Note de la fic : :noel: :noel: :noel:

Le Seigneur Noir


Par : Rêve
Genre : Fantastique
Statut : C'est compliqué



Chapitre 5


Publié le 10/06/2010 à 21:55:58 par Rêve

-  Frédérique cria une voix à peine audible.
-  Qui est là ?  Demanda le bûcheron.
-  Zelda, nous sommes sous la maison de Jean-François 
-  Je vais sauver les sauveurs, j’arrive nobles seigneur ironisa Frédérique.
- Merci, nous te devons la vie remercia Zelda une fois sortit des décombres de la maison.
-  Ce n’est rien autrefois vous nous aviez sauvés et vous recommencerez »

Link et Zelda n’avaient qu’une idée : détruire le seigneur noir mais, comment parvenir au château sans se faire voir ou trouer par dizaines de flèches, la révolte des paysans était une bonne idée mais le seigneur noir n’allait pas se faire avoir deux fois de suite. Assis devant leur assiettes, les deux garçons réfléchissaient mais chacune de leur idées était impossible à réaliser. Soit parce qu’il manquait de moyens ou soit parce que le Seigneur Noir n’était pas aussi idiot. Link proposa à Zelda d’allait dormir mais celui ci refusa. Il devait faire le plus vite possible. Car chaque jour donnait plus de pouvoir au Seigneur Noir et plus le temps passerait moins ils seraient crédule auprès des villageois.

- Jean-François nous a parlé d’un maître de l’épée  clama soudain Zelda.
- Si on se met en route tout de suite on y sera avant la nuit poursuivit Link.
- C’est déjà la nuit fit remarquer Zelda
- Tu as raison, je pensais à autre chose répondit-il.

Ils enfourchèrent leurs chevaux et s’éloignèrent à grands galops. La nuit la forêt semblait magique, irréelle. Le vent faisait bourdonner les feuilles. Les branches craquaient sous les sabots des étalons. Les loups hurlaient à la pleine lune. Les hiboux hululaient sinistrement, si les deux héros n’avait pas était aussi pressé il aurait eu sans doute peur. La pénombre se fit plus brusque et les nuages cachèrent la clarté de la lune. Sans lumière, il purent plus s’avancer et décidèrent de camper. Au petit matin ils se remirent en route.
Link était songeur il pensait au maître, les accepteraient-il ? Pendant le voyage ils parlèrent de tout et de rien…


-  Je distingue l’entraîneur s’écria Zelda content d’arriver, il faut dire qu’il était plutôt paresseux.
-  Bonjour, que me vaut l’honneur de cette visite jeunes gens dit l’homme en les apercevant.
- Nous sommes de pauvres personnes fatiguées par un long voyage dons le but était de vous rencontrer pour apprendre à manier l’épée lui répondit Link tout intimidé.
-  Je m’appelle David et je satisferais votre requête.

L’entraînement était rude, le maître était sévère et sans pitié et ils s’arrêtaient seulement quand ils ne tenaient plus debout. Le matin ils devaient se levaient avant le coq et le soir se couchait après le soleil, leur seul moment de répit était le repas. Ils expliquaient à David ce qu’ils avaient vécu, ce qu’ils devaient accomplir. A leur grande surprise, David leur dit qu’il n’avait jamais entendu parler du Seigneur Noir et il pensait q’un être aussi horrible que çà ne devrait pas exister. Ce fut d’abords des jours qui s’écoulèrent…puis des semaines…des mois quand la voix de David retentit :

« Votre apprentissage est fini, je n’ai plus rien à vous apprendre »

Ils avaient réussi, le seigneur noir aurait une raison de trembler. Nos amis rêvaient de gloire pour eux et de bonheur pour ce petit village gouverné par un ignoble et maléfique seigneur. La peur, ils là gardaient pour eux mais ils ne pouvaient dissimuler l’excitation. Ils avaient hâte de montrer au seigneur noir : ce qu’était l’angoisse, la peur et l’inquiétude de voir le monde qu’il avait crée s’effondrer une deuxième fois sans pouvoir agir. Car si le destin avait laissé Link et Zelda se réincarnés, ce n’était sûrement pas pour laisser un homme diabolique sur cette terre. Ils savaient que quoi qu’il arrive, ils devraient se battre jusqu’au bout sans jamais faillir et finir la grande guerre qu’il avait menait avant leur réincarnation. Long serait le chemin sur la route de la victoire mais imaginer le seigneur noir dans la poussière leur donnaient du courage et de l’enthousiasme.
Une fois au village, ils ne trouvèrent pas de mots pour remercier les paysans qui leur avaient reconstruit une maison. Une voix glaciale qu’il connaissait s’éleva :


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