Note de la fic :
Publié le 08/06/2010 à 23:49:21 par Rêve
Les chiens s’arrêtèrent, Link et Zelda poussèrent un soupir et s’enfoncèrent dans la forêt. Au cœur du bois se trouvait une petite maison, Link s’écria :
- C’est la maison de Jean-François !Â
- Link peut-tu aller chercher du bois pour nous réchauffer demanda Zelda
- Bien sur.Â
Peu de temps après Zelda entendit frapper à la porte. Il l’ouvrit et hurla car devant lui se trouvait le seigneur noir.
Il s’apprêta à dégainer son épée. Malheur ! Il venait de la prêtait à Link pour que celui ci coupe le bois. Le Seigneur Noir attrapa le poignet de Zelda, celui ci alors sentit sa force s’ évanouir.
Beaucoup plus tard.
« Zelda ouvre j’ai le bois, si c’est une blague ce n’est pas drôle »
N’entendant rien Link enfonça la porte, Il aperçut le collier de Zelda à terre lui qui le portait toujours à son cou. La pièce était abandonnée, les objets renverser sur le sol et du sang gisait sur le plancher. Il ne mit pas sans longtemps à comprendre.
Dans le palais, le Seigneur Noir s’efforçait de faire parler Zelda. Celui-ci avait été attaché sur la table des tortures et voyait le sang dégoulinait de son torse.
« Parle, qui est-tu ? Siffla le seigneur noir.
-Â Je suis ZELDA, fils de Geoffroy et de Catherine.
- Menteur, il est mort. Mort pour rien comme tu le vois chuchota le seigneur noir.
- Je suis revenu à la vie, mais c’est toi qui vas mourir.Â
- Nous sommes dans une histoire tragique, le vaillant héros meurt et le méchant gagne. Quel plan parfait ! Ricana le seigneur noir.
-Â Tellement parfait que tu en oublie Link.Â
- Tu es à l’aise pour réfléchir toute la nuit, abandonne Link et nous serons les maîtres. Lui dit alors le Seigneur Noir.
- Jamais ! Je ferai honneur à mes parents. Souffla Zelda avant de s’effondrer.
- Jadis ton père est mort ici, que c’est drôle l’histoire se répète.Â
Pendant ce temps Link avait trouvé refuge chez des paysans.
- Seigneur Link, où est votre compagnon, vous semblez si triste ?
- Appelez-moi Link, si je suis si triste c’est que j’ai perdu mon frèreÂ
- Il ne doit pas être trop loin, sûrement perdu dans la forêt. Dit le paysan tentant de trouver une explication logique.
- Il est au château peut être mort ou torturé, maintenant laissez-moi dormir.Â
- C’est la maison de Jean-François !Â
- Link peut-tu aller chercher du bois pour nous réchauffer demanda Zelda
- Bien sur.Â
Peu de temps après Zelda entendit frapper à la porte. Il l’ouvrit et hurla car devant lui se trouvait le seigneur noir.
Il s’apprêta à dégainer son épée. Malheur ! Il venait de la prêtait à Link pour que celui ci coupe le bois. Le Seigneur Noir attrapa le poignet de Zelda, celui ci alors sentit sa force s’ évanouir.
Beaucoup plus tard.
« Zelda ouvre j’ai le bois, si c’est une blague ce n’est pas drôle »
N’entendant rien Link enfonça la porte, Il aperçut le collier de Zelda à terre lui qui le portait toujours à son cou. La pièce était abandonnée, les objets renverser sur le sol et du sang gisait sur le plancher. Il ne mit pas sans longtemps à comprendre.
Dans le palais, le Seigneur Noir s’efforçait de faire parler Zelda. Celui-ci avait été attaché sur la table des tortures et voyait le sang dégoulinait de son torse.
« Parle, qui est-tu ? Siffla le seigneur noir.
-Â Je suis ZELDA, fils de Geoffroy et de Catherine.
- Menteur, il est mort. Mort pour rien comme tu le vois chuchota le seigneur noir.
- Je suis revenu à la vie, mais c’est toi qui vas mourir.Â
- Nous sommes dans une histoire tragique, le vaillant héros meurt et le méchant gagne. Quel plan parfait ! Ricana le seigneur noir.
-Â Tellement parfait que tu en oublie Link.Â
- Tu es à l’aise pour réfléchir toute la nuit, abandonne Link et nous serons les maîtres. Lui dit alors le Seigneur Noir.
- Jamais ! Je ferai honneur à mes parents. Souffla Zelda avant de s’effondrer.
- Jadis ton père est mort ici, que c’est drôle l’histoire se répète.Â
Pendant ce temps Link avait trouvé refuge chez des paysans.
- Seigneur Link, où est votre compagnon, vous semblez si triste ?
- Appelez-moi Link, si je suis si triste c’est que j’ai perdu mon frèreÂ
- Il ne doit pas être trop loin, sûrement perdu dans la forêt. Dit le paysan tentant de trouver une explication logique.
- Il est au château peut être mort ou torturé, maintenant laissez-moi dormir.Â