Note de la fic :
Publié le 18/06/2014 à 14:14:26 par LePatriarche
La 3)
Les choses se sont excellemment bien passées jusqu'à maintenant : le meurtre peu scrupuleux d'une femme innocente mais complice, l'assassinat net et sans bavure d'un connard de provocateur, qui plus est membre d'une puissante Confrérie, mais dorénavant, les choses se compliquent. En effet, la présence de votre soeur gâche un peu la fête, et pour jouir de votre victoire éclatante, il vous faut fuir.
Ainsi, la cagoule noir sur la tête, vous sortez péniblement de la maison en volant au passage quelques bijoux, histoire que les flics s'orientent sur un vol qui a mal tourné, puis votre soeur franchit la porte d'entrée. Cela n'a durée qu'une demi seconde, mais elle a vu votre cagoule...
Sans se préoccuper du sang en effusion sur le sol ou encore d'un cadavre disposé devant elle, Caroline ferme les yeux et prend son courage à deux mains pour rattraper l'enflure que vous êtes.
Ainsi, durant plusieurs minutes, votre soeur s'arrache comme une mort de faim à courir à vos trousses. Paradoxalement, le fait de vouloir orienter les flics vers de mauvaises pistes a été une perte de temps suffisante pour vous mettre dans la merde, bravo le génie.
La course est effrénée, les passants sont sous le choc de voir votre cagoule. Certains pensent à une caméra cachée, à un bal masqué assez étrange, ou encore à une fille qui course un assassin, vu que vos prouesses ne sont pas inconnues à ces citadins débiles, preuve que votre renommée n'est plus à faire
Des connards se dressent sur votre route pour vous emmerder, et d'un simple coup d'épaule, vous les propulsez à plusieurs mètres en entendant leurs hurlements de rage, c'est un pur bonheur. Malgré ces legers ralentissement, votre soeur s'essoufle et peine à vous rattraper, lorsque vous arrivez soudain à une petite ruelle deserte, un cul de sac. Derrière vous, Caroline est à bout, presque en pleurs.
Elle se jette sur vous sans remords, et très simplement, vous parez chacun de ces coups. Il est vrai que ces progrès sont considérable, mais les votres aussi, force surhumaine ou non, la puissance de votre anticipation lui rend impossible chaque mouvement. En lui saisissant les deux épaules avec force, vous la jetez sur un mur de manière assez sympathique
- Enfoiré !
-...
- La semaine dernière, ma meilleure amie a été tuée. J'ai promis de m'entrainer pour me défendre, ça fait une semaine que j'attend ce moment. Et là... Merde... J'en peux plus... J'veux mourir !!! S'il te plait, achève moi ! A quoi ça sert de vivre si on voit tout ceux à qui l'ont tient disparaitre l'un après l'autre.
Elle craque. Complètement. Ses pleurs se font de plus en plus intenses, devant votre regard perdue qui lui est impossible de reconnaitre. Vous marchez vers sa direction, très lentement, vous vous accroupissez, à quelques centimètres d'elle. D'un coup ferme et précis sur le nuque, elle s'évanouit. Mieux vaut la voir inconsciente que la voir pleurer
Vous jetez un oeil quelques temps sur les alentours, puis un type peut commun se dirige vers vous. Un grand colosse de 2,20m, le type de gars qui se perfectionne plusieurs heures dans une salle de musculation, le regard vide comme si son enfance avait été une succession de souffrances et d'echecs. D'un simple coup d'oeil, vous venez de résumer la vie de cet inconnu qui se rapproche d'un air livide.
Vous sortez plusieurs billets de 50 balles pour les foutre dans la poche de son calbut pour lui demander le service suivant : "Transporte là à l'hopital".
- Pourquoi faire ?
- Sinon je te pète les dents ?
- Ah ouais ? Un gringalet comme toi, pff. Ca me fait rire.
- Hey bâtard, respecte mon autorité !
- Quoi comment tu sais que j'suis un bâtard !! Tu vas me le payer !! (">
Ce mec court vers vous, ces puissants poings tentent de vous atteindre, une esquive suffit pour éviter le coup. Son poing a failli fissurer le mur, d'un regard avide de sang, il vous regarde. Il se déchaine pour pas grand chose, vous lui demandez un service poliment en lui filant de l'argent, et il trouve le moyen de chipoter, c'est affolant les fils de pute qui existent dans la nature...
Sans faire durer le combat, vous enchainez plusieurs coups dans son ventre, l'homme est à genoux, du sang coule légèrement de sa bouche, sa stupéfaction est totale :
- Comment... Un mec comme toi... Peut me faire mal.
