Note de la fic :
Publié le 23/11/2009 à 14:46:10 par SNVM
La première fois que je l’ai vu, je l’ai trouvé magnifique.
Ses cheveux voletaient doucement sous un petit vent. Elle était belle. Sereine.
Je l’ai croisée, elle marchait lentement, ses yeux roulant doucement. Ses yeux... Si profonds, j’aurais rêvé de pouvoir y plonger les miens pour lui arracher un baisé.
Elle est passée à côté de moi, laissant son regard se promener sur moi pour ensuite détourner la tête avec un sourire posé sur ses lèvres, découvrant ainsi ses petites dents blanches.
J’ai moi-même caché mon visage sous quelques mèches, ne voulant pas qu’elle me surprenne à la regarder.
Lorsque nos regards se sont croisés, j’ai aussitôt détournés les yeux, ne voulant pas tomber dans les siens.
Je me suit mis à rêver d’elle après cette rencontre... J’allais au même endroit dans l’espoir de la revoir. Tout nous séparait. Elle était lumineuse, j’étais terne.
Elle avait ses habitudes, son banc, sa posture...J’avais les miennes, mon banc, ma solitude...Bien que je la regardai du coin de l’œil chaque jours, elle me paraissait si proche... Je m’était persuadé qu’elle faisait comme moi, venant ici dans un but précis...
Un jour je l’ai vu avec un garçon qui me valait bien trois fois. Depuis, il n’a cessé de quitter son ombre. Je le regardais, envieux, avec une certaine déchirure au cœur à chaque fois qu’il tenait mon rêve dans ses bras... Mais elle paraissait resplendissante de bonheur, encore plus lumineuse...
Je ne pouvais m’empêcher de venir... J’avais besoin de la voir. Comme un besoin vital. Et caché derrière mes genoux et sous mes cheveux, une larme secrète tombait à chaque fois que je les voyais tout les deux.
Je m’arrangeait toujours pour arriver avant elle, la regarder s’installer, la connaitre, me délecter des ces instants...
C’est comme ça que j’ai sut. J’avais passé tellement de temps à la regarder... A la connaitre.
C’est comme ça qu’elle est arrivée, un jour. Habillée de noir. Des larmes fuyaient de ses yeux, emmenant sont maquillage dans un petit sillon noir. Elle les retirait de son visage, autrefois si radieux, C’est là que j’ai vu. Cachées sous sa longue manche, deux cicatrices au poignet. Rouge, Cuisantes .
Un poids était tombé en moi à cet instant. C’est ce poids qui m’a fait déplier mes genoux, sortir la tête de ma cachette. C’est ce même poids qui m’a fait me lever pour aller en sa direction… C’est ce même poids qui m’a fait lui tendre la main, révélant ainsi les même signes de souffrance à mon poignet droit.
Ses cheveux voletaient doucement sous un petit vent. Elle était belle. Sereine.
Je l’ai croisée, elle marchait lentement, ses yeux roulant doucement. Ses yeux... Si profonds, j’aurais rêvé de pouvoir y plonger les miens pour lui arracher un baisé.
Elle est passée à côté de moi, laissant son regard se promener sur moi pour ensuite détourner la tête avec un sourire posé sur ses lèvres, découvrant ainsi ses petites dents blanches.
J’ai moi-même caché mon visage sous quelques mèches, ne voulant pas qu’elle me surprenne à la regarder.
Lorsque nos regards se sont croisés, j’ai aussitôt détournés les yeux, ne voulant pas tomber dans les siens.
Je me suit mis à rêver d’elle après cette rencontre... J’allais au même endroit dans l’espoir de la revoir. Tout nous séparait. Elle était lumineuse, j’étais terne.
Elle avait ses habitudes, son banc, sa posture...J’avais les miennes, mon banc, ma solitude...Bien que je la regardai du coin de l’œil chaque jours, elle me paraissait si proche... Je m’était persuadé qu’elle faisait comme moi, venant ici dans un but précis...
Un jour je l’ai vu avec un garçon qui me valait bien trois fois. Depuis, il n’a cessé de quitter son ombre. Je le regardais, envieux, avec une certaine déchirure au cœur à chaque fois qu’il tenait mon rêve dans ses bras... Mais elle paraissait resplendissante de bonheur, encore plus lumineuse...
Je ne pouvais m’empêcher de venir... J’avais besoin de la voir. Comme un besoin vital. Et caché derrière mes genoux et sous mes cheveux, une larme secrète tombait à chaque fois que je les voyais tout les deux.
Je m’arrangeait toujours pour arriver avant elle, la regarder s’installer, la connaitre, me délecter des ces instants...
C’est comme ça que j’ai sut. J’avais passé tellement de temps à la regarder... A la connaitre.
C’est comme ça qu’elle est arrivée, un jour. Habillée de noir. Des larmes fuyaient de ses yeux, emmenant sont maquillage dans un petit sillon noir. Elle les retirait de son visage, autrefois si radieux, C’est là que j’ai vu. Cachées sous sa longue manche, deux cicatrices au poignet. Rouge, Cuisantes .
Un poids était tombé en moi à cet instant. C’est ce poids qui m’a fait déplier mes genoux, sortir la tête de ma cachette. C’est ce même poids qui m’a fait me lever pour aller en sa direction… C’est ce même poids qui m’a fait lui tendre la main, révélant ainsi les même signes de souffrance à mon poignet droit.
Commentaires
- Sheyne
23/11/2009 à 21:24:54
Magnifique si ce n'est les quelques répétitions.
Suite !! - Pseudo supprimé
23/11/2009 à 21:02:40
veut une sweet
- Pseudo supprimé
23/11/2009 à 20:20:00
J'ai beaucoup aimé.
Ça m'a l'air de ressembler à une courte nouvelle ; y'aura une suite j'espère. - Sinn
23/11/2009 à 19:31:47
Aère ton texte.
- Vanoob
23/11/2009 à 17:25:41
Juste penser à un peu plus espacer, mettre des alinéas, sinon c'est parfait.
Je réclame une sweet !