Note de la fic : 
Publié le 18/11/2009 à 19:37:41 par julichou
Jeff fonce à toute allure à travers les rues de Miami, esquivant les voitures avec une précision et une dextérité innée. Le rugissement du deux roues dans ces rues, surprend les passants qui se retournent sur le passage du bolide. Rien ne semble arrêter Jeff, il est déterminé à réussir son coup, il n'a jamais trembler lorsqu'il fallait appuyer sur la gâchette, pourquoi devrait-il hésiter aujourd'hui? Aucune raison que ça ne marche pas.
Feu rouge, Jeff ralentit jusqu'à la ligne. Sa moto fait l'objet de nombreuses remarques et coup d'œil curieux. L'homme dans la voiture à côté du tueur le regarde avec un regard de stupéfaction. Jeff se retourne, le conducteur du véhicule voit qu'il est repéré. « Boou! », l'homme sursaute, notre tueur ricane. Le feu passe au vert, Jeff accélère fortement et lève sa roue avant, encore une fois tout le monde le remarque, c'est un peu le comble pour un homme qui doit être discret et vivre dans l'ombre. Il sait qui il doit abattre et comment le faire, il ne reste plus qu'à arriver au point de tir.
Jeff s'arrête devant un bâtiment en chantier, il descend de sa moto et commence à escalader les échafaudages sans problèmes, il monte jusqu'au somment du chantier. Il ouvre sa mallette, plein de petit objet sont proprement rangés dans leurs étuis formés de mousse. Jeff s'affère à former son arme comme un gamin jouant au playmobile. Il construit ça avec une facilité déconcertante, et le plus impressionnant c'est qu'il y a des bout de métal d'à peine deux centimètres qui sont indispensable pour le bon fonctionnement de cette machine. Jeff se souvient de cette torture lors de l'apprentissage de la construction d'une arme.
[Flashback]
« Jeff Cooper, huitième construction. Go! »
Jeff était torse nu en sueur, il serrait les dents, son visage était crispé, Un voile noir lui caché les yeux, il construisait son outil de travail le plus rapidement possible. On pouvait remarquer dans son dos, d'impressionnantes marques rouges accompagnées quelques fois de sang. L'objet est terminé, Jeff met en joue. PAN!! PAN!! PAN!!. Il retire son voile et aperçoit ces tirs. l'un d'eux est dans le milieux, les autres sont plus ou moins écarté.
« Sa fait 269 points sur 300 possible espèce de minable, même ma grand-mère elle pourrait faire mieux. Malheureusement elle est plus de ce monde sinon elle aurait vite fait de te botter le cul. Sa te feras donc 31 coups de fouets dans le dos. »
L'apprenti s'accroupit et insère un tissu dans sa bouche. Voilà Jeff en train de subir son châtiment sans pouvoir se défendre, avec interdiction de crier, parler et encore moins pleurer. Le bourreau décompte ces coups comme un compte à rebours.
[Fin du flashback]
Jeff met en place le trépied, il regarde à travers la lunette, sa cible est à environ 768m, il sort un petit appareil calculant la vitesse du vent, et le décalage à prendre pour toucher la cible...
C'est bon il sait maintenant que la balle va être déviée de 3,46m sur la droite. Jeff se met en place , la cible est repéré, c'est un homme, il est assit dans son fauteuil de ministre les pieds sur le bureau. Il se lève, regarde par la fenêtre, Jeff va tirer. L'homme a l'air de fixé notre killer, l'homme lui fais un signe de la main....................PAN! La fenêtre se casse, l'homme s'écroule, un trou entre les deux yeux....... Il lui a fait un signe. Jeff range vite son matériel, il prend sa mallette et glisse sur les échafaudages pour arriver jusqu'en bas. Il chevauche sa bécane et fonce à toute allure pour rentrer chez lui.
Feu rouge, Jeff ralentit jusqu'à la ligne. Sa moto fait l'objet de nombreuses remarques et coup d'œil curieux. L'homme dans la voiture à côté du tueur le regarde avec un regard de stupéfaction. Jeff se retourne, le conducteur du véhicule voit qu'il est repéré. « Boou! », l'homme sursaute, notre tueur ricane. Le feu passe au vert, Jeff accélère fortement et lève sa roue avant, encore une fois tout le monde le remarque, c'est un peu le comble pour un homme qui doit être discret et vivre dans l'ombre. Il sait qui il doit abattre et comment le faire, il ne reste plus qu'à arriver au point de tir.
Jeff s'arrête devant un bâtiment en chantier, il descend de sa moto et commence à escalader les échafaudages sans problèmes, il monte jusqu'au somment du chantier. Il ouvre sa mallette, plein de petit objet sont proprement rangés dans leurs étuis formés de mousse. Jeff s'affère à former son arme comme un gamin jouant au playmobile. Il construit ça avec une facilité déconcertante, et le plus impressionnant c'est qu'il y a des bout de métal d'à peine deux centimètres qui sont indispensable pour le bon fonctionnement de cette machine. Jeff se souvient de cette torture lors de l'apprentissage de la construction d'une arme.
[Flashback]
« Jeff Cooper, huitième construction. Go! »
Jeff était torse nu en sueur, il serrait les dents, son visage était crispé, Un voile noir lui caché les yeux, il construisait son outil de travail le plus rapidement possible. On pouvait remarquer dans son dos, d'impressionnantes marques rouges accompagnées quelques fois de sang. L'objet est terminé, Jeff met en joue. PAN!! PAN!! PAN!!. Il retire son voile et aperçoit ces tirs. l'un d'eux est dans le milieux, les autres sont plus ou moins écarté.
« Sa fait 269 points sur 300 possible espèce de minable, même ma grand-mère elle pourrait faire mieux. Malheureusement elle est plus de ce monde sinon elle aurait vite fait de te botter le cul. Sa te feras donc 31 coups de fouets dans le dos. »
L'apprenti s'accroupit et insère un tissu dans sa bouche. Voilà Jeff en train de subir son châtiment sans pouvoir se défendre, avec interdiction de crier, parler et encore moins pleurer. Le bourreau décompte ces coups comme un compte à rebours.
[Fin du flashback]
Jeff met en place le trépied, il regarde à travers la lunette, sa cible est à environ 768m, il sort un petit appareil calculant la vitesse du vent, et le décalage à prendre pour toucher la cible...
C'est bon il sait maintenant que la balle va être déviée de 3,46m sur la droite. Jeff se met en place , la cible est repéré, c'est un homme, il est assit dans son fauteuil de ministre les pieds sur le bureau. Il se lève, regarde par la fenêtre, Jeff va tirer. L'homme a l'air de fixé notre killer, l'homme lui fais un signe de la main....................PAN! La fenêtre se casse, l'homme s'écroule, un trou entre les deux yeux....... Il lui a fait un signe. Jeff range vite son matériel, il prend sa mallette et glisse sur les échafaudages pour arriver jusqu'en bas. Il chevauche sa bécane et fonce à toute allure pour rentrer chez lui.