Note de la fic :
Publié le 04/06/2014 à 19:43:13 par LePatriarche
La 1)
Bon le super entrainement de la mort attendra. Ce message suscite votre curiosité, et si le pire était arrivé ? Si des ravisseurs s'en prenait à elle ? Bah... Bah vous trouveriez une autre copine, assez logique.
Vous enclenchez la bagnole et démarrez en trombe, votre vitesse est largement au dessus de la limite autorisé, le trajet est marqué par des dépassements inutiles et dangereux, un énervement excessif auprès des autres usagers, des "enculés accélère" ou encore " Sors la tête de ton cul et mate le rétro ! ". C'est amusant la conduite pour passer ces nerfs selon vous, ce comportement de FDP notoire fait de vous un danger au volant.
Une fois chez Morgane, vous frappez. Une fois. Deux fois. Ça ouvre pas. Trois fois. Ça ouvre toujours pas. Coup de pied dans la porte. Ça ouvre pas. Coup de coude sur la poignet. Douleur au coude. Second high kick. Ça ouvre enfin grâce à votre persévérance.
- Heeeeeeyyyyyyyyooooooooooooooo j'suiiiiiiiiis reeeeeentrééééééééééééé !
Ah ok l'entrée pas du tout discrète. Vous attendez un peu, c'est sans doute un piège que l'on vous tend, et gardez sa concentration sur ce qui nous entoure est un aspect primordial de l'entrainement. Votre ouie, votre odorat, vos sens s'évéillent... Mais ça sert pas à grand chose en fait
Finalement un grand boom retentit sur votre crane, surement l'effet d'une batte de base-ball ou d'un violent coup de coude. Choc oblige, vous vous évanouissez en tombant la gueule la première, en plein sur le nez :" Aouuuch" lachez vous dans un dernier moment de conscience.
------------
Après plusieurs minutes de sommeil et une grosse baffe inattendu dans la gueule, vous ouvrez les yeux :
- Pourquoi j'suis attaché à une chaise ?
- On va juste régler quelques petits trucs, vous lança Morgane entrant dans le salon, les yeux remplies de crainte et de mépris à votre égard.
Soudain, monsieur Kronenbourg, son padre, débarque dans la pièce furibard et vous décoche une sale droite, puis une deuxième. C'est le Vésuve dans votre face, ses gros poings vous en mettent plein la tronche :
- Aiie bordel, s'écria son père après que vous l'ayez mordu à un bras comme un forcené !
- Attention papa !
- Il est enragé ce truc là, dit-il comme s'il regardait un chien avec un baton enfoncé dans l'anus.
Morgane s'approche, délicatement, sensuellement, sussure quelques mots à votre oreille, saisit votre portable, dans le but de supprimer toutes les photos compromettantes de son père.
- Tu m'as tendu un piège ! Et moi qui t'aimait Détache moi est j'oublie ce que tu viens de me faire
- Alors là n'y crois pas. Pour s'amuser un peu, on compte prendre quelques photos de toi hein, comme tu le fais si bien avec les gens que tu croises
- Merci de m'aider ma fille, tu fais un remarquable boulot.
Tout devient clair dorénavant. Votre professeur n'est rien d'autre qu'un pédophile qui vient de supprimer les preuves de ces actes répugnants, sa fille Morgane n'est autre que sa complice et vous annonce clairement avoir choisi son camp : Celui de sa famille.
- Donc tu cautionne les conneries de ton père ? Bordel
Et oui, vous auriez du buter cet enfoiré de salaud lorsque vous en aviez l'occasion ( bug up aux votants ), ligoté comme un spaghetti, impossible pour vous de bouger.
- Alors le jour de la rentrée, tu as montré mon zgueg à une jeune étudiante, aujourd'hui à moi de te rendre la pareille.
- Je peux assister à la scène papa ?
- Bien sur ma fille, touche le tant que tu le pourra si ça te fait plaisir, j'ai une revanche à prendre sur ce folaillon
D'un coup sec, le monsieur baisse sa braguette et vous présente "Chupa", ou comme monsieur Kronenbourg l'appelle "la friandise dont on raffole et qui excite les papilles gustatives".
- Fais bisou à Chupa.
La scène est juste épouvantable, pris en tenaille comme un rat, l'homme rapproche dangereusement son entrejambe de vous, en dansant avec les bras de manière ondulay ~ ~
De l'autre coté, Morgane filme la scène, un sourire diabolique aux lèvres. Vous comprenez dès lors pourquoi la jeune femme paraissait sensible à vos attitudes parfois étrange et flippantes, elle aurait pu être votre copine avec moins de timidité et de sournoiserie de sa part, la pute en vrai
- Morgane... T'es vraiment sur de ce que tu fais ?
- Arrête avec ça, je ne t'ai jamais aimé ! Retiens bien ça raclure de merde, y'a rien entre nous ! Dit-elle en étouffant presque un sanglot.
Et si elle était forcée d'une manière ou d'une autre par son père ? Ou alors est-elle simplement une salope comme dans les télé-réalité bidesque ?
1) Coup de boule dans les couilles puis prendre l'homme comme otage ( over risqué )
2) Partir sur un discours profondément sentimental et faire changer d'avis la demoiselle avec de puissants arguments.
3) Pretexter une crise cardiaque comme lors de votre première rencontre avec Morgane.
4) Leur montrer votre badge de police et faire flipper le prof à mort.
