Note de la fic :
Publié le 07/10/2017 à 03:11:21 par 5am
4 années sont passées depuis que je t’ai conté mon histoire.
Je ne suis plus un enfant. Je suis quelqu’un d’autre aujourd’hui. Je serai quelqu’un d’autre demain.
Prends le temps d’y réfléchir. Arrête de me lire, ne serait-ce que quelques secondes, et contemple. Contemple. Toi qui m’as lu. Toi qui me liras. Toi qui est mon confident. Celui à qui j’ose montrer mes sentiments sous leurs formes la plus brut. Tu es pourtant invisible. Je ne te connais pas. Je ne sais pas qui tu es. Je sais juste que tu es là. Et peu m’importe si tu aimes ce que j’écris. Peu m’importe si tu me trouves risible. Peu m’importe ton accord ou ton désaccord. Je m’ouvre à toi. Tu me vois dans toute mon authenticité. Tu es fasses à la réalité même.
Tu me vois à des périodes données de mon existence. Tu vois mon esprit changer. Tu me connais peut-être mieux que mes propres parents. Pourtant tu ne m’as jamais vu. Tu ne sais pas quel est mon âge. Tu ne sais pas quel est mon nom. Si tu n’as pas lu le dernier texte que j’ai écrit, tu ne connais peut-être même pas mon sexe. Tout ce que tu as, c’est ce pseudonyme ridicule. « 5 heures du matin ». Tu peux m’appeler comme ça si tu veux. C’est un peu long, je te l’accorde. Sam, si tu veux faire plus court. Il se fait un peu vieux maintenant. Il n’est pas si vide de sens, malgré tout. Il me représente assez bien. C’est aussi une heure ou les sentiments me viennent. Une heure pour l’écriture en somme. Je peux être l’homme de la photo. C’est à toi de décider.
Je ne suis plus un enfant. Je suis quelqu’un d’autre aujourd’hui. Je serai quelqu’un d’autre demain.
Prends le temps d’y réfléchir. Arrête de me lire, ne serait-ce que quelques secondes, et contemple. Contemple. Toi qui m’as lu. Toi qui me liras. Toi qui est mon confident. Celui à qui j’ose montrer mes sentiments sous leurs formes la plus brut. Tu es pourtant invisible. Je ne te connais pas. Je ne sais pas qui tu es. Je sais juste que tu es là. Et peu m’importe si tu aimes ce que j’écris. Peu m’importe si tu me trouves risible. Peu m’importe ton accord ou ton désaccord. Je m’ouvre à toi. Tu me vois dans toute mon authenticité. Tu es fasses à la réalité même.
Tu me vois à des périodes données de mon existence. Tu vois mon esprit changer. Tu me connais peut-être mieux que mes propres parents. Pourtant tu ne m’as jamais vu. Tu ne sais pas quel est mon âge. Tu ne sais pas quel est mon nom. Si tu n’as pas lu le dernier texte que j’ai écrit, tu ne connais peut-être même pas mon sexe. Tout ce que tu as, c’est ce pseudonyme ridicule. « 5 heures du matin ». Tu peux m’appeler comme ça si tu veux. C’est un peu long, je te l’accorde. Sam, si tu veux faire plus court. Il se fait un peu vieux maintenant. Il n’est pas si vide de sens, malgré tout. Il me représente assez bien. C’est aussi une heure ou les sentiments me viennent. Une heure pour l’écriture en somme. Je peux être l’homme de la photo. C’est à toi de décider.