- Je suis un super saiyen. Donc maintenant, transporte cette fille à l'hopital et tu aura le droit d'être mon lieutenant et d'apprendre à mes cotés, une brute déchainé dans ton genre pourra m'être utile.
Comme vous êtes un homme bon et chaleureux. Devant ce témoignage de sympathie, l'homme tousse, pleure, rit, s'enjaille. Selon lui, c'est la première fois que la vie lui fait un cadeau. Malgré sa défaite aussi rapide que prévisible, l'homme est sous le charme d'avoir trouvé quelqu'un qui compte sur lui, c'est une véritable revanche pour ce grand gaillard.
- Comme vous voulez chef !
- C'est mon jour de bonté aujourd'hui, tiens un autre billet de 50E J'aime quand on m'aime
- Une bénédiction pour moi qui suit au chomage, c'est la première étape vers la conquête d'une vie meilleure, merci de m'avoir donné une chance, MERCI CHEF PUTAIN !!!
Waouh, il est chelou. Finalement, il part transporté votre soeur, sans avoir ce qu'il se passe. Un allié complète ainsi vos rangs, votre démonstration de puissante et de gentillesse la subjuguée...
Soudain, des cris surviennent, d'une ruelle à proximité. Très étrange, cela provient visiblement d'une femme. Curieux et avide de sang, vous vous précipitez pour voir ce qu'il se passe : Une femme d'une trentaine d'année est là, en train de tabassé un homme dans la force de l'âge comme un gamin, c'est en réalité de lui que provienne les cris assez féminins. Ce sous homme réclame sa clémence, au sol, comme un chien en piteux état, c'est révoltant.
1) Comprendre ce qu'il se passe et trouver une solution grâce à vos capacités d'analyse ( expert psychologue spotted )
2) Buter cette gonzesse. Comment une femme peut-elle ainsi bafouer le sexe masculin ? :nonnon ( solidarité masculine spotted )
3) Buter ce connard. Comment un membre du sexe masculin se laisse t-il humilier de la sorte ? ( Vrai connard spotted )
4) Violer cette bonne femme pour lui apprendre les bonnes manières
5) Prendre un ciseau, couper les cheveux de la demoiselle et l'appareil génital du monsieur
Les choses se sont excellemment bien passées jusqu'à maintenant : le meurtre peu scrupuleux d'une femme innocente mais complice, l'assassinat net et sans bavure d'un connard de provocateur, qui plus est membre d'une puissante Confrérie, mais dorénavant, les choses se compliquent. En effet, la présence de votre soeur gâche un peu la fête, et pour jouir de votre victoire éclatante, il vous faut fuir.
Ainsi, la cagoule noir sur la tête, vous sortez péniblement de la maison en volant au passage quelques bijoux, histoire que les flics s'orientent sur un vol qui a mal tourné, puis votre soeur franchit la porte d'entrée. Cela n'a durée qu'une demi seconde, mais elle a vu votre cagoule...
Sans se préoccuper du sang en effusion sur le sol ou encore d'un cadavre disposé devant elle, Caroline ferme les yeux et prend son courage à deux mains pour rattraper l'enflure que vous êtes.
Ainsi, durant plusieurs minutes, votre soeur s'arrache comme une mort de faim à courir à vos trousses. Paradoxalement, le fait de vouloir orienter les flics vers de mauvaises pistes a été une perte de temps suffisante pour vous mettre dans la merde, bravo le génie.
La course est effrénée, les passants sont sous le choc de voir votre cagoule. Certains pensent à une caméra cachée, à un bal masqué assez étrange, ou encore à une fille qui course un assassin, vu que vos prouesses ne sont pas inconnues à ces citadins débiles, preuve que votre renommée n'est plus à faire
Des connards se dressent sur votre route pour vous emmerder, et d'un simple coup d'épaule, vous les propulsez à plusieurs mètres en entendant leurs hurlements de rage, c'est un pur bonheur. Malgré ces legers ralentissement, votre soeur s'essoufle et peine à vous rattraper, lorsque vous arrivez soudain à une petite ruelle deserte, un cul de sac. Derrière vous, Caroline est à bout, presque en pleurs.
Elle se jette sur vous sans remords, et très simplement, vous parez chacun de ces coups. Il est vrai que ces progrès sont considérable, mais les votres aussi, force surhumaine ou non, la puissance de votre anticipation lui rend impossible chaque mouvement. En lui saisissant les deux épaules avec force, vous la jetez sur un mur de manière assez sympathique
- Enfoiré !
