Note de la fic :
Publié le 25/09/2009 à 01:25:15 par sebb73
« Et alors qu'est ce que ça peut nous faire ? Vous allez nous tuer après » Dis-je
« Vous tuer ? Vous êtes barbares mes jeunes amis »
« Bah voyons comme si on allait vous croire... » Rétorquai-je
« Les gars, calmez moi ce jeune impulsif »
En moins de 2, l'un des hommes armés me frappa avec la crosse de son arme ce qui me fit sentir une douleur intense à l'arrière de la tête.
« Ça y est on va m'écouter ? » Demanda Dumas
« ... »
« Bien, donc comme j'allais le dire, ma fonction est de créer des médicaments pour de graves maladies comme le SIDA, le cancer et toutes ces atrocités »
« Des traitements ? Parce que nous lâcher une horde de bouffeurs qui ont tués plus de 50 000 personnes vous appelez ça un traitement ? » Rétorqua Cécile
« Laissez moi vous expliquer une chose. La vie sur Terre n'est qu'une spirale funeste et seule la mort est éternelle. On aura beau soigner toutes les maladies et résoudre tous les problèmes de ce monde au final seul la mort triomphe. Que l'on meurt jeune ou vieux, en excellente où en mauvaise santé, que ce soit dû à une balle d'une arme où dévorer par un animal, le résultat est le même. Moi, je veux libérer tous ces moutons qui cavalent vers leur tombe. En fait pour libérer, pour guérir la Terre, il n'y a qu'une solution. Si on veut que la Mort ne domine plus, nous devons tous mourir. C'est pour cela que j'ai crée cette formule. Regardez les bouffeurs comme vous les appelez. Ce ne sont que des enveloppes charnelles, ils n'ont plus d'âme. Je les ai libérés de leur souffrance quotidienne. Ils doivent m'être reconnaissants là où ils sont hinhinhin »
« Mais Monsieur, je croyais que notre but était de soigner les maladies pour rallonger la durée de vie des gens » S'exclama Yves
« Continues à te la ramener et je libérerai ta femme et tes enfants de leur souffrance avant les autres » Répondit froidement Dumas
Yves ne disait plus rien. Cette dernière phrase l'avait prostré:
« Vous êtes répugnant ! » Lançai-je
« Moi, non. La nature humaine oui. C'est une souffrance à laquelle je mettrais fin très bientôt. Emmenez les au sous-sol. Ils vont être... Non vous savez quoi ? Pas tout de suite. J'ai une chose à montrer. Yves asseyez vous face à eux » Dit le scientifique
Yves s'exécuta tandis que Dumas prit quelque chose dans son bureau. Quand cet objet était enfin visible on découvrit qu'il s'agissait d'une seringue. Dumas reprit la parole:
« J'ai amélioré la formule hinhinhin. Je vais vous le montrer »
Il planta l'aiguille dans le bras d'Yves et envoya le liquide dans ses veines. Le résultat ne se fit pas attendre. Yves s'écroula au sol instantanément. Dumas souriait bêtement avant d'ajouter:
« Attendez, ce n'est pas fini »
Yves se releva mais il n'avait plus rien d'humain. Ça se voyait à ses yeux et à sa peau. Il était maintenant bouffeur. Dumas dit alors:
« Tuez le »
Un homme armé tira une balle qui se logea dans le front d'Yves. Sa tête implosa et il tomba de nouveau au sol, cette fois-ci définitivement. Dumas repartit en direction de son bureau et en reprit une seringue avant de dire:
« Bien c'est votre tour à présent. Je vais en piquer un au hasard et il bouffera les autres avant qu'on ne le tue »
Il commençait à nous fixer sans doute pour choisir sa victime quand une alarme se fit entendre dans l'enceinte de l'université.
« ALERTE ! INTRUS DANS LA COUR ! INTRUS DANS LA COUR ! »
« Monsieur venez voir ! » S'écriait un homme armé
Dumas regarda à la fenêtre et dit:
« Bien, cette séance s'arrête là. On se reverra »
Il partit avec ses hommes de main tandis que nous étions livrés à nous-mêmes et à ce fameux intrus dont on ignorait tout.
« Vous tuer ? Vous êtes barbares mes jeunes amis »
« Bah voyons comme si on allait vous croire... » Rétorquai-je
« Les gars, calmez moi ce jeune impulsif »
En moins de 2, l'un des hommes armés me frappa avec la crosse de son arme ce qui me fit sentir une douleur intense à l'arrière de la tête.