5) Crier comme un forcené et chier dans votre pantalon, les choses se régleront peut-être d'elle même
Bon le super entrainement de la mort attendra. Ce message suscite votre curiosité, et si le pire était arrivé ? Si des ravisseurs s'en prenait à elle ? Bah... Bah vous trouveriez une autre copine, assez logique.
Vous enclenchez la bagnole et démarrez en trombe, votre vitesse est largement au dessus de la limite autorisé, le trajet est marqué par des dépassements inutiles et dangereux, un énervement excessif auprès des autres usagers, des "enculés accélère" ou encore " Sors la tête de ton cul et mate le rétro ! ". C'est amusant la conduite pour passer ces nerfs selon vous, ce comportement de FDP notoire fait de vous un danger au volant.
Une fois chez Morgane, vous frappez. Une fois. Deux fois. Ça ouvre pas. Trois fois. Ça ouvre toujours pas. Coup de pied dans la porte. Ça ouvre pas. Coup de coude sur la poignet. Douleur au coude. Second high kick. Ça ouvre enfin grâce à votre persévérance.
- Heeeeeeyyyyyyyyooooooooooooooo j'suiiiiiiiiis reeeeeentrééééééééééééé !
Ah ok l'entrée pas du tout discrète. Vous attendez un peu, c'est sans doute un piège que l'on vous tend, et gardez sa concentration sur ce qui nous entoure est un aspect primordial de l'entrainement. Votre ouie, votre odorat, vos sens s'évéillent... Mais ça sert pas à grand chose en fait
Finalement un grand boom retentit sur votre crane, surement l'effet d'une batte de base-ball ou d'un violent coup de coude. Choc oblige, vous vous évanouissez en tombant la gueule la première, en plein sur le nez :" Aouuuch" lachez vous dans un dernier moment de conscience.
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Après plusieurs minutes de sommeil et une grosse baffe inattendu dans la gueule, vous ouvrez les yeux :
- Pourquoi j'suis attaché à une chaise ?
- On va juste régler quelques petits trucs, vous lança Morgane entrant dans le salon, les yeux remplies de crainte et de mépris à votre égard.
Soudain, monsieur Kronenbourg, son padre, débarque dans la pièce furibard et vous décoche une sale droite, puis une deuxième. C'est le Vésuve dans votre face, ses gros poings vous en mettent plein la tronche :
- Aiie bordel, s'écria son père après que vous l'ayez mordu à un bras comme un forcené !
- Attention papa !
- Il est enragé ce truc là, dit-il comme s'il regardait un chien avec un baton enfoncé dans l'anus.
Morgane s'approche, délicatement, sensuellement, sussure quelques mots à votre oreille, saisit votre portable, dans le but de supprimer toutes les photos compromettantes de son père.
- Tu m'as tendu un piège ! Et moi qui t'aimait Détache moi est j'oublie ce que tu viens de me faire
- Alors là n'y crois pas. Pour s'amuser un peu, on compte prendre quelques photos de toi hein, comme tu le fais si bien avec les gens que tu croises
- Merci de m'aider ma fille, tu fais un remarquable boulot.
Tout devient clair dorénavant. Votre professeur n'est rien d'autre qu'un pédophile qui vient de supprimer les preuves de ces actes répugnants, sa fille Morgane n'est autre que sa complice et vous annonce clairement avoir choisi son camp : Celui de sa famille.
- Donc tu cautionne les conneries de ton père ? Bordel
Et oui, vous auriez du buter cet enfoiré de salaud lorsque vous en aviez l'occasion ( bug up aux votants ), ligoté comme un spaghetti, impossible pour vous de bouger.
- Alors le jour de la rentrée, tu as montré mon zgueg à une jeune étudiante, aujourd'hui à moi de te rendre la pareille.
- Je peux assister à la scène papa ?
- Bien sur ma fille, touche le tant que tu le pourra si ça te fait plaisir, j'ai une revanche à prendre sur ce folaillon
D'un coup sec, le monsieur baisse sa braguette et vous présente "Chupa", ou comme monsieur Kronenbourg l'appelle "la friandise dont on raffole et qui excite les papilles gustatives".
- Fais bisou à Chupa.
La scène est juste épouvantable, pris en tenaille comme un rat, l'homme rapproche dangereusement son entrejambe de vous, en dansant avec les bras de manière ondulay ~ ~
De l'autre coté, Morgane filme la scène, un sourire diabolique aux lèvres. Vous comprenez dès lors pourquoi la jeune femme paraissait sensible à vos attitudes parfois étrange et flippantes, elle aurait pu être votre copine avec moins de timidité et de sournoiserie de sa part, la pute en vrai
- Morgane... T'es vraiment sur de ce que tu fais ?
- Arrête avec ça, je ne t'ai jamais aimé ! Retiens bien ça raclure de merde, y'a rien entre nous ! Dit-elle en étouffant presque un sanglot.
Et si elle était forcée d'une manière ou d'une autre par son père ? Ou alors est-elle simplement une salope comme dans les télé-réalité bidesque ?
1) Coup de boule dans les couilles puis prendre l'homme comme otage ( over risqué )
2) Partir sur un discours profondément sentimental et faire changer d'avis la demoiselle avec de puissants arguments.
3) Pretexter une crise cardiaque comme lors de votre première rencontre avec Morgane.
4) Leur montrer votre badge de police et faire flipper le prof à mort.
5) Crier comme un forcené et chier dans votre pantalon, les choses se régleront peut-être d'elle même