Note de la fic :
Publié le 03/11/2009 à 23:52:41 par LetThereBeRock
Depuis plusieurs mois, nous étions installés, avec une trentaine de survivants, dans un ancien hôtel, retapé pour l’occasion en camp de fortune. Nous en avions barricadé les fenêtres et les portes inutilisées, et des groupes de survivants, les « saints », comme nous nous appelions, se relayaient tous les jours afin de trouver dans les alentours, armes, vivres, objets en tous genres. Certains n’en revenaient pas. Max en faisait partie.
Rob nous ouvrit la porte du garage et je garai le camion à l’intérieur. J’ouvris une armoire et pris un autre manteau.
- J’me suis battu contre une petite chatte, lui dis-je en lui montrant mon cuir.
Il sourit et embrassa Mary.
- Et Max, lui demanda-t-il?
- C’est fait, lâcha-t-elle dans un sanglot étouffé.
Je fermai le garage et montai à ma chambre, pris une douche, toujours froide,
pensais-je.
Je m’habillai, puis descendit pour aller chercher quelque chose à manger, je commençais à avoir salement les crocs.
Après un repas frugal, je finis par m’endormir dans ma chambre.
Je me réveillai en sursaut, trempé de sueur.
L’alarme de l’hôtel me sortis de mon cauchemar.
Snow, un grand noir de plus de 2 mètres entra en trombe dans ma chambre et hurla de me préparer.
- Saute dans ton slip, man, ces pourris arrivent, bordel.
- Par ou, répondis-je?
- L’entrée ouest, retrouve-moi étage 3.
- Donne-moi 30 secondes.
Juste le temps de m’habiller, de prendre mes flingues, je couru comme un forcené les escaliers qui menaient vers le 3ème étage.
J’y retrouvai Snow.
- Ces enculés essaient d’escalader le murs, bordel!
- Ils sont combiens?
- Une dizaine, les autres se tiennent près au cas ou on se ferait déborder.
- Okay, t’as une idée?
- On s’approche du bord, voir à quelle vitesse ils avancent, et on avise.
Nous nous approchâmes du bord de la fenêtre avec précaution, tandis que des grognements se faisaient entendre dehors. Snow tenta un risqué coup d’œil vers le bas, et à ce moment là une de ces saloperies l’attrapa pas le cou et tenta de l’entrainer vers le bas.
- Aaaaah, enculé, lâche moi sale mange-merde, putain de bordel, aide-moi!
Je sortis mon .45 de son étui et cala une jolie bastos dans l’œil de cette putain de chiennasse moisie. J’ai du lui faire de l’effet, ses joues se mirent à rougir immédiatement. La bestiole relâcha son étreinte et s’effondra sur le trottoir en dessous de nous dans un bruit horrible d’os brisés.
- Merci mec, on fait quoi maintenant?
- On tire putain, on tire!
Deux chargeurs et 10 cadavres plus tard, nous redescendîmes et Mary me sauta au cou.
- Ca va aller ma chérie, c’est bon.
- J’peux pas m’en empêcher, faut que je m’inquiète…
Rob me tapa chaleureusement dans la main et me dit tout bas:
- T’as remarqué Snow?
- Tu parles de sa griffure dans le cou?
- Ouais.
Je hochai la tête.
Rob nous ouvrit la porte du garage et je garai le camion à l’intérieur. J’ouvris une armoire et pris un autre manteau.
- J’me suis battu contre une petite chatte, lui dis-je en lui montrant mon cuir.
Il sourit et embrassa Mary.
- Et Max, lui demanda-t-il?
- C’est fait, lâcha-t-elle dans un sanglot étouffé.
Je fermai le garage et montai à ma chambre, pris une douche, toujours froide,
pensais-je.
Je m’habillai, puis descendit pour aller chercher quelque chose à manger, je commençais à avoir salement les crocs.
Après un repas frugal, je finis par m’endormir dans ma chambre.
Je me réveillai en sursaut, trempé de sueur.
L’alarme de l’hôtel me sortis de mon cauchemar.
Snow, un grand noir de plus de 2 mètres entra en trombe dans ma chambre et hurla de me préparer.
- Saute dans ton slip, man, ces pourris arrivent, bordel.
- Par ou, répondis-je?
- L’entrée ouest, retrouve-moi étage 3.
- Donne-moi 30 secondes.
Juste le temps de m’habiller, de prendre mes flingues, je couru comme un forcené les escaliers qui menaient vers le 3ème étage.
J’y retrouvai Snow.
- Ces enculés essaient d’escalader le murs, bordel!
- Ils sont combiens?
- Une dizaine, les autres se tiennent près au cas ou on se ferait déborder.
- Okay, t’as une idée?
- On s’approche du bord, voir à quelle vitesse ils avancent, et on avise.
Nous nous approchâmes du bord de la fenêtre avec précaution, tandis que des grognements se faisaient entendre dehors. Snow tenta un risqué coup d’œil vers le bas, et à ce moment là une de ces saloperies l’attrapa pas le cou et tenta de l’entrainer vers le bas.
- Aaaaah, enculé, lâche moi sale mange-merde, putain de bordel, aide-moi!
Je sortis mon .45 de son étui et cala une jolie bastos dans l’œil de cette putain de chiennasse moisie. J’ai du lui faire de l’effet, ses joues se mirent à rougir immédiatement. La bestiole relâcha son étreinte et s’effondra sur le trottoir en dessous de nous dans un bruit horrible d’os brisés.
- Merci mec, on fait quoi maintenant?
- On tire putain, on tire!
Deux chargeurs et 10 cadavres plus tard, nous redescendîmes et Mary me sauta au cou.
- Ca va aller ma chérie, c’est bon.
- J’peux pas m’en empêcher, faut que je m’inquiète…
Rob me tapa chaleureusement dans la main et me dit tout bas:
- T’as remarqué Snow?
- Tu parles de sa griffure dans le cou?
- Ouais.
Je hochai la tête.