Note de la fic :
Quand VOUS êtes un lycéen capable de transposition
Par : Ben_Aordur
Genre : Science-Fiction
Statut : C'est compliqué
Chapitre 17 : Votre ami [2/?]
Publié le 02/11/2016 à 22:41:56 par Ben_Aordur
La 1)
TIME TO FIGHT
Ce n'est pas Henrietta qui vous vaincra ! Et vous le savez!
Vous n'avez pas le temps, vous courrez dans une direction aléatoire, de toute façon vous n'avez pas le choix, et vous faîtes quelque chose d'intelligent pour une fois...
Vous sortez votre téléphone portable et allumez la lampe torche, vous utilisez votre lampe torche pour transpercez l'ombre et la faites tourner autour de vous, vous voyez des ombres sortir de la lumière à toute vitesse à chaque fois, et vous voyez une sorte de petite salle, en hauteur, accessible via une échelle, permettant d'y monter, vous supposez que la lumière s'allume de là.
Vous tentez de courir vers là-bas mais quelque chose vous agrippe à la jambe, vous faisant tomber, vous lâchez votre téléphone qui tombe au sol, la lumière du téléphone éclaire la plafond..
Vous tentez de l'attraper mais celui-ci est frappé par quelque chose et envoyé valsé contre le mur, vous entendez le bruit d'un puissant fracas de verre.
Vous savez désormais que votre téléphone est foutu, mais vous arrivez encore à comprendre la location de la pièce que vous voulez rejoindre.
Vous frappez la chose qui vous retient de votre jambe, et celle-ci arrive à vous frapper, vous envoyant vous aussi valser, mais vous transposez avec elle, vous avez une coupure assez profonde au niveau du visage, mais cela ne vous stoppera pas, vous courrez au bout de la pièce où se trouve la salle, esquivant l'attaque de plusieurs monstres, jusqu'à ce que quelque chose d'autre arrive à vous frapper au niveau du visage, vous stoppant dans votre course, une deuxième coupure vient de toucher votre visage.
Vous ne comprenez pas ce qui vous attaque, le silence est présent, vous reprenez votre course effrénée quand vous sentez une présence devant vous, juste au niveau de l'échelle, un bruit de métal qui se déchire et... A TERRE !
Vous vous jetez au sol, évitant l'échelle qui venait d'être lancé en votre direction comme une vulgaire bouteille...
Bordel cette chose veut vraiment vous tuer !
Vous sentez la présence de ces choses mais... Quelle erreur, l'un d'entre eux à eu la stupide idée de vous attendre dans la salle, vous transposez avec lui dans la seconde et vous retrouvez dans cette petite salle.
Vous cherchez avec vos mains un peu partout jusqu'à sentir la boîte du compteur électrique, vous l'ouvrez d'un coup sec et...
Quelque chose vous transperce l'épaule...
Vous prenez sur vous, la douleur est intense, trop intense, vous arrivez à enclencher le disjoncteur, les lumières du hangar s'allume, plus rien ne vous transperce. Vous vous retournez, il n'y a rien, le hangar est vide, la lumière est étrangement pâle, d'un blanc pâle surnaturel.
Votre épaule vous fait souffrir, du sang coule de vos joues, votre jambe est elle aussi un peu griffée.
La chose qui vous attaqué n'était pas humaine, était-ce Henrietta? Était-ce la chose qui vous avez attaqué au lycée? Qui sait? L'auteur. Après tout l'important est que cette chose soit partie. Bon, votre téléphone est mort, vous êtes blessés, et la chose est partie, mais vous vous êtes battus, vous ne pouvez rien faire de mieux.
Vous êtes au milieu du hangar, vous tombez de fatigue, vous êtes blessés, au milieu d'un hangar, seul.
Mais tout à coup... Oui... La porte du hangar s'ouvre.
? : - Bordel Aaron tu vas bien ? !
Vous : - Je... Qui es-tu?
? : - Pas le temps de discuter, je vais te ramener chez moi! Mon Dieu tu es blessé !
Vous : - Comment tu m'as trouvé ? ...
? : - J'ai reçu un message me disant que tu étais là ! Allez viens, je vais t'aider à marcher !
L'homme, cheveux blonds, pas gros, pas musclé, plutôt normal, de votre âge visiblement, vous aide à marcher jusqu'à la sortie et vous amène à sa voiture.
Vous êtes silencieux pendant tout le trajet, le visage de la personne reste fermé, il vous regarde de temps en temps, son regard est entre la pitié et la sévérité.
