Note de la fic :
Publié le 21/01/2010 à 13:10:59 par MyLifeNoFake
Le film était passée à une vitesse fulgurante, je m'en foutais totalement il faut dire ... Je passais du temps et même du bon temps avec Oriane , quand soudain arriva la fin du Film. Elle devait rentrer tout de suite, alors je l'accompagna jusqu'à la gare, l'embrassa sur le quai et la regarda partir, puis avec Victor et Julie on décida d'aller passer un peu de temps en ville. Vers 17h00 je me décida à rentrer chez moi en train et en repensant à tout ce que j'avais vécu aujourd'hui avec Oriane.
Quand je suis rentré, il était 18h10, je décida d'aller un petit coup sur le 15-18 et de finir mes devoirs commencés. Ensuite, manger, douche et télé puis dodo .Bon j'avoue que je n'ai pas réussit à beaucoup dormir à repensant à tout sa. C'est finalement vers 23h00 je pense que Morphée m'envahit et que je succomba dans ses bras.
Le lendemain, en me levant je faisais ma petite routine matinale c'est que on était déjà Vendredi, j'aurais finit ma première semaine de cour ! Je me lava les dents, mit un peu de gel pour faire Baygay. Enfin bref ma routine, puis je dirigea à la gare, prit mon train, puis me dirigea vers le Collège, j'arriva devant le portail franchit la porte, regarda autour de moi à la recherche de Oriane dans la cour, je la vis, MAIS AVEC un autre gars et ELLE, ELLE l'embrassait ! . Chaud je me dirigea en direction d'elle, pas pour la voir mais parce que Victor était un peu plus loin, elle me vit arriver, elle lâcha le mec, prit un air gêné et m'adressa:
-Oriane : Salut Tristan, hum c'est pas ce que tu crois.
-Moi : Rien à foutre salope, là je vois ta vrai personne, tu embrasses un gars un jour et le lendemain tu vas vers un autre.
-L'autre gars : Quoi ? Tu l'as embrassé ?! Mais enfin 3 mois que l'on est ensemble, et tu oses tout foutre en l'air.
-Moi : Ah, mec désolé, elle m'a rien dit qu'elle avait un copain, elle est venu d'elle-même, fin bref désolé.
-Oriane en pleurt : Non, non Tristan attend.
-Moi : Taggle salope ! Ne m'adresse plus la parole . Chaud quoi tu "trompes" ton copain avec moi, désolé je ne traine pas avec les chiennes ))"> . Je suis heureux d'avoir vu sa maintenant, ça m'aurait évité des surprises à l'avenir. Rah putain je te croyais pas comme sa .
C'est ainsi qu'après ces mots, la rage en moi, que je partit en pleure en direction de Victor. Il comprit aussitôt pourquoi. Et nous partîmes un peu plus loin pour parler.
Quand je suis rentré, il était 18h10, je décida d'aller un petit coup sur le 15-18 et de finir mes devoirs commencés. Ensuite, manger, douche et télé puis dodo .Bon j'avoue que je n'ai pas réussit à beaucoup dormir à repensant à tout sa. C'est finalement vers 23h00 je pense que Morphée m'envahit et que je succomba dans ses bras.
Le lendemain, en me levant je faisais ma petite routine matinale c'est que on était déjà Vendredi, j'aurais finit ma première semaine de cour ! Je me lava les dents, mit un peu de gel pour faire Baygay. Enfin bref ma routine, puis je dirigea à la gare, prit mon train, puis me dirigea vers le Collège, j'arriva devant le portail franchit la porte, regarda autour de moi à la recherche de Oriane dans la cour, je la vis, MAIS AVEC un autre gars et ELLE, ELLE l'embrassait ! . Chaud je me dirigea en direction d'elle, pas pour la voir mais parce que Victor était un peu plus loin, elle me vit arriver, elle lâcha le mec, prit un air gêné et m'adressa:
-Oriane : Salut Tristan, hum c'est pas ce que tu crois.
-Moi : Rien à foutre salope, là je vois ta vrai personne, tu embrasses un gars un jour et le lendemain tu vas vers un autre.
-L'autre gars : Quoi ? Tu l'as embrassé ?! Mais enfin 3 mois que l'on est ensemble, et tu oses tout foutre en l'air.
-Moi : Ah, mec désolé, elle m'a rien dit qu'elle avait un copain, elle est venu d'elle-même, fin bref désolé.
-Oriane en pleurt : Non, non Tristan attend.
-Moi : Taggle salope ! Ne m'adresse plus la parole . Chaud quoi tu "trompes" ton copain avec moi, désolé je ne traine pas avec les chiennes ))"> . Je suis heureux d'avoir vu sa maintenant, ça m'aurait évité des surprises à l'avenir. Rah putain je te croyais pas comme sa .
C'est ainsi qu'après ces mots, la rage en moi, que je partit en pleure en direction de Victor. Il comprit aussitôt pourquoi. Et nous partîmes un peu plus loin pour parler.