Note de la fic : Non notée
Publié le 26/09/2016 à 23:09:19 par Barnaclus
Chapitre II
Arthur ouvrit la porte de son appartement ce dimanche-là, s'assied dans sa chaise africaine et se mit à songer. Il se demanda pourquoi le Mal et le Bien, le Mauvais et le Bon, étaient toujours en opposition, que ce soit dans son esprit ou dans celui du reste de la population, également capable de le juger. Dans son esprit, il s'agissait encore de « ce qui mérite d'être fait, le nécessaire », mais il savait au fond de lui que ça le dépassait. Pourtant, cette femme ne lui voulait pas de mal, mais il ne pouvait malheureusement pas la laisser s'enfuir après ce qu'elle avait vu. Elle l'avait supplié, tout comme l'autre, celui là-même qui gisait là sans vie sur le sol sec et rocheux du terrain vague, mais ses supplications ne la sauvèrent pas plus que lui, et son cœur finit par cesser de battre une fois sa gorge tranchée. Il arracha une dent à chaque cadavre, afin de garder un souvenir de ces moments exquis, puis se mit à creuser un trou afin de les cacher aux yeux de tous.
En voyant le corps nu de la jeune femme qu'il venait d'égorger, il fut tout de suite mû par des pensées sexuellement inavouables, et entreprit de violer son cadavre, que ce soit par son vagin, son anus, ou bien le trou béant parcourant sa trachée. Une fois son œuvre menée, il se dit qu'il avait eu une attitude sexiste, car n'avait violé que le cadavre de la femme. Bien qu’hétérosexuel, il se devait pour le principe de violer également l'homme qu'il avait éventré, et passa son pénis par son nombril, afin de le faire ressortir par l'anus, la cavité rectale étant plus souple dans ce sens.
Ces basses besognes achevées, il disposa les cadavres au fond de leur tombeau, recouvrit de terre, et rentra chez lui.
Quand ses yeux s’étaient posés sur l'homme ce soir là, seul à vivre dans le terrain vague, il avait ressenti une immense tristesse. Comment pouvait on vivre, ou survivre, abandonné de tous, sans argent, travail, amour ou même but dans la vie ?
Sa mission était de faire une bonne action, et de libérer cet homme. Il s'approcha de lui, avec son Opinel caché dans le dos, l'interpella afin qu'il se rapproche, et seulement une fois l'homme à portée de bras, son couteau frappa l'homme à de multiples reprises dans le bas du ventre et le foie. La dernière expression qu'il vit sur son visage raidi ne reflétait que l'horreur et la souffrance, sans doute à l'image de sa vie.
L'Humain est seul, et c'est là tout son drame, que ce soit dans l'espace ou sur terre, la solitude est la plus grande des petites morts. Il erre sans but, dérivant au grès des maladies, guerres, catastrophes naturelles, aléas divins. Si Dieu existe, il se doit de détester l'homme, de dégoût comme de jalousie. En effet, l'humain a pour seul atout la connaissance de sa futilité. Arthur venait de remplir ce vide existentiel, travailler à détruire la souffrance et l'errance, quel projet poétique !
Il s'était enfin accompli. Depuis l'adolescence, on lui promettait une vie adulte sereine, remplie d'enfants, d'amour, de travail stable, à travers l'incorporation au sein de la société et le respect des règles, mais il ne s'était jamais senti aussi vivant que maintenant. Son esprit était en éruption, capable d'imaginer des dizaines de fantasmes odieux, des odeurs de nourriture, des musiques et des visages à la fois, créant ainsi un magnifique carnaval détraqué, coloré et extatique dont il ne voulait jamais partir.
Arthur n'ayant plus de travail et n'ayant pas envie d'en chercher un dans les jours qui suivaient, il se lança dans un macabre brainstorming afin d'assouvir ses besoins de plus en plus malsains. Il songea tout d'abord à faire manger ses couilles à un pédophile, mais cela manquait à ses yeux de créativité. Après mûres réflexions, il théorisa enfin le supplice de la chandelle dans son esprit malade. L'opération consistait à endormir le dit pédophile (ou tout autre ordure méritant d'être châtré) à l'aide d'un mouchoir imbibé de formol ou d'un somnifère dissout au préalable dans une boisson ou nourriture, à ensuite l'attacher nu sur un lit parsemé de punaises, lui donner du viagra afin que sa verge se mette en érection, et enfin remplir son urètre d'alcool à 90° ou tout autre liquide inflammable. La dernière étape consistait naturellement à prendre une allumette et se délecter de ses hurlements et de l'odeur de sa chair brûlée. Petit plus : lui faire avaler de force ses propres testicules flambés à la fin de l'opération, et le laisser agoniser en le narguant habillé en fillette, dansant et chantant à ses côtés sur le générique de My Little Poney.
