Note de la fic :
Publié le 15/10/2008 à 16:52:39 par DarkBidor
Chapitre I : Hitlerman VS Dr. Juif
C’était par un matin de printemps. Il faisait encore froid mais les après-midi devenaient de plus en plus chaudes, les jours de plus en plus longs. Dans les parcs, les arbres secs se couvraient de bourgeons et de petites feuilles. Ce matin-là, je n’avais guère le temps d’observer tout ça, car je m’étais levé en retard et je courais dans la rue pour arriver à l’heure au cours de science-éco. En arrivant à la station de métro, tout essoufflé, je chopais au passage un 20 minutes (vous savez, le quotidien gratuit).
Une dizaine de stations séparaient mon quartier de celui du lycée. Il y avait peu d’affluence dans la rame et je pus m’assoir confortablement sur une banquette. Déboutonnant mon manteau pour ne pas mourir de chaud, suite au petit sprint de tout à l’heure, j’aperçus la une du journal.
« Encore une banque cambriolée !
Un méfait de Docteur Juif ?»
Cela n’arrivait pas pour la première fois. En quelques jours, trois banques venaient d’être cambriolées, faisant souffler un vent de panique dans le monde de la finance. Lequel, ne sachant plus à quel sein se vouer, faisait du yoyo avec les cours de la bourse… A la cause de tout cela : d’après les médias, un individu isolé, qui déjouait les systèmes de sécurité les plus perfectionnés et s’introduisait dans les plus grandes banques du pays. Un certain Docteur Juif, ancien psychologue freudien reconverti dans le crime. La police ne parvenait pas à lui mettre la main dessus. Quand j’ai lu l’article à la une du journal, une vive intuition m’a saisi. Je venais juste de découvrir mes superpouvoirs (je vous raconterais plus tard en quelles circonstances) et de me trouver un assistant. Il était temps de les essayer. Un nouveau superhéros sortirait de l’ombre et déferait le voleur de banques.
En attendant, je devais aller en cours et réfléchir à un plan d’action.
Comme tout bon élève d’ES qui se respecte, je n’ai pas pu penser à quoi que ce soit pendant la classe d’économie, et encore moins en mathématiques. Heureusement, deux heures de philo venaient juste après. Pendant que le prof égrenait les caractéristiques de je ne sais quel dialogue platonicien rasoir, j’eus tout le loisir de concocter un plan d’action, que j’espérais pouvoir mettre sur pied cette nuit même.
Docteur Juif pouvait déjà compter ses abattis…
C’était par un matin de printemps. Il faisait encore froid mais les après-midi devenaient de plus en plus chaudes, les jours de plus en plus longs. Dans les parcs, les arbres secs se couvraient de bourgeons et de petites feuilles. Ce matin-là, je n’avais guère le temps d’observer tout ça, car je m’étais levé en retard et je courais dans la rue pour arriver à l’heure au cours de science-éco. En arrivant à la station de métro, tout essoufflé, je chopais au passage un 20 minutes (vous savez, le quotidien gratuit).
Une dizaine de stations séparaient mon quartier de celui du lycée. Il y avait peu d’affluence dans la rame et je pus m’assoir confortablement sur une banquette. Déboutonnant mon manteau pour ne pas mourir de chaud, suite au petit sprint de tout à l’heure, j’aperçus la une du journal.
« Encore une banque cambriolée !
Un méfait de Docteur Juif ?»
Cela n’arrivait pas pour la première fois. En quelques jours, trois banques venaient d’être cambriolées, faisant souffler un vent de panique dans le monde de la finance. Lequel, ne sachant plus à quel sein se vouer, faisait du yoyo avec les cours de la bourse… A la cause de tout cela : d’après les médias, un individu isolé, qui déjouait les systèmes de sécurité les plus perfectionnés et s’introduisait dans les plus grandes banques du pays. Un certain Docteur Juif, ancien psychologue freudien reconverti dans le crime. La police ne parvenait pas à lui mettre la main dessus. Quand j’ai lu l’article à la une du journal, une vive intuition m’a saisi. Je venais juste de découvrir mes superpouvoirs (je vous raconterais plus tard en quelles circonstances) et de me trouver un assistant. Il était temps de les essayer. Un nouveau superhéros sortirait de l’ombre et déferait le voleur de banques.
En attendant, je devais aller en cours et réfléchir à un plan d’action.
Comme tout bon élève d’ES qui se respecte, je n’ai pas pu penser à quoi que ce soit pendant la classe d’économie, et encore moins en mathématiques. Heureusement, deux heures de philo venaient juste après. Pendant que le prof égrenait les caractéristiques de je ne sais quel dialogue platonicien rasoir, j’eus tout le loisir de concocter un plan d’action, que j’espérais pouvoir mettre sur pied cette nuit même.
Docteur Juif pouvait déjà compter ses abattis…
Commentaires
- Pseudo supprimé
07/10/2009 à 21:23:33
Bien tes allusions racistes implicites
[au moindre faux pas explicite, j'invoque arbu ]