Note de la fic :
Publié le 04/09/2016 à 20:12:52 par LePatriarche
La 2)
Au vu du danger, vous préférez plutôt battre en retraite. Et puis après tout, c'est pas comme si Clark Kent avait battu Lex Luthor au bout d'un jour, non non non
- On se reverra ma grande.
- Bah malheureusement ouais hinhin.. Mais je ne veux pas que les autres sachent qu'on s'est embrouillés. Ce serait trop de bruit pour rien. Dire que Dimitri voulait que je sorte avec toi pff
- Sérieux ?!
- Oui. Mais jamais de la vie.
Vous découvrez ainsi un allié de taille en la personne de Dimitri. Souvent délaissé ou moqué, il reste quand même le boss des soirées, malgré le fait qu'il soit bisexuel, vous lui donnez maintenant le titre ""d'ami"". Personne ne vous a jamais aidé pour conquérir une femelle. Même si bon, là en l'occurence c'est une salope la Charlène, vous saurez vous souvenir de ce petit geste de Dimitri
Vous rentrez donc chez vous, et sans attendre plus longtemps, vous mettez un col roulé. Seule manière de cacher ce foutu suçon. Vous partez ainsi sur JVC pour un faire topic :"Détruisez mon ex svp" où les montages commencent à y aller à foison. Que ce soit par RagnarLothbroke, Platooon, Enis-Karra ou Desly, chacun rajoute sa pierre à l'édifice THE montage est alors là. On y voit Charlène, à genoux, les yeux fermés, la langue sortie comme pour chopper les dernières gouttelettes d'un puits d'Afrique, avec du liquide séminale plein la tronche, et deux pénis qui lui font face. L'un sur son front, et l'autre... Il ne vaut mieux pas savoir
Vous partez imprimer ça rapidos, alors que votre père et votre mère font une sieste dans leur chambre ( une sieste, ou plutôt, au vu du bruit, on dirait qu'ils sont en marges de vous faire un nouveau petit frère... ). MAIS BREF vous n'attendez pas plus longtemps. Et après un stalkage en règle sur facebook, vous dénichez l'adresse de cette décadente aux allures de Peggy la cochonne, pour envoyer cette fucking photo retouchée par lettre recommandée ( plus l'envoi sera rapide, plus vite la vengeance arrivera )
Longue journée, vous préférez également vous reposer... Oh et puis merde, vous sortez vos cours pour bosser jusqu'à 21h, vos yeux piquent de fatigue, vos bras n'arrivent même plus à se relever, et votre tête ne retient plus rien. Tous les noms d'enzymes, de protéines et d'hormones se chevauchent dans votre cerveau, et puis comme ça, vous avez réussi à rattraper à tout petit peu votre retard sur Marion
Marion d'ailleurs. Vous ne savez toujours pas quand lui donner cette bague...
...
Le lendemain, vous allez en cours. La journée se passe normalement : Cours le matin en amphi avec Marion, déjeuner avec Dimitri et son groupe pendant que Marion mange avec une de ses copines ( d'ailleurs le déjeuner a été assez froid, car Luc était absent, traumatisé par la soirée de samedi, tandis que Dim' et Jessica sont restés assez réservées, notamment avec la présence de Thibault, qui n'a pas arrêté de parler de la fille qu'il convoite depuis samedi soir ) L'après midi, c'est révision à la BU avec Marion. En 3 heures, vous avez hésité environ 25 fois à lui filer cette foutue bague, mais le moment n'était pas opportun.
Le soir venue, vous rentrez à la maison. Fatigué, las, comme d'habitude. Exceptionnellement, Marion vous a accompagné jusqu'à votre porte ( se tapant au passage 1 heure de trajet rien que pour rester à vos cotés ). Vous l'a remerciez chaleureusement d'un long et fougueux baiser d'au moins 5 minutes, durant lequel vous palpez ses lèvres comme un gentleman, où vous caressez ses hanches de manière calme et réconfortante, tout en pensant à CE FOUTU COURRIER recommandée qui n'est toujours pas arrivé à destination
- Merci d'être venue jusqu'ici, tu devais pas te prendre autant la tête...
