Note de la fic :
Publié le 15/09/2009 à 01:12:10 par sebb73
« Non coupable ! »
Un bruit sourd se fit entendre et un climat chaotique s'installait dans cette pièce du tribunal de Paris. Qui était non coupable ? La société de pharmacologie qui pour moi est la responsable de l'apparition des bouffeurs qui ont réduits nos vies à néant. Entendre ce verdict assassin était au dessus de mes forces. Je criai à travers la salle:
« Comment ça non coupable ? Ils ont détruits nos vies avec leurs expérimentations et tout ce que vous trouvez à dire c'est ça ? »
Je me dirigeai avec une haine sans pareille vers les 2 accusés qui étaient le Directeur et le Chef de Projet de cette compagnie. Deux policiers se mirent en travers de mon chemin et tentaient de me retenir mais j'étais tellement furieux que je parvins à les repousser mais finalement à 4, ils parvinrent à me stopper. Pendant ce procès, il y avait Tof, Cécile et moi parmi les rescapés. Les autres préféraient essayer de tirer un trait sur cette tragédie. Je sortis de la salle d'audience avec mes 2 amis complètement déboussolés et abattus par le verdict final. Une fois dehors, nous fûmes accueillis par des dizaines de flashs d'appareils photos. Cette affaire avait suscité un abattage médiatique énorme et des tas de journalistes étaient présents. Nous passâmes au travers de cette masse compacte sans dire un mot et poursuivîmes notre chemin jusqu'aux terrains verts situés non loin du Palais de Justice. Nous nous assîmes et Tof commença à parler:
« Comment ? Comment ont-ils pu les déclarer innocents ? »
« J'en sais rien mais avec toutes les preuves qu'ils avaient ils ne pouvaient dire non coupables »
Cécile qui avait des notions de droits était, elle aussi, prostrée par cette décision. Nous étions restés plusieurs heures dans ce coin de verdure mais pour ne pas se laisser aller, nous allions manger un morceau dans un petit restaurant. Il était 20H00 en ce 29 Septembre 2010 et là où nous dînions, il y avait une TV et le Journal débuta. Évidemment notre histoire faisait la Une comme depuis plus d'un an. Je ne supportais pas ces images et me tournai pour continuer de manger quand Cécile prit une étrange expression faciale:
« Qu'est ce qu'il y a ? » Demanda Tof qui avait vu ce changement
« Regardez » Répondit-elle simplement
Je me tournai vers la TV et vit où elle voulait en venir. Sur la vidéo du verdict, le Sous-Directeur affichait un sourire triomphant avant même le rendu final du juge.
« Pourquoi il sourit comme ça lui ? » Demandai-je
« J'en sais rien, c'est probablement rien un rictus surement » Répondit Tof
Il est vrai que je pensai aussi à un rictus involontaire mais rien que de le voir sourire me donnait des envies de meurtre. Après notre repas nous regagnions l'hôtel où nous étions pour pouvoir dormir et rentrer chez nous le lendemain mais à l'accueil, je vis une personne qui m'était familière. C'était Yves, le militaire qui nous a aidés après notre combat face à Omega. Il s'approcha de nous:
« Bonsoir » Dit-il
« Bonsoir » Répondis-je
« J'ai vu comment ça s'est terminé. Je suis désolé »
« Pfff qu'est ce qu'on peut y changer ? Faire appel reviendrait au même » Dis-je
« J'ai un truc à vous apprendre les jeunes » Me dit Yves
« Quoi donc ? » Demandai-je
« Vous vous souvenez du carnet que vous m'aviez remis après votre fuite du Bunker ? »
« Oui je m'en souviens »
« Il y a 1 Heure, une de mes connaissances qui travaille au dépôt des preuves m'a appelé. Le carnet n'était plus dans les preuves et dans la liste d'entrée des preuves qui a été déposée le 21 Mai 2009, il n'apparaissait pas. Le carnet s'est volatilisé »
« Quoi ? Comment ça se fait ? » Demandai-je furieux
« J'en sais rien mais vous devriez aller parler à mon collègue, tenez voilà l'adresse du dépôt »
« Merci Yves »
« C'est normal, moi non plus je ne veux pas que ce crime reste impuni. Allez à plus les jeunes »
« Au revoir » Répondit Cécile
Notre nuit de sommeil fut écourtée par une longue conversation que l'on eut tous les 3 et en y réfléchissant, c'est vrai que ce carnet n'a pas été présenté au Juge. Le lendemain, nous prîmes le bus et après 25 minutes de trajet nous étions devant le bâtiment où les preuves étaient stockées. Nous avancions en quêtes de réponses.
