Note de la fic :
Ma coloc', cette folle
Par : LePatriarche
Genre : Sentimental, Sayks
Statut : C'est compliqué
Chapitre 11
Publié le 01/08/2014 à 02:46:18 par LePatriarche
Bon, je vais essayer de jouer le jeu sans pour autant lui faciliter les choses. Je saisis la pizza pour l'amener jusqu'à ces délicieuses lèvres, puis je la lui colle sous le nez, avant d'en manger un bout, entrainant sa stupeur :
- Oh ! Tu veux jouer à ça ?! Me lança t-elle en riant. Allez je suis sérieuse, j'suis trop fatiguée pour bouger, j'suis tellement bien allongée là, il en faut juste encore un peu pour me combler...
- Tu veux que je te borde dans ton lit en te chantant une berçeuse avec le bonus "bisou sur le front" ?
- Ouiiiiiiiii mais avant ça aide moi à manger steuplé tu sera un gentil garçon.
- Je suis déjà un gentil garçon.
- Oh arrête de jouer sur les mots.
Après l'avoir saoulé de manière très sympathique, elle mache le morceau de pizza hyper lentement, et moi je suis là, comme un con pour lui amener la nourriture. Vu son regard, elle parait assez heureuse, malgré sa fatigue ou son mal de crâne.
En amenant la part de pizza, j'achemine un peu de sauce tomate sur le coin de sa lèvre, elle m'engueule gentiment tout en gardant son petit sourire de fille charmante. Mais ma manoeuvre était volontaire, pour une seule chose : la tester.
- Attend ! Comme tu ne veux pas bouger, je vais te la retirer moi-même, c'est juste de la sauce, lui dis-je en chuchotant, passant ma main sur sa douce joue, afin de retirer la sauce ketchup salutaire pour moi.
L'instant dura bien 10 secondes, j'aime faire durer le plaisir, et ainsi, j'amène finalement mon doigt imbibé lentement vers ma bouche de manière sensuelle ( digne d'un film romantique ), mais ça va elle a l'air cool, elle rigole même, sans même se montrer distante ou critique, ça montre son ouverture d'esprit pour le coup, même s'il arrive toujours ce moment où elle se vexe pour un rien et se recroqueville sur elle même.
Une fois sa part terminée, je m'en vais dans le salon, j'reviens lui passer une bouteille d'eau, je lui souhaite bonne nuit, à moi la télé, l'ordi et un peu de tranquillité spirituelle, mon esprit surchauffe constamment avec Sabrina.
Mais bizarrement, alors que je m'apprêtais à sortir de sa chambre, sa voix retentit doucement et timidement, un simple "Reste avec moi" se fit entendre. Après tout pourquoi pas, à part l'ordi, la télé ou la 360, y'a rien qui m'attend vraiment.
Nous commençâmes dès lors à parler de nous, elle insiste pour que je m'assois sur son lit, près d'elle, je ne manque pas de la taquiner sur ces intentions :
- Aujourd'hui j'suis juste assis sur ton lit, à ce rythme là demain j'y dormirais !
- Haha laisse moi rire
- Bah quoi ?
- C'est beaucoup trop tôt pour toi !
- Ne me sous-estime pas !
- Haha J'suis sûr que t'en a une toute petite !
Je restai un moment silencieux, c'est horriblement gênant d'entendre ça, surtout qu'elle n'a jamais vu Fidélité ( ), comment pourrait-elle le savoir ? Sur le coup, son intervention m'a vraiment surpris, j'sais plus quoi dire durant quelques secondes, mais j'arrive à tenir la baraque :
- Quoi ? Mais, attend que je te montre ça ! Lui dis d'un sérieux mais humoristique en faisant mine de défaire les boutons de ma braguette rapidement sous le coup de la colère.
- Arrête ! Au violeur ! Ria t-elle à gorge déployée. Allez range moi ça.
- Oh mais je te montre pas de soucis.
- Oh ! Tu veux jouer à ça ?! Me lança t-elle en riant. Allez je suis sérieuse, j'suis trop fatiguée pour bouger, j'suis tellement bien allongée là, il en faut juste encore un peu pour me combler...
- Tu veux que je te borde dans ton lit en te chantant une berçeuse avec le bonus "bisou sur le front" ?
- Ouiiiiiiiii mais avant ça aide moi à manger steuplé tu sera un gentil garçon.
- Je suis déjà un gentil garçon.
- Oh arrête de jouer sur les mots.
Après l'avoir saoulé de manière très sympathique, elle mache le morceau de pizza hyper lentement, et moi je suis là, comme un con pour lui amener la nourriture. Vu son regard, elle parait assez heureuse, malgré sa fatigue ou son mal de crâne.
En amenant la part de pizza, j'achemine un peu de sauce tomate sur le coin de sa lèvre, elle m'engueule gentiment tout en gardant son petit sourire de fille charmante. Mais ma manoeuvre était volontaire, pour une seule chose : la tester.
- Attend ! Comme tu ne veux pas bouger, je vais te la retirer moi-même, c'est juste de la sauce, lui dis-je en chuchotant, passant ma main sur sa douce joue, afin de retirer la sauce ketchup salutaire pour moi.
L'instant dura bien 10 secondes, j'aime faire durer le plaisir, et ainsi, j'amène finalement mon doigt imbibé lentement vers ma bouche de manière sensuelle ( digne d'un film romantique ), mais ça va elle a l'air cool, elle rigole même, sans même se montrer distante ou critique, ça montre son ouverture d'esprit pour le coup, même s'il arrive toujours ce moment où elle se vexe pour un rien et se recroqueville sur elle même.
Une fois sa part terminée, je m'en vais dans le salon, j'reviens lui passer une bouteille d'eau, je lui souhaite bonne nuit, à moi la télé, l'ordi et un peu de tranquillité spirituelle, mon esprit surchauffe constamment avec Sabrina.
Mais bizarrement, alors que je m'apprêtais à sortir de sa chambre, sa voix retentit doucement et timidement, un simple "Reste avec moi" se fit entendre. Après tout pourquoi pas, à part l'ordi, la télé ou la 360, y'a rien qui m'attend vraiment.
Nous commençâmes dès lors à parler de nous, elle insiste pour que je m'assois sur son lit, près d'elle, je ne manque pas de la taquiner sur ces intentions :
- Aujourd'hui j'suis juste assis sur ton lit, à ce rythme là demain j'y dormirais !
- Haha laisse moi rire
- Bah quoi ?
- C'est beaucoup trop tôt pour toi !
- Ne me sous-estime pas !
- Haha J'suis sûr que t'en a une toute petite !
Je restai un moment silencieux, c'est horriblement gênant d'entendre ça, surtout qu'elle n'a jamais vu Fidélité ( ), comment pourrait-elle le savoir ? Sur le coup, son intervention m'a vraiment surpris, j'sais plus quoi dire durant quelques secondes, mais j'arrive à tenir la baraque :
- Quoi ? Mais, attend que je te montre ça ! Lui dis d'un sérieux mais humoristique en faisant mine de défaire les boutons de ma braguette rapidement sous le coup de la colère.
- Arrête ! Au violeur ! Ria t-elle à gorge déployée. Allez range moi ça.
- Oh mais je te montre pas de soucis.