- Si ça te fait plaisir, alors ça me le fait aussi ^^ Je pars, on s'appelle tout à l'heure ?
- Oui tkt. Tu me dis si t'es bien rentré... ( c'est le moment pour la bague MAINTENANT MAINTENANT MAINTENANT ) Et au fait...
- Oui ?
- Je voulais te... Enfin je sais pas comment dire
- Q'est-ce qui te tracasse ? Je l'ai vu toute la journée, t'étais pas dans ton assiette... Tu peux tout me dire tu sais
-... Oui... Ouf c'est dur à dire... Et peut-être précipité. Mais... Je voulais... te... Te donner...
Tremblotant et excité, vous comptez faire votre demande. Mais soudain, des bruits émanent de votre maison. Des bruits d'amusements. De légèreté. De rires forcés. Une présence féminine agite votre logis. Sans aucun doute... Étrange, malgré la présence de votre père bruyant, de votre mère aux fourneaux, de votre frère sur sa console ou sur une série, ou encore de votre soeur au téléphone, ça n'est jamais comme ça. Quelque chose de louche se trame chez vous.
- Euh y'a de la famille chez moi en fait, je te dirais ça demain
- Mais
- Désolé en fait hein, et merci d'être venue !
- Pourquoi t'es si
- A demain !
Vous lui avez presque foutue un vent à la pauvre. Les remords vous rongent, une petite culpabilité. Mais le pire reste à venir. En effet, vous entrez dans le salon, et vous voyez une vision d'horreur : Charlène, présente, avec toute votre famille, en train de déconner, de rire, de s'amuser, le tout devant la télé. Cette connasse s'est tapé l'incruste. On dirait bien que vous n'en aurez jamais finie avec cette chiennasse, et vu son sourire de top model, cela vous confirme que cette putain de lettre n'est pas encore arrivé
- Ohhhh Pierrooooooot mon chou viens lààà <3 S'étonne Charlène de joie, tout en venant vous prendre dans ses bras, sous votre stupéfaction et votre immobilité la plus totale.
- Tu ne m'avais pas dis que tu avais une meilleure amie Pierre ! Charlène est une fille adorable, vraiment, rajoute votre mère, déjà conquise par les yeux de la belle
- Trop mignonne en plus ! Rajoutes votre petit frère, avec son regard de petit pervers, à n'en pas douter qu'il bande sur elle
- Alors toi mon con tu fais pas les choses à moitié. Si tu m'avais dis que la Claudia Schiffer du coin était pote avec toi
La salope s'est mis dans la poche votre famille en quelques heures. La salope rend son départ de votre vie encore plus difficile qu'avant. La salope a l'air bien trop heureuse pour une salope. Vous réfléchissez à pourquoi vous nourrissez autant de haine contre elle : Elle a rajouté votre affection et votre amouuuur pour rester "libre et indépendante", histoire d'avoir une relation bien décadente où le couple n'a plus aucune signification et plus aucun engagement.
Mais pire, son sourire, ses contacts avec vous... Tout est faux, et il n'y a que vous pour le voir que c'est une hypocrite sans nom. Et le pire du pire, c'est qu'elle affiche fièrement le bracelet que vous lui avez offert, comme pour vous narguer une fois de plus. C'en est trop pour vous
1) La corrompre avec vos 200 balles restants pour être débarrassée
2) Jouer le jeu de l'hypocrisie, et en profiter pour balancer quelques crasses sur sa vie de chaudasse
3) S'énerver comme un psychopathe et lui foutre un bon coup de pied au cul pour la dégager
4) Lui faire une déclaration d'amour devant toute votre famille pour la mettre encore plus mal à l'aise
5) L'emmener dans votre chambre, et lui faire des menaces de mort digne de Scarface. Cet affront était de trop
Au vu du danger, vous préférez plutôt battre en retraite. Et puis après tout, c'est pas comme si Clark Kent avait battu Lex Luthor au bout d'un jour, non non non
- On se reverra ma grande.