-...
- La semaine dernière, ma meilleure amie a été tuée. J'ai promis de m'entrainer pour me défendre, ça fait une semaine que j'attend ce moment. Et là... Merde... J'en peux plus... J'veux mourir !!! S'il te plait, achève moi ! A quoi ça sert de vivre si on voit tout ceux à qui l'ont tient disparaitre l'un après l'autre.
Elle craque. Complètement. Ses pleurs se font de plus en plus intenses, devant votre regard perdue qui lui est impossible de reconnaitre. Vous marchez vers sa direction, très lentement, vous vous accroupissez, à quelques centimètres d'elle. D'un coup ferme et précis sur le nuque, elle s'évanouit. Mieux vaut la voir inconsciente que la voir pleurer
Vous jetez un oeil quelques temps sur les alentours, puis un type peut commun se dirige vers vous. Un grand colosse de 2,20m, le type de gars qui se perfectionne plusieurs heures dans une salle de musculation, le regard vide comme si son enfance avait été une succession de souffrances et d'echecs. D'un simple coup d'oeil, vous venez de résumer la vie de cet inconnu qui se rapproche d'un air livide.
Vous sortez plusieurs billets de 50 balles pour les foutre dans la poche de son calbut pour lui demander le service suivant : "Transporte là à l'hopital".
- Pourquoi faire ?
- Sinon je te pète les dents ?
- Ah ouais ? Un gringalet comme toi, pff. Ca me fait rire.
- Hey bâtard, respecte mon autorité !
- Quoi comment tu sais que j'suis un bâtard !! Tu vas me le payer !! (">
Ce mec court vers vous, ces puissants poings tentent de vous atteindre, une esquive suffit pour éviter le coup. Son poing a failli fissurer le mur, d'un regard avide de sang, il vous regarde. Il se déchaine pour pas grand chose, vous lui demandez un service poliment en lui filant de l'argent, et il trouve le moyen de chipoter, c'est affolant les fils de pute qui existent dans la nature...
Sans faire durer le combat, vous enchainez plusieurs coups dans son ventre, l'homme est à genoux, du sang coule légèrement de sa bouche, sa stupéfaction est totale :
- Comment... Un mec comme toi... Peut me faire mal.
- Je suis un super saiyen. Donc maintenant, transporte cette fille à l'hopital et tu aura le droit d'être mon lieutenant et d'apprendre à mes cotés, une brute déchainé dans ton genre pourra m'être utile.
Comme vous êtes un homme bon et chaleureux. Devant ce témoignage de sympathie, l'homme tousse, pleure, rit, s'enjaille. Selon lui, c'est la première fois que la vie lui fait un cadeau. Malgré sa défaite aussi rapide que prévisible, l'homme est sous le charme d'avoir trouvé quelqu'un qui compte sur lui, c'est une véritable revanche pour ce grand gaillard.
- Comme vous voulez chef !
- C'est mon jour de bonté aujourd'hui, tiens un autre billet de 50E J'aime quand on m'aime
- Une bénédiction pour moi qui suit au chomage, c'est la première étape vers la conquête d'une vie meilleure, merci de m'avoir donné une chance, MERCI CHEF PUTAIN !!!
Waouh, il est chelou. Finalement, il part transporté votre soeur, sans avoir ce qu'il se passe. Un allié complète ainsi vos rangs, votre démonstration de puissante et de gentillesse la subjuguée...
Soudain, des cris surviennent, d'une ruelle à proximité. Très étrange, cela provient visiblement d'une femme. Curieux et avide de sang, vous vous précipitez pour voir ce qu'il se passe : Une femme d'une trentaine d'année est là, en train de tabassé un homme dans la force de l'âge comme un gamin, c'est en réalité de lui que provienne les cris assez féminins. Ce sous homme réclame sa clémence, au sol, comme un chien en piteux état, c'est révoltant.
1) Comprendre ce qu'il se passe et trouver une solution grâce à vos capacités d'analyse ( expert psychologue spotted )
2) Buter cette gonzesse. Comment une femme peut-elle ainsi bafouer le sexe masculin ? :nonnon ( solidarité masculine spotted )
3) Buter ce connard. Comment un membre du sexe masculin se laisse t-il humilier de la sorte ? ( Vrai connard spotted )
4) Violer cette bonne femme pour lui apprendre les bonnes manières
5) Prendre un ciseau, couper les cheveux de la demoiselle et l'appareil génital du monsieur