« Ça y est on va m'écouter ? » Demanda Dumas
« ... »
« Bien, donc comme j'allais le dire, ma fonction est de créer des médicaments pour de graves maladies comme le SIDA, le cancer et toutes ces atrocités »
« Des traitements ? Parce que nous lâcher une horde de bouffeurs qui ont tués plus de 50 000 personnes vous appelez ça un traitement ? » Rétorqua Cécile
« Laissez moi vous expliquer une chose. La vie sur Terre n'est qu'une spirale funeste et seule la mort est éternelle. On aura beau soigner toutes les maladies et résoudre tous les problèmes de ce monde au final seul la mort triomphe. Que l'on meurt jeune ou vieux, en excellente où en mauvaise santé, que ce soit dû à une balle d'une arme où dévorer par un animal, le résultat est le même. Moi, je veux libérer tous ces moutons qui cavalent vers leur tombe. En fait pour libérer, pour guérir la Terre, il n'y a qu'une solution. Si on veut que la Mort ne domine plus, nous devons tous mourir. C'est pour cela que j'ai crée cette formule. Regardez les bouffeurs comme vous les appelez. Ce ne sont que des enveloppes charnelles, ils n'ont plus d'âme. Je les ai libérés de leur souffrance quotidienne. Ils doivent m'être reconnaissants là où ils sont hinhinhin »
« Mais Monsieur, je croyais que notre but était de soigner les maladies pour rallonger la durée de vie des gens » S'exclama Yves
« Continues à te la ramener et je libérerai ta femme et tes enfants de leur souffrance avant les autres » Répondit froidement Dumas
Yves ne disait plus rien. Cette dernière phrase l'avait prostré:
« Vous êtes répugnant ! » Lançai-je
« Moi, non. La nature humaine oui. C'est une souffrance à laquelle je mettrais fin très bientôt. Emmenez les au sous-sol. Ils vont être... Non vous savez quoi ? Pas tout de suite. J'ai une chose à montrer. Yves asseyez vous face à eux » Dit le scientifique
Yves s'exécuta tandis que Dumas prit quelque chose dans son bureau. Quand cet objet était enfin visible on découvrit qu'il s'agissait d'une seringue. Dumas reprit la parole:
« J'ai amélioré la formule hinhinhin. Je vais vous le montrer »
Il planta l'aiguille dans le bras d'Yves et envoya le liquide dans ses veines. Le résultat ne se fit pas attendre. Yves s'écroula au sol instantanément. Dumas souriait bêtement avant d'ajouter:
« Attendez, ce n'est pas fini »
Yves se releva mais il n'avait plus rien d'humain. Ça se voyait à ses yeux et à sa peau. Il était maintenant bouffeur. Dumas dit alors:
« Tuez le »
Un homme armé tira une balle qui se logea dans le front d'Yves. Sa tête implosa et il tomba de nouveau au sol, cette fois-ci définitivement. Dumas repartit en direction de son bureau et en reprit une seringue avant de dire:
« Bien c'est votre tour à présent. Je vais en piquer un au hasard et il bouffera les autres avant qu'on ne le tue »
Il commençait à nous fixer sans doute pour choisir sa victime quand une alarme se fit entendre dans l'enceinte de l'université.
« ALERTE ! INTRUS DANS LA COUR ! INTRUS DANS LA COUR ! »
« Monsieur venez voir ! » S'écriait un homme armé
Dumas regarda à la fenêtre et dit:
« Bien, cette séance s'arrête là. On se reverra »
Il partit avec ses hommes de main tandis que nous étions livrés à nous-mêmes et à ce fameux intrus dont on ignorait tout.
Commentaires
- Pseudo supprimé
25/09/2009 à 17:38:57
Suite ^^
- Hart_MGO
25/09/2009 à 09:02:59
pourquoi le michon monsieur machavélique il a la même analyse critique de la vie en se déchargeant de ses fautes sur la nature? Pourquoi peu de gens sont originaux dans leurs méchants? Pourquoi y'a plus de sweet sur cette fi'?
Pourquoi je pose toutes ces questions - KirKill
25/09/2009 à 02:46:42
ONCH ONCH KOM C 1 100COEUR