Note de la fic :
Quand VOUS êtes un lycéen bizarre
Par : LePatriarche
Genre : Nawak, Fantastique
Statut : Terminée
Chapitre 50
Publié le 23/01/2017 à 02:21:55 par LePatriarche
La 3)
Bon, après une solide réflexion, vous arrivez à la conclusion suivante : Après avoir parler avec le jeune homme fumeur potentiellement dangereux, vous avez modifié l'avenir, et donc ce qui se serait passée, à savoir la mort du gamin. En plus, en le voyant courir comme une puce avec un pétard dans le cul, vous savez qu'il aura assez d'avance pour les semer, ainsi il est sauvé, donc vous avez bien agi.
Bref. Il est bientôt 7h40, du coup Anatole devrait bientôt faire son apparition avec ses deux potes. Vous savez qu'ils se posteront juste devant la grande entrée du lycée, près du coin fumeur des profs. Donc, vous vous cachez derrière un muret dans le trottoir d'en face à un angle de 45° de leur futur position, histoire de passer incognito.
Seuls les propriétaires des maisons qui sont derrière vous peuvent vous voir, et comme c'est des p'tits vieux, et comme il n'est que 7h30 et quelques, vous avez rien à craindre.
Après quelques minutes où vous avez atteint le niveau 86 de Candy Crush ( ouais à force de recevoir des notifs d'enculés vous avez fini par y jouer ), vous les voyez venir à votre droite, c'est à dire à l'ouest du lycée. Directement après, vous balancez un marron telle une grenade avant de vous recacher furtivement derrière le petit muret, vous avez un air de soldat dans modern warfare.
- Ahiiiiiiiie putain !!!!! S'écrie l'un des deux mecs.
- Y'a quoi ?
- Un marron à la con là...
- C'est juste tombé de l'arbre en fait, constate Anatole de manière logique alors que c'est pas du tout le cas.
Son cri de rage signifie que vous venez de faire mouche. En même temps, quand vous étiez petit, votre père vous a appris à tirer avec des pierres dans des cibles, plusieurs heures d'affilés, un vrai calvaire, mais au final, c'est plutôt utile, vu que votre taux de précision est excellent.
Aller vous repartez à l'assaut, cette fois-ci avec deux pierres et un marron. Hop ! C'est jeté, votre poignet a été tendu, votre bras bien proportionné tac tac, les trois cibles sont touchés ( alors qu'elles étaient en mouvement putain la classe )
Allongé sur le sol, presque en position foetale, vous jetez un p'tit coup d'oeil pour voir avec précision leur actuelle position, une fois ceci fait, vous vous apprêtez à lancer un pavé, quand...
- T'es sérieux là ?!
- Euh... Karine tu fous quoi ici ?
- J'ai pas de comptes à te rendre.
- Alors pourquoi tu me parles ?
- Mais quel connard celui-là...
- Fais gaffe j'ai des marrons...
- C'est quoi ces menaces de gosse mdrr
- Tu viens de dire "mdrr" IRL, c'est toi t'es sérieuse là ?
- Haha t'es con. Alors tu vises les ploucs de notre classe ?
- Ouaip... On passe le temps comme on peut.
- ... J'peux essayer ? ... Bah me regarde pas comme ça, on fait de rien mal on s'amuse c'est tout ?
- Hitler disait pareil, tu sais comment ça s'est fini...
- C'est ton père ou quoi, tout le temps tu parles de loin tu rends ouf putain.
Finalement vous lui passer un marron, c'est bizarre d'avoir une personne avec qui partager votre activité "bizarre". Y'en a leur premier moment cool avec une fille c'est un rencard, une discussion, et bah pour vous, c'est de victimiser un groupe de ksos... La vie c'est comme parier sur un match de la Juventus, y'a toujours une couille quelque part.
Etrangement, elle se place accroupi près de vous, caché derrière le petit muret, vous êtes même collé à elle. Son premier lancer foire, le deuxième aussi, ça passe tout près... Vous discutez avec elle brièvement et vous découvrez derrière une carapace emotionnel une fille qui aime s'amuser d'une manière différente des autres gens, un peu comme vous.
...
Malheureusement, les trois cons vous ont repéré, vu la provenance des tirs depuis tout à l'heure... Et là, ils viennent de vous débusquer.
- Matez ça le couple des chelous.
- Qui se ressemble s'assemble comme on dit.
- Pas besoin de déguisement pour vous les clowns.
- Sinon ça vous fait marrer de faire les cons avec nous ? On peut jouer avec vous nous aussi hein...
Vous et Karine êtes pris au piège... A votre gauche il y a Anatole et un de ses potes, qui s'appelle d'ailleurs Mike, et de l'autre coté, celui un peu plus grand, vous ignorez son nom et il bloque le passage. Derrière vous, il y a une baraque, habité ou pas vous ne savez pas... De plus, les trois tiennent dans leurs mains un ensemble de cailloux, de marrons, de colles, de gommes... Les projectiles types pour faire mal... Tout ça à cause de la maladresse de Karine qui n'a pas su viser, d'ailleurs elle reste immobile, toujours accroupi, son coude sur vos genoux au sol...
1) Sauter le petit muret et sauter également la grille du lycée encore fermée.
2) Embrasser Karine comme un fou et remonter le temps comme vous l'avez si bien fait la dernière fois.
3) Remonter le temps de 5 minutes, faire le tour du paté de maison et voir d'où Karine est venue.
4) Vous lever et intercepter chacun de leurs cailloux telle Sangohan dans DBZ, histoire d'impressionner et d'éviter la castagne.