Vous atteignez une maison recluse dans une propriété privée au niveau d'une forêt, la maison n'est pas très grande et la peinture un peu décrépie.
Il vous fait entrer, l'intérieur est plutôt sobre, en entrant il y a devant vous un long couloir, il vous fait passer la première porte à droite, menant à un petit salon, et vous installe sur un fauteuil, le seul qui paraisse potable par rapport aux autres qui semblent plutôt vieux, un salon plutôt basique, avec de la décoration plutôt basique, une télé plutôt récente, une petite table en bon état et un tas de meubles pour ranger un tas de bazar ainsi qu'un fusil accroché au mur, ça aurait pu être pire comme déco, c'est pas riche, c'est à peu près moyen pour un homme seul.
Il revient, vous applique de l'alcool et recoud vos blessures au niveau du visage.
Il s'occupe également de vos blessures à la jambe ainsi que celle au niveau de votre épaule, aussi étrange soit-elle selon lui, qui ne saurait expliquer lui-même ce qui vous a transpercé tant la blessure est étrange, les bords de votre chair étant étrangement irrégulier dans la blessure. Heureusement selon lui la blessure n'est pas grave et n'a pas touché l'articulation, heureusement, sinon vous perdiez l'usage de tout votre bras.
Vous discutez un peu, il vous raconte sa vie, il vous explique comment quelqu'un lui a envoyé un message attestant de votre présence et du fait que vous étiez blessé, de sa famille à lui, il vous raconte l'histoire assez tragique de sa famille qui est morte alors qu'il prenait ses 15 ans et de comment il doit vivre seul, travailler et se débrouiller pour les cours, son oncle venant le voir de temps en temps et lui prêtant l'habitation.
Il ne vous dit toujours pas qui il est, ce qui vous agace au point que vous lui redemandiez une dernière fois.
Celui-ci se lève,
? : - Moi? Tu ne sais pas qui je suis? Moi? Aaron? Je suis Florian, tu sais très bien qui je suis.
Il décroche le fusil du mur.
1) Transposer avec lui
2) Fuir
3) Tenter de le raisonner
4) Lui foncer dessus
Je vous laisse 30 minutes pour répondre, je clos les votes à 22h15, si pas de votes il arrivera ce qu'il arrivera. [Clos pour les gens de Noelfic]
TIME TO FIGHT
Ce n'est pas Henrietta qui vous vaincra ! Et vous le savez!
Vous n'avez pas le temps, vous courrez dans une direction aléatoire, de toute façon vous n'avez pas le choix, et vous faîtes quelque chose d'intelligent pour une fois...
Vous sortez votre téléphone portable et allumez la lampe torche, vous utilisez votre lampe torche pour transpercez l'ombre et la faites tourner autour de vous, vous voyez des ombres sortir de la lumière à toute vitesse à chaque fois, et vous voyez une sorte de petite salle, en hauteur, accessible via une échelle, permettant d'y monter, vous supposez que la lumière s'allume de là.
Vous tentez de courir vers là-bas mais quelque chose vous agrippe à la jambe, vous faisant tomber, vous lâchez votre téléphone qui tombe au sol, la lumière du téléphone éclaire la plafond..
Vous tentez de l'attraper mais celui-ci est frappé par quelque chose et envoyé valsé contre le mur, vous entendez le bruit d'un puissant fracas de verre.
Vous savez désormais que votre téléphone est foutu, mais vous arrivez encore à comprendre la location de la pièce que vous voulez rejoindre.
Vous frappez la chose qui vous retient de votre jambe, et celle-ci arrive à vous frapper, vous envoyant vous aussi valser, mais vous transposez avec elle, vous avez une coupure assez profonde au niveau du visage, mais cela ne vous stoppera pas, vous courrez au bout de la pièce où se trouve la salle, esquivant l'attaque de plusieurs monstres, jusqu'à ce que quelque chose d'autre arrive à vous frapper au niveau du visage, vous stoppant dans votre course, une deuxième coupure vient de toucher votre visage.
Vous ne comprenez pas ce qui vous attaque, le silence est présent, vous reprenez votre course effrénée quand vous sentez une présence devant vous, juste au niveau de l'échelle, un bruit de métal qui se déchire et... A TERRE !
Vous vous jetez au sol, évitant l'échelle qui venait d'être lancé en votre direction comme une vulgaire bouteille...
