit chasser le Sanglier, dans la foret de Lugden, au sud de la ville. Ils utilisaient le plan habituel. Moglaf se positionna alors dans la direction, vers laquelle pourrait fuir le sanglier, Sinex et Darken se placèrent alors chacun d’un coté, Darken, comme toujours était équipé d’une simple tunique en cuir noir, et d’une arbalète. Il avait une épée, bien sur, mais ne s’en servait que pour le combat au corps a corps, donc rarement a la chasse. Sinex lui était beaucoup moins bien équipé, une tunique en cuir de piètre qualité et un arc simple en bois. Moglaf lui, avait des talents de magicien, oh rien de très impressionnant, il a le pouvoir de déplacer les objets et de les projetés de manière assez puissante. Rien qu’en se concentrant et en fixant l’objet. Il se sert donc de ce don assez peu commun pour la chasse et le combat. Darken se positionne derrière un rocher et se prépare a tirer. Mais au moment même où il allait tirer, Sinex décocha une fléche qui atterrit a quelques centimètres du sanglier. celui-ci, pris de panique s’enfuit, malheureusement très loin de là où Moglaf l’attendait. La proie était perdue, il fallait en chercher une autre. L’heure du repas approchait, ce qui rendait Darken, le « chef » parmi ses frères, étant le plus âgé des trois, fou de rage.
Il exprima d’ailleurs sa colère en s’acharnant une fois de plus sur Sinex, le plus jeune des frères :
« - Quand on ne sait pas tirer, on ne prend pas d’initiative. Tu te sers de ton arc aussi bien qu’un manchot aveugle.
Sinex, qui s’attendait a des critiques, avait déjà préparer sa défense :
- C’est sur, quand on est le chouchou de la famille, et qu’on a une arbalète, on vise mieux qu’avec un arc, fabriqué par mes soins. »
Et la discussion prit fin aussi rapidement qu’elle avait commencée, le débat avait déjà était fait cent fois, arrivant a chaque fois a la même conclusion, ce débat ne servait strictement a rien. Darken restait quand même nerveux, il n’aimait pas perdre une proie, surtout du sanglier, un animal difficile a trouver, qui a bon goût et surtout que l’on a le droit de chasser que le premier et le troisième dimanche du mois. Ce qui en fait l’une des proie préférée de Darken. Facile a tué, rare et chère. Le chemin du retour s’effectue rapidement, les trois frères n’ont trouvé qu’un chevreuil pour remplacer le sanglier, pas autant de viande, mais un goût particulièrement agréable quand celle-ci est cuite a point.
Darken rentre dans la maison et claque la vielle porte en bois au nez de ses deux frères, qui soupirent de ce comportement infantile et particulièrement ridicule. Ils se posèrent auprès du feu, attendant le retour de Leyla et Demelza, qui n’était toujours pas rentrée du château, alors que quatorze heure sonnait a la cloche de l’église, et que la jeune musicienne était censée rentrer a midi, comme tous les dimanche.
Cette séparation est due, à l’origine, à un désaccord entre les deux rois de l’époque ( Polien I et Lorad VIII ) une dispute basique, qui s’est transformé en une haine sans précédente, d’ailleurs, dés que, en dehors des cités, un Shykzurkien croise un Aynanes, un combat s’engage. Il est presque sur, que personne ne sache d’où vient cette rivalité, ancestrale, et que personne ne s’en soucie.
Soixante huit ans de privation donc pour Fenzol, ce n’est pas pour rien que les commerçants du villages sont dévalisés, les remparts qui protégent chacune des deux cités désormais adverses encercle totalement la cité du roi Hécton. D’ailleurs, celui-ci craint qu’une guerre ne se déclenche d’ici quelques temps. La tension a encore augmenter ces derniers temps, après l’attaque d’un navire du peuple Aynanes par un peuple scandinave. Le roi Lorad IX, pensant que cette attaque avait était orchestrée par Polien III. Une guerre semble donc en vue dans ces contrée perdues. Mais le roi Hécton ne veut pas entendre parler de guerre, lui qui a tant fait durant ces dix dernière années pour conserver la paix, ne veux pas tout ruiner dans un bain de sang, et en plus, étant donné que la cité de Fenzol se trouve entre les deux villes, il faudrait que Fenzol choisisse un coté, au risque de se voir refusé tout partenariat commercial avec les deux villes. Et ça, Hécton ne veut pas en entendre parler. Au château, on s’active donc pour trouver une solution a ce problème. Chacun sait que ni Polien III ni Lora IX n’aurait un intérêt quelconque a déclencher une guerre en pleine période de moisson, au risque de laisser partir tous les hommes à la guerre et de faire perdre de l’argent a la ville. Il reste donc moins d’un mois au roi Fenzolien pour trouver une solution, et réconcilier les deux cités.