5) Se retourner et courir et monter sur le toit de la baraque en mode Assassin's Creed.
Bon, après une solide réflexion, vous arrivez à la conclusion suivante : Après avoir parler avec le jeune homme fumeur potentiellement dangereux, vous avez modifié l'avenir, et donc ce qui se serait passée, à savoir la mort du gamin. En plus, en le voyant courir comme une puce avec un pétard dans le cul, vous savez qu'il aura assez d'avance pour les semer, ainsi il est sauvé, donc vous avez bien agi.
Bref. Il est bientôt 7h40, du coup Anatole devrait bientôt faire son apparition avec ses deux potes. Vous savez qu'ils se posteront juste devant la grande entrée du lycée, près du coin fumeur des profs. Donc, vous vous cachez derrière un muret dans le trottoir d'en face à un angle de 45° de leur futur position, histoire de passer incognito.
Seuls les propriétaires des maisons qui sont derrière vous peuvent vous voir, et comme c'est des p'tits vieux, et comme il n'est que 7h30 et quelques, vous avez rien à craindre.
Après quelques minutes où vous avez atteint le niveau 86 de Candy Crush ( ouais à force de recevoir des notifs d'enculés vous avez fini par y jouer ), vous les voyez venir à votre droite, c'est à dire à l'ouest du lycée. Directement après, vous balancez un marron telle une grenade avant de vous recacher furtivement derrière le petit muret, vous avez un air de soldat dans modern warfare.
- Ahiiiiiiiie putain !!!!! S'écrie l'un des deux mecs.
- Y'a quoi ?
- Un marron à la con là...
- C'est juste tombé de l'arbre en fait, constate Anatole de manière logique alors que c'est pas du tout le cas.
Son cri de rage signifie que vous venez de faire mouche. En même temps, quand vous étiez petit, votre père vous a appris à tirer avec des pierres dans des cibles, plusieurs heures d'affilés, un vrai calvaire, mais au final, c'est plutôt utile, vu que votre taux de précision est excellent.
Aller vous repartez à l'assaut, cette fois-ci avec deux pierres et un marron. Hop ! C'est jeté, votre poignet a été tendu, votre bras bien proportionné tac tac, les trois cibles sont touchés ( alors qu'elles étaient en mouvement putain la classe )
Allongé sur le sol, presque en position foetale, vous jetez un p'tit coup d'oeil pour voir avec précision leur actuelle position, une fois ceci fait, vous vous apprêtez à lancer un pavé, quand...
- T'es sérieux là ?!
- Euh... Karine tu fous quoi ici ?
- J'ai pas de comptes à te rendre.
- Alors pourquoi tu me parles ?
- Mais quel connard celui-là...
- Fais gaffe j'ai des marrons...
- C'est quoi ces menaces de gosse mdrr
- Tu viens de dire "mdrr" IRL, c'est toi t'es sérieuse là ?
- Haha t'es con. Alors tu vises les ploucs de notre classe ?
- Ouaip... On passe le temps comme on peut.
- ... J'peux essayer ? ... Bah me regarde pas comme ça, on fait de rien mal on s'amuse c'est tout ?
- Hitler disait pareil, tu sais comment ça s'est fini...
- C'est ton père ou quoi, tout le temps tu parles de loin tu rends ouf putain.
Finalement vous lui passer un marron, c'est bizarre d'avoir une personne avec qui partager votre activité "bizarre". Y'en a leur premier moment cool avec une fille c'est un rencard, une discussion, et bah pour vous, c'est de victimiser un groupe de ksos... La vie c'est comme parier sur un match de la Juventus, y'a toujours une couille quelque part.
Etrangement, elle se place accroupi près de vous, caché derrière le petit muret, vous êtes même collé à elle. Son premier lancer foire, le deuxième aussi, ça passe tout près... Vous discutez avec elle brièvement et vous découvrez derrière une carapace emotionnel une fille qui aime s'amuser d'une manière différente des autres gens, un peu comme vous.
...
Malheureusement, les trois cons vous ont repéré, vu la provenance des tirs depuis tout à l'heure... Et là, ils viennent de vous débusquer.
- Matez ça le couple des chelous.
- Qui se ressemble s'assemble comme on dit.
- Pas besoin de déguisement pour vous les clowns.
- Sinon ça vous fait marrer de faire les cons avec nous ? On peut jouer avec vous nous aussi hein...
Vous et Karine êtes pris au piège... A votre gauche il y a Anatole et un de ses potes, qui s'appelle d'ailleurs Mike, et de l'autre coté, celui un peu plus grand, vous ignorez son nom et il bloque le passage. Derrière vous, il y a une baraque, habité ou pas vous ne savez pas... De plus, les trois tiennent dans leurs mains un ensemble de cailloux, de marrons, de colles, de gommes... Les projectiles types pour faire mal... Tout ça à cause de la maladresse de Karine qui n'a pas su viser, d'ailleurs elle reste immobile, toujours accroupi, son coude sur vos genoux au sol...
1) Sauter le petit muret et sauter également la grille du lycée encore fermée.
2) Embrasser Karine comme un fou et remonter le temps comme vous l'avez si bien fait la dernière fois.
3) Remonter le temps de 5 minutes, faire le tour du paté de maison et voir d'où Karine est venue.
4) Vous lever et intercepter chacun de leurs cailloux telle Sangohan dans DBZ, histoire d'impressionner et d'éviter la castagne.
5) Se retourner et courir et monter sur le toit de la baraque en mode Assassin's Creed.