Bordel cette chose veut vraiment vous tuer !
Vous sentez la présence de ces choses mais... Quelle erreur, l'un d'entre eux à eu la stupide idée de vous attendre dans la salle, vous transposez avec lui dans la seconde et vous retrouvez dans cette petite salle.
Vous cherchez avec vos mains un peu partout jusqu'à sentir la boîte du compteur électrique, vous l'ouvrez d'un coup sec et...
Quelque chose vous transperce l'épaule...
Vous prenez sur vous, la douleur est intense, trop intense, vous arrivez à enclencher le disjoncteur, les lumières du hangar s'allume, plus rien ne vous transperce. Vous vous retournez, il n'y a rien, le hangar est vide, la lumière est étrangement pâle, d'un blanc pâle surnaturel.
Votre épaule vous fait souffrir, du sang coule de vos joues, votre jambe est elle aussi un peu griffée.
La chose qui vous attaqué n'était pas humaine, était-ce Henrietta? Était-ce la chose qui vous avez attaqué au lycée? Qui sait? L'auteur. Après tout l'important est que cette chose soit partie. Bon, votre téléphone est mort, vous êtes blessés, et la chose est partie, mais vous vous êtes battus, vous ne pouvez rien faire de mieux.
Vous êtes au milieu du hangar, vous tombez de fatigue, vous êtes blessés, au milieu d'un hangar, seul.
Mais tout à coup... Oui... La porte du hangar s'ouvre.
? : - Bordel Aaron tu vas bien ? !
Vous : - Je... Qui es-tu?
? : - Pas le temps de discuter, je vais te ramener chez moi! Mon Dieu tu es blessé !
Vous : - Comment tu m'as trouvé ? ...
? : - J'ai reçu un message me disant que tu étais là ! Allez viens, je vais t'aider à marcher !
L'homme, cheveux blonds, pas gros, pas musclé, plutôt normal, de votre âge visiblement, vous aide à marcher jusqu'à la sortie et vous amène à sa voiture.
Vous êtes silencieux pendant tout le trajet, le visage de la personne reste fermé, il vous regarde de temps en temps, son regard est entre la pitié et la sévérité.
Vous atteignez une maison recluse dans une propriété privée au niveau d'une forêt, la maison n'est pas très grande et la peinture un peu décrépie.
Il vous fait entrer, l'intérieur est plutôt sobre, en entrant il y a devant vous un long couloir, il vous fait passer la première porte à droite, menant à un petit salon, et vous installe sur un fauteuil, le seul qui paraisse potable par rapport aux autres qui semblent plutôt vieux, un salon plutôt basique, avec de la décoration plutôt basique, une télé plutôt récente, une petite table en bon état et un tas de meubles pour ranger un tas de bazar ainsi qu'un fusil accroché au mur, ça aurait pu être pire comme déco, c'est pas riche, c'est à peu près moyen pour un homme seul.
Il revient, vous applique de l'alcool et recoud vos blessures au niveau du visage.
Il s'occupe également de vos blessures à la jambe ainsi que celle au niveau de votre épaule, aussi étrange soit-elle selon lui, qui ne saurait expliquer lui-même ce qui vous a transpercé tant la blessure est étrange, les bords de votre chair étant étrangement irrégulier dans la blessure. Heureusement selon lui la blessure n'est pas grave et n'a pas touché l'articulation, heureusement, sinon vous perdiez l'usage de tout votre bras.
Vous discutez un peu, il vous raconte sa vie, il vous explique comment quelqu'un lui a envoyé un message attestant de votre présence et du fait que vous étiez blessé, de sa famille à lui, il vous raconte l'histoire assez tragique de sa famille qui est morte alors qu'il prenait ses 15 ans et de comment il doit vivre seul, travailler et se débrouiller pour les cours, son oncle venant le voir de temps en temps et lui prêtant l'habitation.
Il ne vous dit toujours pas qui il est, ce qui vous agace au point que vous lui redemandiez une dernière fois.
Celui-ci se lève,
? : - Moi? Tu ne sais pas qui je suis? Moi? Aaron? Je suis Florian, tu sais très bien qui je suis.
Il décroche le fusil du mur.
1) Transposer avec lui
2) Fuir
3) Tenter de le raisonner
4) Lui foncer dessus
Je vous laisse 30 minutes pour répondre, je clos les votes à 22h15, si pas de votes il arrivera ce qu'il arrivera. [Clos pour les gens de Noelfic]