Note de la fic :
Publié le 09/03/2010 à 16:16:59 par ghost
6 Juin 1914.
Je suis obligé d’attendre quelques journées avant d’écrire … Si on me voyait écrire dans ce bouquin, l’officier du régiment me le confisquerait et je serai de corvée pour le reste de la semaine.
Je n’ai pas pu contacter mes amis, ils ont été envoyé au Nord de la France, l’officier en charge de notre entraînement ne peut pas me cerner ; il cherche par tous les moyens à me faire craquer … l’enfoiré. Je me doutais qu’il y avait des salops dans l’armée mais pas à ce point-là !
Dès le premier jour, il a voulu montrer aux nouvelles recrues qu’il était le chef incontesté, résultat ; il s’est pris un vent.
Voilà ce qu’il a dit : « Bon … On est pas là pour tricoter alors le premier que je vois rêvasser il se prends mon coup de pied au cul ! Sachez que dans cette base, il y a le lieutenant Fisher en charge de la direction des opérations et il y a Moi, l’officier en charge de Votre entraînement. Si yen a à qui ça déplait qu’il le dise maintenant ou se taise à jamais. (ça phrase a été ponctué d’un léger sourire et d’un hochement de tête satisfait)
Toi ! Ton nom ?
-Shanks (Evidemment il me cible en premier …)
Quoi Shanks ?? T’es un putin de ‘ricain ?
-… *o*
Tu réponds pas ?.. Pfff … mauviette. Quand je pose une question, on me répond !..
Compris ?
-… *o*
Soldat ! 50 pompes ! »
Je ne voulais pas me faire remarquer mais cet abruti m’a tellement énervé … Au final, j’ai été privé de dessert. Hallucinant, comme si j’en avais quelque chose à foutre de leur bouffe congelée.
P.S : J’ai mal aux bras.
15 Juin 1914.
J’ai essayé d’avoir des nouvelles de l’extérieur mais rien de nouveau. On nous laisse sortir le week-end dans les alentours de la base mais il n’y a aucune bibliothèque … Mes camarades ont essayé d’entrer en contact avec moi mais ils ont vite compris que je ne voulais pas avoir à faire avec eux.
Hier, on nous a mis des armes entre les mains, je n’ai touché aucune cible.
L’officier a voulu que je tire avec une FM 24-29. (Fusil-mitrailleur)
J’ai un peu honte mais j’ai perdu le contrôle et comme j’étais crispé sur la gâchette, j’ai failli fauché la moitié du régiment … Heureusement le chargeur n’était pas plein.
Par la suite, j’ai reçu les surnoms de « Tireur fou » ou « Bambi » (Allez savoir pourquoi)
Je n’ai pas ma place dans ce groupe ! L’officier m’a confié une radio totalement déglinguée.
Je suis obligé d’attendre quelques journées avant d’écrire … Si on me voyait écrire dans ce bouquin, l’officier du régiment me le confisquerait et je serai de corvée pour le reste de la semaine.
Je n’ai pas pu contacter mes amis, ils ont été envoyé au Nord de la France, l’officier en charge de notre entraînement ne peut pas me cerner ; il cherche par tous les moyens à me faire craquer … l’enfoiré. Je me doutais qu’il y avait des salops dans l’armée mais pas à ce point-là !
Dès le premier jour, il a voulu montrer aux nouvelles recrues qu’il était le chef incontesté, résultat ; il s’est pris un vent.
Voilà ce qu’il a dit : « Bon … On est pas là pour tricoter alors le premier que je vois rêvasser il se prends mon coup de pied au cul ! Sachez que dans cette base, il y a le lieutenant Fisher en charge de la direction des opérations et il y a Moi, l’officier en charge de Votre entraînement. Si yen a à qui ça déplait qu’il le dise maintenant ou se taise à jamais. (ça phrase a été ponctué d’un léger sourire et d’un hochement de tête satisfait)
Toi ! Ton nom ?
-Shanks (Evidemment il me cible en premier …)
Quoi Shanks ?? T’es un putin de ‘ricain ?
-… *o*
Tu réponds pas ?.. Pfff … mauviette. Quand je pose une question, on me répond !..
Compris ?
-… *o*
Soldat ! 50 pompes ! »
Je ne voulais pas me faire remarquer mais cet abruti m’a tellement énervé … Au final, j’ai été privé de dessert. Hallucinant, comme si j’en avais quelque chose à foutre de leur bouffe congelée.
P.S : J’ai mal aux bras.
15 Juin 1914.
J’ai essayé d’avoir des nouvelles de l’extérieur mais rien de nouveau. On nous laisse sortir le week-end dans les alentours de la base mais il n’y a aucune bibliothèque … Mes camarades ont essayé d’entrer en contact avec moi mais ils ont vite compris que je ne voulais pas avoir à faire avec eux.
Hier, on nous a mis des armes entre les mains, je n’ai touché aucune cible.
L’officier a voulu que je tire avec une FM 24-29. (Fusil-mitrailleur)
J’ai un peu honte mais j’ai perdu le contrôle et comme j’étais crispé sur la gâchette, j’ai failli fauché la moitié du régiment … Heureusement le chargeur n’était pas plein.
Par la suite, j’ai reçu les surnoms de « Tireur fou » ou « Bambi » (Allez savoir pourquoi)
Je n’ai pas ma place dans ce groupe ! L’officier m’a confié une radio totalement déglinguée.