- Bah malheureusement ouais hinhin.. Mais je ne veux pas que les autres sachent qu'on s'est embrouillés. Ce serait trop de bruit pour rien. Dire que Dimitri voulait que je sorte avec toi pff
- Sérieux ?!
- Oui. Mais jamais de la vie.
Vous découvrez ainsi un allié de taille en la personne de Dimitri. Souvent délaissé ou moqué, il reste quand même le boss des soirées, malgré le fait qu'il soit bisexuel, vous lui donnez maintenant le titre ""d'ami"". Personne ne vous a jamais aidé pour conquérir une femelle. Même si bon, là en l'occurence c'est une salope la Charlène, vous saurez vous souvenir de ce petit geste de Dimitri
Vous rentrez donc chez vous, et sans attendre plus longtemps, vous mettez un col roulé. Seule manière de cacher ce foutu suçon. Vous partez ainsi sur JVC pour un faire topic :"Détruisez mon ex svp" où les montages commencent à y aller à foison. Que ce soit par RagnarLothbroke, Platooon, Enis-Karra ou Desly, chacun rajoute sa pierre à l'édifice THE montage est alors là. On y voit Charlène, à genoux, les yeux fermés, la langue sortie comme pour chopper les dernières gouttelettes d'un puits d'Afrique, avec du liquide séminale plein la tronche, et deux pénis qui lui font face. L'un sur son front, et l'autre... Il ne vaut mieux pas savoir
Vous partez imprimer ça rapidos, alors que votre père et votre mère font une sieste dans leur chambre ( une sieste, ou plutôt, au vu du bruit, on dirait qu'ils sont en marges de vous faire un nouveau petit frère... ). MAIS BREF vous n'attendez pas plus longtemps. Et après un stalkage en règle sur facebook, vous dénichez l'adresse de cette décadente aux allures de Peggy la cochonne, pour envoyer cette fucking photo retouchée par lettre recommandée ( plus l'envoi sera rapide, plus vite la vengeance arrivera )
Longue journée, vous préférez également vous reposer... Oh et puis merde, vous sortez vos cours pour bosser jusqu'à 21h, vos yeux piquent de fatigue, vos bras n'arrivent même plus à se relever, et votre tête ne retient plus rien. Tous les noms d'enzymes, de protéines et d'hormones se chevauchent dans votre cerveau, et puis comme ça, vous avez réussi à rattraper à tout petit peu votre retard sur Marion
Marion d'ailleurs. Vous ne savez toujours pas quand lui donner cette bague...
...
Le lendemain, vous allez en cours. La journée se passe normalement : Cours le matin en amphi avec Marion, déjeuner avec Dimitri et son groupe pendant que Marion mange avec une de ses copines ( d'ailleurs le déjeuner a été assez froid, car Luc était absent, traumatisé par la soirée de samedi, tandis que Dim' et Jessica sont restés assez réservées, notamment avec la présence de Thibault, qui n'a pas arrêté de parler de la fille qu'il convoite depuis samedi soir ) L'après midi, c'est révision à la BU avec Marion. En 3 heures, vous avez hésité environ 25 fois à lui filer cette foutue bague, mais le moment n'était pas opportun.
Le soir venue, vous rentrez à la maison. Fatigué, las, comme d'habitude. Exceptionnellement, Marion vous a accompagné jusqu'à votre porte ( se tapant au passage 1 heure de trajet rien que pour rester à vos cotés ). Vous l'a remerciez chaleureusement d'un long et fougueux baiser d'au moins 5 minutes, durant lequel vous palpez ses lèvres comme un gentleman, où vous caressez ses hanches de manière calme et réconfortante, tout en pensant à CE FOUTU COURRIER recommandée qui n'est toujours pas arrivé à destination
- Merci d'être venue jusqu'ici, tu devais pas te prendre autant la tête...