Arthur ouvrit la porte de son appartement ce dimanche-là, s'assied dans sa chaise africaine et se mit à songer. Il se demanda pourquoi le Mal et le Bien, le Mauvais et le Bon, étaient toujours en opposition, que ce soit dans son esprit ou dans celui du reste de la population, également capable de le juger. Dans son esprit, il s'agissait encore de « ce qui mérite d'être fait, le nécessaire », mais il savait au fond de lui que ça le dépassait. Pourtant, cette femme ne lui voulait pas de mal, mais il ne pouvait malheureusement pas la laisser s'enfuir après ce qu'elle avait vu. Elle l'avait supplié, tout comme l'autre, celui là-même qui gisait là sans vie sur le sol sec et rocheux du terrain vague, mais ses supplications ne la sauvèrent pas plus que lui, et son cœur finit par cesser de battre une fois sa gorge tranchée. Il arracha une dent à chaque cadavre, afin de garder un souvenir de ces moments exquis, puis se mit à creuser un trou afin de les cacher aux yeux de tous.
En voyant le corps nu de la jeune femme qu'il venait d'égorger, il fut tout de suite mû par des pensées sexuellement inavouables, et entreprit de violer son cadavre, que ce soit par son vagin, son anus, ou bien le trou béant parcourant sa trachée. Une fois son œuvre menée, il se dit qu'il avait eu une attitude sexiste, car n'avait violé que le cadavre de la femme. Bien qu’hétérosexuel, il se devait pour le principe de violer également l'homme qu'il avait éventré, et passa son pénis par son nombril, afin de le faire ressortir par l'anus, la cavité rectale étant plus souple dans ce sens.
Ces basses besognes achevées, il disposa les cadavres au fond de leur tombeau, recouvrit de terre, et rentra chez lui.
Quand ses yeux s’étaient posés sur l'homme ce soir là, seul à vivre dans le terrain vague, il avait ressenti une immense tristesse. Comment pouvait on vivre, ou survivre, abandonné de tous, sans argent, travail, amour ou même but dans la vie ?
Sa mission était de faire une bonne action, et de libérer cet homme. Il s'approcha de lui, avec son Opinel caché dans le dos, l'interpella afin qu'il se rapproche, et seulement une fois l'homme à portée de bras, son couteau frappa l'homme à de multiples reprises dans le bas du ventre et le foie. La dernière expression qu'il vit sur son visage raidi ne reflétait que l'horreur et la souffrance, sans doute à l'image de sa vie.
L'Humain est seul, et c'est là tout son drame, que ce soit dans l'espace ou sur terre, la solitude est la plus grande des petites morts. Il erre sans but, dérivant au grès des maladies, guerres, catastrophes naturelles, aléas divins. Si Dieu existe, il se doit de détester l'homme, de dégoût comme de jalousie. En effet, l'humain a pour seul atout la connaissance de sa futilité. Arthur venait de remplir ce vide existentiel, travailler à détruire la souffrance et l'errance, quel projet poétique !
Il s'était enfin accompli. Depuis l'adolescence, on lui promettait une vie adulte sereine, remplie d'enfants, d'amour, de travail stable, à travers l'incorporation au sein de la société et le respect des règles, mais il ne s'était jamais senti aussi vivant que maintenant. Son esprit était en éruption, capable d'imaginer des dizaines de fantasmes odieux, des odeurs de nourriture, des musiques et des visages à la fois, créant ainsi un magnifique carnaval détraqué, coloré et extatique dont il ne voulait jamais partir.
Arthur n'ayant plus de travail et n'ayant pas envie d'en chercher un dans les jours qui suivaient, il se lança dans un macabre brainstorming afin d'assouvir ses besoins de plus en plus malsains. Il songea tout d'abord à faire manger ses couilles à un pédophile, mais cela manquait à ses yeux de créativité. Après mûres réflexions, il théorisa enfin le supplice de la chandelle dans son esprit malade. L'opération consistait à endormir le dit pédophile (ou tout autre ordure méritant d'être châtré) à l'aide d'un mouchoir imbibé de formol ou d'un somnifère dissout au préalable dans une boisson ou nourriture, à ensuite l'attacher nu sur un lit parsemé de punaises, lui donner du viagra afin que sa verge se mette en érection, et enfin remplir son urètre d'alcool à 90° ou tout autre liquide inflammable. La dernière étape consistait naturellement à prendre une allumette et se délecter de ses hurlements et de l'odeur de sa chair brûlée. Petit plus : lui faire avaler de force ses propres testicules flambés à la fin de l'opération, et le laisser agoniser en le narguant habillé en fillette, dansant et chantant à ses côtés sur le générique de My Little Poney.