Note de la fic :
Quand VOUS êtes un lycéen capable de transposition
Par : Ben_Aordur
Genre : Science-Fiction
Statut : C'est compliqué
Chapitre 12 : Le sourire d'ange
Publié le 17/10/2016 à 22:49:24 par Ben_Aordur
La 1)
La méchante madame Henrietta (Pour ne pas dire la salope, on pourrait me reprocher d'être vulgaire bordel), continue de vous frapper comme si vous êtiez un punching-ball vivant, sauf que vous n'êtes pas un punching-ball vivant, et quelle meilleure vengeance que... la tendresse?
Vous attrapez la main d'Henrietta qui essaie toujours de vous frapper, et la tirer sur vous, ce qui fait que celle-ci est directement allongée sur vous.
Celle-ci vous regarde avec une rage furieuse, puis elle commence à vous insulter de tous les noms.
Vous la retenez sur vous, histoire qu'elle évite de retenter de vous frapper, même si dans votre état vous faites difficilement le poids, elle finit finalement par se calmer.
- Excuse moi... Je m'emporte parfois, mais tu verrais à quel point ça me plait de voir dans cet état après ce que tu m'as fait...
- Je... rien... fait ... dîtes-vous avec tout le mal du monde
- Oui, bien évidemment, tu as simplement failli me tuer, ce n'est pas grave ahah.
Elle sourit d'un sourire narquois avant de continuer.
- On va partir d'ici. Tu vas partir d'ici. Et très vite. Je me moque de la manière mais tu vas te casser.
- Qu...
- Ferme la. Je te demande juste de partir. Rien de compliqué. Tu n'es pas encore assez ramolli pour ne pas comprendre n'est-ce pas?
Elle vous regarde avec un regard énervé et vous tentez de continuer à jouer sur la carte de la tendresse en lui attrapant sa main. Cela l'étonne, mais elle tire sur votre main pour vous tirer hors de votre lit.
- Aller debout, tu n'as pas vraiment le choix de toute façon.
Vous êtes par terre comme une sous-merde. Vous vous faites victimisés par une meuf qui vous suppliez de l'aider plus tôt, toutes des putes sauf maman.
Elle vous aide à vous relever... Ah non, elle fait semblant de vous aider pour mieux vous balancer par terre.
Au bout d'un moment la rage finit par vous prendre et vous transposez avec elle, cette conne se retrouve par terre mais ce changement soudain d'assis à levé vous fait tomber sur elle.
Évidemment, elle s'énerve, vous traite d'imbécile et de dégénéré mais rien que pour avoir le plaisir de lui foutre une baffe, vous êtes fiers de vous.
Vous vous relevez difficilement, vos jambes sont engourdies, votre crâne vous fait atrocement mal, tout votre corps semble pouvoir cédé à chacun de vos pas et votre mental n'en parlons pas, cette chienne commence déjà à en profiter pour le tailler à sa façon. Vous atteignez difficilement la porte.
Et... Tout ne se passe pas comme prévu....
Alors que vous passiez la porte de la chambre un flash vous apparaît et vous entrez en réalité dans un métro. Vous ne comprenez pas, vous êtes certains que vous n'avez pas transposé mais pourtant vous êtes là...
Le métro est vide, excepté un homme, qui vous regarde, un sourire au lèvres et le reste caché par l'ombre, non, le métro n'est pas éclairé, seul la lumière des stations qui passent au fur et à mesure des tunnels illumine son visage cachant ses yeux et tout le haut. Seul son horrible sourire apparaît.
Une claire envie de lui parler vous vient, peut-être pourra-t-il vous expliquez ou vous dire où vous allez.
1) Parler à l'homme
2) S'arrêter à la prochaine station et descendre
3) Agresser l'homme (On peut tout tenter après tout )
4) Tenter de transposer n'importe où (Mettez 4°1 si vous voulez que cette transposition se tente avec l'homme)
La méchante madame Henrietta (Pour ne pas dire la salope, on pourrait me reprocher d'être vulgaire bordel), continue de vous frapper comme si vous êtiez un punching-ball vivant, sauf que vous n'êtes pas un punching-ball vivant, et quelle meilleure vengeance que... la tendresse?
Vous attrapez la main d'Henrietta qui essaie toujours de vous frapper, et la tirer sur vous, ce qui fait que celle-ci est directement allongée sur vous.
Celle-ci vous regarde avec une rage furieuse, puis elle commence à vous insulter de tous les noms.
Vous la retenez sur vous, histoire qu'elle évite de retenter de vous frapper, même si dans votre état vous faites difficilement le poids, elle finit finalement par se calmer.
- Excuse moi... Je m'emporte parfois, mais tu verrais à quel point ça me plait de voir dans cet état après ce que tu m'as fait...
- Je... rien... fait ... dîtes-vous avec tout le mal du monde
- Oui, bien évidemment, tu as simplement failli me tuer, ce n'est pas grave ahah.
Elle sourit d'un sourire narquois avant de continuer.
- On va partir d'ici. Tu vas partir d'ici. Et très vite. Je me moque de la manière mais tu vas te casser.
- Qu...
- Ferme la. Je te demande juste de partir. Rien de compliqué. Tu n'es pas encore assez ramolli pour ne pas comprendre n'est-ce pas?
Elle vous regarde avec un regard énervé et vous tentez de continuer à jouer sur la carte de la tendresse en lui attrapant sa main. Cela l'étonne, mais elle tire sur votre main pour vous tirer hors de votre lit.
- Aller debout, tu n'as pas vraiment le choix de toute façon.
Vous êtes par terre comme une sous-merde. Vous vous faites victimisés par une meuf qui vous suppliez de l'aider plus tôt, toutes des putes sauf maman.
Elle vous aide à vous relever... Ah non, elle fait semblant de vous aider pour mieux vous balancer par terre.
Au bout d'un moment la rage finit par vous prendre et vous transposez avec elle, cette conne se retrouve par terre mais ce changement soudain d'assis à levé vous fait tomber sur elle.
Évidemment, elle s'énerve, vous traite d'imbécile et de dégénéré mais rien que pour avoir le plaisir de lui foutre une baffe, vous êtes fiers de vous.
Vous vous relevez difficilement, vos jambes sont engourdies, votre crâne vous fait atrocement mal, tout votre corps semble pouvoir cédé à chacun de vos pas et votre mental n'en parlons pas, cette chienne commence déjà à en profiter pour le tailler à sa façon. Vous atteignez difficilement la porte.
Et... Tout ne se passe pas comme prévu....
Alors que vous passiez la porte de la chambre un flash vous apparaît et vous entrez en réalité dans un métro. Vous ne comprenez pas, vous êtes certains que vous n'avez pas transposé mais pourtant vous êtes là...
Le métro est vide, excepté un homme, qui vous regarde, un sourire au lèvres et le reste caché par l'ombre, non, le métro n'est pas éclairé, seul la lumière des stations qui passent au fur et à mesure des tunnels illumine son visage cachant ses yeux et tout le haut. Seul son horrible sourire apparaît.
Une claire envie de lui parler vous vient, peut-être pourra-t-il vous expliquez ou vous dire où vous allez.
1) Parler à l'homme
2) S'arrêter à la prochaine station et descendre
3) Agresser l'homme (On peut tout tenter après tout )
4) Tenter de transposer n'importe où (Mettez 4°1 si vous voulez que cette transposition se tente avec l'homme)
Commentaires
- Sheyne
17/10/2016 à 23:27:31
Choix 4 direct !