- Si ça te fait plaisir, alors ça me le fait aussi ^^ Je pars, on s'appelle tout à l'heure ?
- Oui tkt. Tu me dis si t'es bien rentré... ( c'est le moment pour la bague MAINTENANT MAINTENANT MAINTENANT ) Et au fait...
- Oui ?
- Je voulais te... Enfin je sais pas comment dire
- Q'est-ce qui te tracasse ? Je l'ai vu toute la journée, t'étais pas dans ton assiette... Tu peux tout me dire tu sais
-... Oui... Ouf c'est dur à dire... Et peut-être précipité. Mais... Je voulais... te... Te donner...
Tremblotant et excité, vous comptez faire votre demande. Mais soudain, des bruits émanent de votre maison. Des bruits d'amusements. De légèreté. De rires forcés. Une présence féminine agite votre logis. Sans aucun doute... Étrange, malgré la présence de votre père bruyant, de votre mère aux fourneaux, de votre frère sur sa console ou sur une série, ou encore de votre soeur au téléphone, ça n'est jamais comme ça. Quelque chose de louche se trame chez vous.
- Euh y'a de la famille chez moi en fait, je te dirais ça demain
- Mais
- Désolé en fait hein, et merci d'être venue !
- Pourquoi t'es si
- A demain !
Vous lui avez presque foutue un vent à la pauvre. Les remords vous rongent, une petite culpabilité. Mais le pire reste à venir. En effet, vous entrez dans le salon, et vous voyez une vision d'horreur : Charlène, présente, avec toute votre famille, en train de déconner, de rire, de s'amuser, le tout devant la télé. Cette connasse s'est tapé l'incruste. On dirait bien que vous n'en aurez jamais finie avec cette chiennasse, et vu son sourire de top model, cela vous confirme que cette putain de lettre n'est pas encore arrivé
- Ohhhh Pierrooooooot mon chou viens lààà <3 S'étonne Charlène de joie, tout en venant vous prendre dans ses bras, sous votre stupéfaction et votre immobilité la plus totale.
- Tu ne m'avais pas dis que tu avais une meilleure amie Pierre ! Charlène est une fille adorable, vraiment, rajoute votre mère, déjà conquise par les yeux de la belle
- Trop mignonne en plus ! Rajoutes votre petit frère, avec son regard de petit pervers, à n'en pas douter qu'il bande sur elle
- Alors toi mon con tu fais pas les choses à moitié. Si tu m'avais dis que la Claudia Schiffer du coin était pote avec toi
La salope s'est mis dans la poche votre famille en quelques heures. La salope rend son départ de votre vie encore plus difficile qu'avant. La salope a l'air bien trop heureuse pour une salope. Vous réfléchissez à pourquoi vous nourrissez autant de haine contre elle : Elle a rajouté votre affection et votre amouuuur pour rester "libre et indépendante", histoire d'avoir une relation bien décadente où le couple n'a plus aucune signification et plus aucun engagement.
Mais pire, son sourire, ses contacts avec vous... Tout est faux, et il n'y a que vous pour le voir que c'est une hypocrite sans nom. Et le pire du pire, c'est qu'elle affiche fièrement le bracelet que vous lui avez offert, comme pour vous narguer une fois de plus. C'en est trop pour vous
1) La corrompre avec vos 200 balles restants pour être débarrassée
2) Jouer le jeu de l'hypocrisie, et en profiter pour balancer quelques crasses sur sa vie de chaudasse
3) S'énerver comme un psychopathe et lui foutre un bon coup de pied au cul pour la dégager
4) Lui faire une déclaration d'amour devant toute votre famille pour la mettre encore plus mal à l'aise
5) L'emmener dans votre chambre, et lui faire des menaces de mort digne de Scarface. Cet affront était de trop