Note de la fic :
Publié le 26/07/2014 à 20:22:10 par AishwaryaRai
La porte s'ouvrit et c'était parti ! Edouard Cislak frappa le 1er rodeur directement au visage et celui-ci tomba. Il se débrouillait bien pour un vieillard
Puis Edouard se lança à l'attaque du 2e rodeur et lui enfonça sa canne dans l'oeil. Puis il eut le temps de la retirer pour frapper un 3è rodeur au visage !
Ces attaques nous permirent de prendre espoirs. Mon prof sorta du bus et se déchaina sur les autres rodeurs libérant la voie pour nous autres.
Nous descendimes tous du bus. Je reconnus l'endroit où nous étions arrivés, il s'agissait de Notre Dame de La garde. L'église qui se situe tout en haut de Marseille.
Qui aurait cru que je viendrais à l'Eglise pour une pareille occasion ?!
Will fut le premier à courir vers l'église suivi de Maxime et Alexandre. J'étais le 4è lorsque je vis le père de Marion se faire agripper par un rôdeur. Marion me supplia alors de l'aider.
Alexandre me disa de laisser tomber.
J'eus une seconde d'hésitation puis je décidai de secourir cet homme. Je me mis à foncer vers le rodeur et le poussa violemment au sol. Malheureusement dans ma course, je tombais avec lui et je fus sur le point de me faire mordre... Jusqu'à ce que le conducteur du bus me sauva la vie en lui jetant une pierre au visage !
Je n'eus guère le temps de le remercier, ni même d'être remercié par le père de Marion lorsque nous vîmes des rôdeurs entrer dans le bus... alors que les 4 cadres n'étaient pas encore sortis.
Nous entendions alors leurs cris de détresse mais il était déjà trop tard pour eux...
Edouard et mon prof nous rejoignirent et nous courions alors nous réfugier dans l'Eglise toujours poursuivis par les rôdeurs..
Dans la course, Edouard cislak trébucha et tomba. Mon prof nous cria de continuer et se retourna vers le vieil homme. Nous pensions qu'il allait secourir ce pauvre vieillard... mais il ramassa juste sa canne avant de nous rejoindre.
En me retournant, je vis Edouard se faire dévorer. J'ai alors ressenti une grande tristesse mais il n'était pas question de pleurer ma vie était en jeu.
Will, Maxime et Alexandre arrivèrent devant la porte lorsqu'elle s'ouvrit toute seule.
Un autre groupe était déjà présent ( 3 hommes et 2 femmes ) qui nous fit signe de nous dépêcher.
Marion, son père, le conducteur, mon prof et moi-même finirent par rentrer puis nous refermions la porte avant l'arrivée des rôdeurs...
Je me mis à alors à réaliser l'ampleur des événements qui venaient de se passer.
8 personnes étaient mortes sous mes yeux, j'ai failli y passer moi-même et j'ai vu mon prof laisser crever un homme qui n'a pas hésité à se sacrifier...
Je cogna alors mon prof contre la porte :
- Pourquoi avez-vous laisser mourir Edouard ? (">
- Il était trop tard pour lui...
- Pourtant, vous aviez le temps de ramasser sa canne
- Nous n'avons pas d'arme si ce n'est ce bâton... D'ailleurs
Il rendit le baton au conducteur du bus puis se tourna vers moi et me passa la canne :
- Si tu y tenais tant à ce vieillard, elle te sera utile
Je pris la canne toujours en colère mais je ne dis guère un mot...
Puis l'un des hommes du groupe s'approcha :
- Vous l'avez échappé belle...
Mon prof répondit :
- Merci de nous avoir sauvés. Moi je m'appelle Shane et vous ?
Sweet ?
Puis Edouard se lança à l'attaque du 2e rodeur et lui enfonça sa canne dans l'oeil. Puis il eut le temps de la retirer pour frapper un 3è rodeur au visage !
Ces attaques nous permirent de prendre espoirs. Mon prof sorta du bus et se déchaina sur les autres rodeurs libérant la voie pour nous autres.
Nous descendimes tous du bus. Je reconnus l'endroit où nous étions arrivés, il s'agissait de Notre Dame de La garde. L'église qui se situe tout en haut de Marseille.
Qui aurait cru que je viendrais à l'Eglise pour une pareille occasion ?!
Will fut le premier à courir vers l'église suivi de Maxime et Alexandre. J'étais le 4è lorsque je vis le père de Marion se faire agripper par un rôdeur. Marion me supplia alors de l'aider.
Alexandre me disa de laisser tomber.
J'eus une seconde d'hésitation puis je décidai de secourir cet homme. Je me mis à foncer vers le rodeur et le poussa violemment au sol. Malheureusement dans ma course, je tombais avec lui et je fus sur le point de me faire mordre... Jusqu'à ce que le conducteur du bus me sauva la vie en lui jetant une pierre au visage !
Je n'eus guère le temps de le remercier, ni même d'être remercié par le père de Marion lorsque nous vîmes des rôdeurs entrer dans le bus... alors que les 4 cadres n'étaient pas encore sortis.
Nous entendions alors leurs cris de détresse mais il était déjà trop tard pour eux...
Edouard et mon prof nous rejoignirent et nous courions alors nous réfugier dans l'Eglise toujours poursuivis par les rôdeurs..
Dans la course, Edouard cislak trébucha et tomba. Mon prof nous cria de continuer et se retourna vers le vieil homme. Nous pensions qu'il allait secourir ce pauvre vieillard... mais il ramassa juste sa canne avant de nous rejoindre.
En me retournant, je vis Edouard se faire dévorer. J'ai alors ressenti une grande tristesse mais il n'était pas question de pleurer ma vie était en jeu.
Will, Maxime et Alexandre arrivèrent devant la porte lorsqu'elle s'ouvrit toute seule.
Un autre groupe était déjà présent ( 3 hommes et 2 femmes ) qui nous fit signe de nous dépêcher.
Marion, son père, le conducteur, mon prof et moi-même finirent par rentrer puis nous refermions la porte avant l'arrivée des rôdeurs...
Je me mis à alors à réaliser l'ampleur des événements qui venaient de se passer.
8 personnes étaient mortes sous mes yeux, j'ai failli y passer moi-même et j'ai vu mon prof laisser crever un homme qui n'a pas hésité à se sacrifier...
Je cogna alors mon prof contre la porte :
- Pourquoi avez-vous laisser mourir Edouard ? (">
- Il était trop tard pour lui...
- Pourtant, vous aviez le temps de ramasser sa canne
- Nous n'avons pas d'arme si ce n'est ce bâton... D'ailleurs
Il rendit le baton au conducteur du bus puis se tourna vers moi et me passa la canne :
- Si tu y tenais tant à ce vieillard, elle te sera utile
Je pris la canne toujours en colère mais je ne dis guère un mot...
Puis l'un des hommes du groupe s'approcha :
- Vous l'avez échappé belle...
Mon prof répondit :
- Merci de nous avoir sauvés. Moi je m'appelle Shane et vous ?
Sweet ?