Note de la fic : :noel: :noel: :noel: :noel:

Ma cousine, une bombe


Par : Bay
Genre : Sentimental
Statut : C'est compliqué



Chapitre 26


Publié le 21/11/2009 à 22:48:55 par Bay

~~# Chapitre 25 #~~

Elle regardait alors mon pantalon quand elle vit la bosse, putain la honte ... elle alla se mettre sur le lit, puis me regardais, le regard qui voulait dire beaucoup de choses. Je m'approchais alors d'elle, en la regardant. Je commençais donc à monter sur elle, en lui faisant des bisous dans le cou.

Je sentais que ça lui faisait du bien, elle avait l'air de prendre du plaisir, était-ce là zone érogène ou elle était la plus sensible ? Je n'allais sans doute pas tarder à le savoir. Je descendais alors du cou pour lui faire des bisous sur le pied, les jambes. J'allais alors remonter un peu plus haut, quand elle me dis.

- Nan, pas tout de suite, prends moi la bouche d'abord.

Je m'exécutais alors, et je remontais pour lui refaire un baiser, et encore une fois quelques goutes sortirent toutes seuls de mon caleçon, j'suis émotif dis donc :fier: Après lui avoir embrassé les lèvres de manières sensuelles, je me redressais, la laissant allongée sur le lit pour me lever. Je commençais alors à enlever mes vieilles chausures, puis je la regardais.

- Ba alors, tu fous quoi ?
- Ba ... je sais pas
- Nan mais sérieux Vincent, ça va pas le faire si t'es comme ça toutes ta vie !!! Me dit-elle en se redressant .. Faut que tu te décoince, t'a pas compris ce que je veux là ?
- Si, j'en ai envie, mais tu sais c'est ma première fois, j'ai pas envie de te décevoir
- Et moi tu crois que je suis une pute comme tu l'a si bien dit tout à l'heure qui le fait tout le temps ? Ca sera juste ma 3ème fois là

Ah ça va, elle a un peu d'expérience, mais pas trop. Après qu'elle m'ai dit cela, je baissais mon pantalon, et enlevais mon t-shirt. J'étais alors torse nu devant elle, là devant cette fille pratiquement toute nue. Je bandais vraiment beaucoup, moi Z n'avais jamais été aussi gros, enfin je crois :noel: Je m'avançais alors vers elle, pour encore une fois l'embrasser, puis elle se levait, me disant de rester là sur le lit. Elle se mit alors a genoux, puis m'enleva mon caleçon lentement, quelques gouttes qui étaient restées sur le ZIZI :hap: jaillirent alors, mais elle ne le remarqua pas :( Elle pris alors mon pénis entre ses mains, puis commençais à le gigoter dans tous les sens :fou: Je n'aime pas trop ce genre de pratiques, je trouve pas ça respectueux pour la femme, ça fait trop porno, mais bon, c'est elle qui le fait, c'est elle qui le veut :noel:

Après quelques minutes d'intenses branlette, elle pris le Z dans sa bouche, et faisais des vas et viens à rythme régulier, OMG ça fais du bien :bave: Je crois que j'ai jamais ressenti quelques choses comme ça, cette fille est tellement bonne, comment j'ai fait pour pas le remarquer avant, et m'attirer des engueulades avec elle ... Je crois vraiment que je l'aime, voilà la conclusion que j'ai pu tirer quand elle avait mon Z dans la bouche, c'est autre chose qu'elle tirait elle :hap:

Je commençais donc à lui enlever sa serviette, je pu alors admirer sa forme parfaitement mince, sans l'être trop, avec ses seins de taille plutôt rondes et gros, suffisamment pour une meuf de 16 ans kwa. Je pris ses jambes pour les mettre sur mes épaules, et je lui inséra délicatement mon Z dans le vagin. Quelques cris de jouissement se firent entendre, et c'est avec délicatesse toujours que je faisais des allez retours dans cet environnement chaud et humides, elle venait de mouiller ( bien le ouf qui pénètre avant la mouille ? :noel: ) Après quelques allez et retour, je lachais la sauce, directement dans sa fouf', merde j'ai oublié de mettre une capote .. bon tant pis j'y penserais la prochaine fois.

Je me mis alors à côté d'elle ou plutôt contre elle, ses fesses collés contre moi. Si je venais pas de jouir, j'aurais une trick d'enfer. Je lui glissa alors ces quelques mots à l'oreille "Je t'aime, et je suis désolé pour ce qui c'est passé depuis le début", puis ne lui laissant pas le temps de répondre, je me levais, commençant à m'habiller, lui demandant ce qu'on pouvait faire rien que nous deux.


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