Un bruit sourd se fit entendre et un climat chaotique s'installait dans cette pièce du tribunal de Paris. Qui était non coupable ? La société de pharmacologie qui pour moi est la responsable de l'apparition des bouffeurs qui ont réduits nos vies à néant. Entendre ce verdict assassin était au dessus de mes forces. Je criai à travers la salle:
« Comment ça non coupable ? Ils ont détruits nos vies avec leurs expérimentations et tout ce que vous trouvez à dire c'est ça ? »
Je me dirigeai avec une haine sans pareille vers les 2 accusés qui étaient le Directeur et le Chef de Projet de cette compagnie. Deux policiers se mirent en travers de mon chemin et tentaient de me retenir mais j'étais tellement furieux que je parvins à les repousser mais finalement à 4, ils parvinrent à me stopper. Pendant ce procès, il y avait Tof, Cécile et moi parmi les rescapés. Les autres préféraient essayer de tirer un trait sur cette tragédie. Je sortis de la salle d'audience avec mes 2 amis complètement déboussolés et abattus par le verdict final. Une fois dehors, nous fûmes accueillis par des dizaines de flashs d'appareils photos. Cette affaire avait suscité un abattage médiatique énorme et des tas de journalistes étaient présents. Nous passâmes au travers de cette masse compacte sans dire un mot et poursuivîmes notre chemin jusqu'aux terrains verts situés non loin du Palais de Justice. Nous nous assîmes et Tof commença à parler:
« Comment ? Comment ont-ils pu les déclarer innocents ? »
« J'en sais rien mais avec toutes les preuves qu'ils avaient ils ne pouvaient dire non coupables »
Cécile qui avait des notions de droits était, elle aussi, prostrée par cette décision. Nous étions restés plusieurs heures dans ce coin de verdure mais pour ne pas se laisser aller, nous allions manger un morceau dans un petit restaurant. Il était 20H00 en ce 29 Septembre 2010 et là où nous dînions, il y avait une TV et le Journal débuta. Évidemment notre histoire faisait la Une comme depuis plus d'un an. Je ne supportais pas ces images et me tournai pour continuer de manger quand Cécile prit une étrange expression faciale:
« Qu'est ce qu'il y a ? » Demanda Tof qui avait vu ce changement
« Regardez » Répondit-elle simplement
Je me tournai vers la TV et vit où elle voulait en venir. Sur la vidéo du verdict, le Sous-Directeur affichait un sourire triomphant avant même le rendu final du juge.
« Pourquoi il sourit comme ça lui ? » Demandai-je
« J'en sais rien, c'est probablement rien un rictus surement » Répondit Tof
Il est vrai que je pensai aussi à un rictus involontaire mais rien que de le voir sourire me donnait des envies de meurtre. Après notre repas nous regagnions l'hôtel où nous étions pour pouvoir dormir et rentrer chez nous le lendemain mais à l'accueil, je vis une personne qui m'était familière. C'était Yves, le militaire qui nous a aidés après notre combat face à Omega. Il s'approcha de nous:
« Bonsoir » Dit-il
« Bonsoir » Répondis-je
« J'ai vu comment ça s'est terminé. Je suis désolé »
« Pfff qu'est ce qu'on peut y changer ? Faire appel reviendrait au même » Dis-je
« J'ai un truc à vous apprendre les jeunes » Me dit Yves
« Quoi donc ? » Demandai-je
« Vous vous souvenez du carnet que vous m'aviez remis après votre fuite du Bunker ? »
« Oui je m'en souviens »
« Il y a 1 Heure, une de mes connaissances qui travaille au dépôt des preuves m'a appelé. Le carnet n'était plus dans les preuves et dans la liste d'entrée des preuves qui a été déposée le 21 Mai 2009, il n'apparaissait pas. Le carnet s'est volatilisé »
« Quoi ? Comment ça se fait ? » Demandai-je furieux
« J'en sais rien mais vous devriez aller parler à mon collègue, tenez voilà l'adresse du dépôt »
« Merci Yves »
« C'est normal, moi non plus je ne veux pas que ce crime reste impuni. Allez à plus les jeunes »
« Au revoir » Répondit Cécile
Notre nuit de sommeil fut écourtée par une longue conversation que l'on eut tous les 3 et en y réfléchissant, c'est vrai que ce carnet n'a pas été présenté au Juge. Le lendemain, nous prîmes le bus et après 25 minutes de trajet nous étions devant le bâtiment où les preuves étaient stockées. Nous avancions en quêtes de réponses.
Commentaires
- Boa313
15/09/2009 à 21:31:10
La suite... J'ai commencé, je peu pas m'arrêter la. C'est passionant.
- Pseudo supprimé
15/09/2009 à 19:35:16
sweet
- Nem
15/09/2009 à 13:17:39
Encore une horreur? Dites moi que les zombies ne reviendront pas sinon scenario surfait spotted.
- youmie51
15/09/2009 à 10:58:54
sweet
- sebb73
15/09/2009 à 01:23:01
C'est donc le début de la grande suite de Zone Contaminée