Note de la fic : 
Publié le 05/08/2010 à 14:27:24 par lLeyla
Hearth Hunter !
L'Année 1054 est l'année plus paisible qu'il puisse être a Fenzol. Les récoltes sont bonnes, les droits des paysans sont revu par le Roi Hécton V, les guerres ne font plus partie du décor depuis bientôt dix ans. Sur la place du marché, en cette belle matinée du samedi, les commerçants s'installe. La place est d'une beauté resplendissante, la plus belle du pays selon certains ouvrages. La fontaine, élément principal de celle-ci, représente Hécton IV sur son cheval a l'assaut des guerriers Loken. Cette fontaine est faite de marbre, un marbre blanc, d'une qualité remarquable. Les yeux de Hécton IV sont incrusté de Saphir Bleu. Cette fontaine est la fierté de ce village. La foule commence peu a peu a investir la place, comme toujours, la boutique d'outils de Ornen et la poissonnerie de Ulia sont rapidement dévalisés. Melazi assiste, patient, au défilé des clients qui sous son nez, ruine les commerçants des alentours, sans même remarqué sa présence. Il faut dire que sa boutique ressemble plus a une charrette aménagée qu'à autre chose, mais il s'était donné tant de mal pour avoir l'autorisation de vendre sur cette place. Melazi était le père d'une famille de six enfants. Trois garçons, trois filles, un père paysan et une mère paysanne et qui, a ses rares heures libres, s'occupait de ses enfants, et une petite maison, a l'extrémité sud du village. Une maison ou plutôt une cabane, nichée dans l'antre d'une grotte, il y vivait depuis plusieurs générations, dans la famille, on aimait rester longtemps au même endroit. Cette maison avait était embellie au fil des années, plusieurs étages, plusieurs pièces même, ce qui était rare pour une famille paysanne de l'époque. Au rez de chaussé, on pouvait trouvé la chambre des parents, une petite cuisine, prés du feu permanent ou, durant de longues soirées, chacun raconter les potins du villages. Demelza, Leyla et Aznile, les trois filles de la famille, était la fierté de leurs parents. Demelza en particulier. Elle gagnée déjà honnêtement sa vie, comme une grande, a quinze ans a peine. Ses talents musicaux étaient particulièrement appréciés au château du roi. Quand elle n'était pas a la maison, elle était donc au château.
Cette activité permettait a la famille de ne payer aucun impôts, le roi, un homme bon, attendait seulement en retour, qu'à ses dix sept ans, Demelza accepte de devenir sa femme.
Leyla et Aznile vivait simplement, elle travaillait toute les deux dans les mêmes champs, a quelques centaines de mètres de ceux de leurs parents. Elles étaient payés en nourriture et parfois, avec quelques pièces d'or. Les Hommes de la familles, Darken, Moglaf et Sinex, gagner leurs vie en chassant. Ils chassaient des créatures particulières, dans la famille, c'était chacun pour soi, l'un voler la proie de l'autre sans remords, mais arrivé a la maison, c'était un pour tous, tous pour un. Une famille donc, qui vivait paisiblement, au milieu d'un village paisible, mais au milieu d'un conflit, qui depuis des générations, empêché a tous les habitants, de quitter le village ...
L'Année 1054 est l'année plus paisible qu'il puisse être a Fenzol. Les récoltes sont bonnes, les droits des paysans sont revu par le Roi Hécton V, les guerres ne font plus partie du décor depuis bientôt dix ans. Sur la place du marché, en cette belle matinée du samedi, les commerçants s'installe. La place est d'une beauté resplendissante, la plus belle du pays selon certains ouvrages. La fontaine, élément principal de celle-ci, représente Hécton IV sur son cheval a l'assaut des guerriers Loken. Cette fontaine est faite de marbre, un marbre blanc, d'une qualité remarquable. Les yeux de Hécton IV sont incrusté de Saphir Bleu. Cette fontaine est la fierté de ce village. La foule commence peu a peu a investir la place, comme toujours, la boutique d'outils de Ornen et la poissonnerie de Ulia sont rapidement dévalisés. Melazi assiste, patient, au défilé des clients qui sous son nez, ruine les commerçants des alentours, sans même remarqué sa présence. Il faut dire que sa boutique ressemble plus a une charrette aménagée qu'à autre chose, mais il s'était donné tant de mal pour avoir l'autorisation de vendre sur cette place. Melazi était le père d'une famille de six enfants. Trois garçons, trois filles, un père paysan et une mère paysanne et qui, a ses rares heures libres, s'occupait de ses enfants, et une petite maison, a l'extrémité sud du village. Une maison ou plutôt une cabane, nichée dans l'antre d'une grotte, il y vivait depuis plusieurs générations, dans la famille, on aimait rester longtemps au même endroit. Cette maison avait était embellie au fil des années, plusieurs étages, plusieurs pièces même, ce qui était rare pour une famille paysanne de l'époque. Au rez de chaussé, on pouvait trouvé la chambre des parents, une petite cuisine, prés du feu permanent ou, durant de longues soirées, chacun raconter les potins du villages. Demelza, Leyla et Aznile, les trois filles de la famille, était la fierté de leurs parents. Demelza en particulier. Elle gagnée déjà honnêtement sa vie, comme une grande, a quinze ans a peine. Ses talents musicaux étaient particulièrement appréciés au château du roi. Quand elle n'était pas a la maison, elle était donc au château.
Cette activité permettait a la famille de ne payer aucun impôts, le roi, un homme bon, attendait seulement en retour, qu'à ses dix sept ans, Demelza accepte de devenir sa femme.
Leyla et Aznile vivait simplement, elle travaillait toute les deux dans les mêmes champs, a quelques centaines de mètres de ceux de leurs parents. Elles étaient payés en nourriture et parfois, avec quelques pièces d'or. Les Hommes de la familles, Darken, Moglaf et Sinex, gagner leurs vie en chassant. Ils chassaient des créatures particulières, dans la famille, c'était chacun pour soi, l'un voler la proie de l'autre sans remords, mais arrivé a la maison, c'était un pour tous, tous pour un. Une famille donc, qui vivait paisiblement, au milieu d'un village paisible, mais au milieu d'un conflit, qui depuis des générations, empêché a tous les habitants, de quitter le village ...
