Note de la fic : :noel: :noel: :noel:

La Faction


Par : julichou
Genre : Action
Statut : C'est compliqué



Chapitre 2


Publié le 06/11/2009 à 21:34:37 par julichou

Georges a eu une dure journée de travail aujourd'hui, il est exténué. Il a réussi à signer son contrat mais il a dû faire du lèche botte au client pendant plus d'une heure. Même si il est payé pour le faire, là c'était vraiment chiant, il n'y a pas d'autre mot. Le patron l'a laissé partir plus tôt pour fêter son contrat, il lui en est très reconnaissant. Avant de rejoindre sa voiture il va, comme d'habitude, prendre son café serré sans sucre à la cafétéria. Il se dirige vers le parking de l'entreprise où est garé sa banale voiture. Avec la prime de ce contrat il va surement s'en acheter une nouvelle, en tout cas c'est se qu'il projette de faire si sa femme n'a rien trouvé de mieux. Il rentre dans sa voiture, met son CD préféré, celui de Kool and the Gang. Oui c'est un peu vieux, mais il adore gesticuler sur leurs morceaux. Le voilà sortit du parking, un vrai connard lui coupe la route, Georges le klaxonne.

Parlons de Georges un peu. C'est un petit commercial qui adore bricoler, se qui explique son physique légèrement robuste. Il est président de l'association des voisins de son quartier. Il n'ai pas peu fière de son élection et il le rend bien à ses voisins. C'est lui qui a eu l'idée d'inventer des brocantes une fois par mois dans son quartier. Georges porte toujours des chemises à manches courtes, il ne peut pas supporter de ne pas voir ses avants-bras dit-il, malgré le faites que ses avants-bras ne soit pas si beau que ça. Il possède une magnifique collection de couteau qu'il expose fièrement dans son salon et ne manque pas de les montrer à ses invités lors de repas.

Le petit commercial habite dans une petite maisonnette en banlieue, dans un quartier du genre que l'on voit partout aux États-Unis. Toutes ces maisons identiques alignées telles une rangée de bons petits soldats. Il arrive en face de sa maison, son voisin d'en face tond sa pelouse, il lui adresse un signe de la main en guise de bonjour. Il se dirige vers sa boîte aux lettres et l'ouvre. « Rooh! Encore une facture. Je crois que se sera pas pour ce mois que je m'achèterais ma voiture » dit-il déçu. Il rentre dans sa maison pose ses clés sur la petite table à l'entrée, il se dirige vers le salon et se décide enfin à sortir sa tête de ses papiers pour découvrir une horreur dans sa maison. Sa femme était en train de se faire sauter par un inconnu, le café de Georges lui échappe. Le bruit interpelle sa femme qui arrête immédiatement ses gesticulations. « Tu rentre tôt aujourd'hui Georges... euh enfin... sa va?!... hum!... je vais tout t'expliquer Georges. ». Le pauvre homme reste bouche bée alors que l'amant remet son pantalon. Georges cherche une issu à se qu'il vient de voir, il se dirige vers sa vitrine de couteaux, prend le plus gros et se dirige d'un pas décidé vers l'inconnu. Il efface sa femme d'une gifle qui l'a fait s'écrouler par terre. Il arme son coup et plante le couteau dans la trachée de l'homme qui ne peut rien faire. Le blessé s'écroule et cherche son aire, la femme de Georges se précipite vers son amant en pleurant. « Mais t'es qu'un pauvre con!! Regarde se que t'as fait! Oh mon Dieu ». Georges se rend compte que sa femme l'aimait. Tout ses rêves de familles s'effondrent autour de lui. Et dire qu'ils avaient envisagé de faire un enfant. Il regarde son couteau, réarme son coup, et plante la lame dans le cervelet de la femme. Les cris et les pleurent s'estompent immédiatement.

…................................................

Un silence de mort envahit la pièce, Georges lâcha son couteau sur le parquet ensanglanté. Il sortit de sa maison et se dirigea rapidement vers sa voiture. Il sortit de son quartier et fondit en larmes en regardant ces mains recouvertes de sang, celui de sa femme et de son amant. Ça ne lui ressemble pas du tout, Georges a toujours était très calme, aimant et a toujours critiqué les tueurs qui passaient aux informations. Maintenant il fait partit d'eux.

Le feux est rouge, Georges s'arrête, le quartier est vide, Georges pleure. Il aperçoit une superbe voiture noire arrivant dans son rétroviseur. Il pourra jamais se la payer celle là, même avec un salaire de ministre pensait-il. La voiture le double par la gauche, il l'admire. La fenêtre teintée descend, on peut apercevoir un canon sortir de l'ombre. PAN!!! Georges est mort, une balle entre les deux yeux. Le canon disparaît, la fenêtre remonte, la voiture part tranquillement.

[30 minutes plus tard]

Un portail s'ouvre, la voiture rentre dans une cour et fait le tour d'une superbe fontaine avant de s'arrêter devant un immense escalier. La porte s'ouvre, un homme en noir descend, monte les escaliers et rentre dans cette superbe villa, c'est Jeff. Un immense couloir le mène au salon où une superbe femme l'attend allongée sur le canapé vêtu de simples sous vêtements. Elle l'emmène dans la chambre, ils se déshabillent, s'embrassent et font l'amour.

[1h plus tard]

Jeff est assis dans un fauteuil en face de la fenêtre qui donne directement sur la mer. Il admire le paysage, un verre de scotch à la main. Dana le rejoint et s'installe sur ses genoux, elle prend la main de Jeff, y dépose un petit tas de poudre blanche ressemblant étrangement à de la drogue. Jeff l'apporte à son nez et inspire un grand coup en se bouchant l'une des deux narines. Il grimace, Dana fait de même. Ils s'embrassent. Ils commencent à s'assoupir dans les bras l'un de l'autre.

BIP, BIP

Son bippeur spéciale pour les missions vient de sonner, encore un travail pour lui. Ces temps-ci il y a pas mal de travail, sa lui arrive qu'on l'appelle 5 ou 6 fois dans la journée. Jeff s'habille il descend dans son sous sol, il allume la lumière. Un entrepôt d'armes, une quinzaine de pistolets du plus discret au plus puissant, une dizaine de fusils mitrailleurs et autres UZI, un bazooka et quelques grenades. On ne peut pas essayer de chercher se qu'il n'a pas, il a tout, du poison jusqu'au C4 en passant par des armes blanches plus impressionnantes les unes que les autres. 5 valises sont posées sur une table, il en prend une, sachant pertinemment se qu'il y a dedans. Il enfile une combinaison, un casque, chevauche sa moto, actionne un bouton qui ouvre une porte cachée qui le mène jusqu'à sa cour. Le voilà partit pour une mission certes routinière, mais tout de même spéciale.


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