Non loin de la salle où les discutions entre le roi et ses conseillers pour trouver une solution contre cette horrible guerre, Demelza attendait patiemment, que le roi reviennent, pour pouvoir exprimer son talent. Elle s’occupait comme elle le pouvait, parlant avec Leyla, sa sœur, qui l’accompagnait au château. La complicité entre les deux sœurs rendait jalouse Aznile, l’aînée de la famille. Celle-ci se retrouver perpétuellement seule, quand elle ne travaillait pas. Les hommes de la famille, en ce dimanche matin, étaient partit chasser le Sanglier, dans la foret de Lugden, au sud de la ville. Ils utilisaient le plan habituel. Moglaf se positionna alors dans la direction, vers laquelle pourrait fuir le sanglier, Sinex et Darken se placèrent alors chacun d’un coté, Darken, comme toujours était équipé d’une simple tunique en cuir noir, et d’une arbalète. Il avait une épée, bien sur, mais ne s’en servait que pour le combat au corps a corps, donc rarement a la chasse. Sinex lui était beaucoup moins bien équipé, une tunique en cuir de piètre qualité et un arc simple en bois. Moglaf lui, avait des talents de magicien, oh rien de très impressionnant, il a le pouvoir de déplacer les objets et de les projetés de manière assez puissante. Rien qu’en se concentrant et en fixant l’objet. Il se sert donc de ce don assez peu commun pour la chasse et le combat. Darken se positionne derrière un rocher et se prépare a tirer. Mais au moment même où il allait tirer, Sinex décocha une fléche qui atterrit a quelques centimètres du sanglier. celui-ci, pris de panique s’enfuit, malheureusement très loin de là où Moglaf l’attendait. La proie était perdue, il fallait en chercher une autre. L’heure du repas approchait, ce qui rendait Darken, le « chef » parmi ses frères, étant le plus âgé des trois, fou de rage.
Il exprima d’ailleurs sa colère en s’acharnant une fois de plus sur Sinex, le plus jeune des frères :
« - Quand on ne sait pas tirer, on ne prend pas d’initiative. Tu te sers de ton arc aussi bien qu’un manchot aveugle.
Sinex, qui s’attendait a des critiques, avait déjà préparer sa défense :
- C’est sur, quand on est le chouchou de la famille, et qu’on a une arbalète, on vise mieux qu’avec un arc, fabriqué par mes soins. »
Et la discussion prit fin aussi rapidement qu’elle avait commencée, le débat avait déjà était fait cent fois, arrivant a chaque fois a la même conclusion, ce débat ne servait strictement a rien. Darken restait quand même nerveux, il n’aimait pas perdre une proie, surtout du sanglier, un animal difficile a trouver, qui a bon goût et surtout que l’on a le droit de chasser que le premier et le troisième dimanche du mois. Ce qui en fait l’une des proie préférée de Darken. Facile a tué, rare et chère. Le chemin du retour s’effectue rapidement, les trois frères n’ont trouvé qu’un chevreuil pour remplacer le sanglier, pas autant de viande, mais un goût particulièrement agréable quand celle-ci est cuite a point.
Darken rentre dans la maison et claque la vielle porte en bois au nez de ses deux frères, qui soupirent de ce comportement infantile et particulièrement ridicule. Ils se posèrent auprès du feu, attendant le retour de Leyla et Demelza, qui n’était toujours pas rentrée du château, alors que quatorze heure sonnait a la cloche de l’église, et que la jeune musicienne était censée rentrer a midi, comme tous les dimanche.