Note de la fic : 
Publié le 28/05/2014 à 22:06:18 par LePatriarche
La 2)
Suite à la détresse de la demoiselle, vous décidez de lui accorder quelques minutes, mais vraiment pas beaucoup, c'est pas tout ça mais votre cible Fabrice court toujours.
- Tu m'as fait quoi hier ?! Quand je me suis révéillé, j'etais allongée sur le prof ! Réponds moi !
- Dejà arrête de crier sinon ça va aller mal, deuxio y'a rien à dire, j'ai paniqué et bam.
- C'est pas une explication ça, allez j'attends.
- J'ai autre chose à foutre moi, prend rendez-vous et fait pas chier ! Lui dites vous avec rage en la poussant violemment contre une bagnole.
Pour retrouver le gout du risque, vous profitez de sa chute pour lui infliger une légère entaille aux chevilles avec votre couteau de cuisine fétiche, pour enfin partir et quitter les lieux avant que quiconque ne voit votre fétichisme du sang.
- Haaaa ça fait un mal de chien ! REVIENS ICI ON A PAS FINI DE CAUSER OLIVIER !
Vous laissez ses hurlements pour suivre Fabrice, à une quarantaine de mètres de là, marchant seul, pour rejoindre son arrêt de bus. Il ne vous a pas remarqué pour le moment, très bonne filature de votre part. En revanche, son bus arrive dans moins de deux minutes, il faudra agir assez vite, et heureusement pour vous, un chien vient tout juste de poser une pêche contre un muret, la chance est avec vous !
Ainsi, vous courrez discrètement dans son dos, de façon vive et précipité. Vous lui aggripez les cheveux, il n'a même pas le temps de se retourner pour voir son agresseur, vous commencez alors à le faire tomber, quand soudain, l'impensable arriva.
Le jeune homme vous saisit par le bras et retourne votre force contre vous, pour ensuite vous plaquez fermement contre le sol à l'aide de son genou disposé contre votre nuque. Le souffle court et la douleur intense, vous n'arrivez pas à réagir à sa contre-attaque.
- Ecoute moi bien sale gamin, t'as voulu jouer au malin avec moi tout à l'heure en salle de cours, telle un rageux tu as préféré tester ta force brute sur moi, mais manque de peau pour toi, j'ai aussi quelques compétences en baston, en plus de mon cerveau brillant.
- Ah ok le frimeur... Dites vous en toussant suite à la puissance etreinte de Fabrice.
- Ta gueule je parle. Où j'en étais ?... Ah oui, et mon père est un sacré sac à thune, nombreux sont ces ennemies, j'ai ainsi appris à me défendre malgré moi, et à ce que je vois, ça peut servir. Allez je te libère, casse toi, sors de ma vue.
D'une main, il vous relève en serrant votre nuque à l'aide de sa main, bordel que ça fait mal, la honte et la rage sont vos deux émotions principales à cet instant précis. D'un coup de pied au cul, il vous fait chuter au sol, une nouvelle fois, sous les yeux d'une petite foule qui s'amasse, l'humiliation suprême.
1) Sortir votre couteau et se jeter contre lui.
2) Lui demander d'intégrer votre bande, coup de pied dans les couilles si refus.
3) Rentrer chez vous pour mieux vous venger par la suite.
4) Aller voir Anthony, vous aurez certainement plus de chances avec lui.
5) Repartir voir Patricia histoire d'avoir une touche.
6) Discuter avec votre soeur, présente lors de votre scène de crime la veille pour la réconforter.
Suite à la détresse de la demoiselle, vous décidez de lui accorder quelques minutes, mais vraiment pas beaucoup, c'est pas tout ça mais votre cible Fabrice court toujours.
- Tu m'as fait quoi hier ?! Quand je me suis révéillé, j'etais allongée sur le prof ! Réponds moi !
- Dejà arrête de crier sinon ça va aller mal, deuxio y'a rien à dire, j'ai paniqué et bam.
- C'est pas une explication ça, allez j'attends.
- J'ai autre chose à foutre moi, prend rendez-vous et fait pas chier ! Lui dites vous avec rage en la poussant violemment contre une bagnole.
Pour retrouver le gout du risque, vous profitez de sa chute pour lui infliger une légère entaille aux chevilles avec votre couteau de cuisine fétiche, pour enfin partir et quitter les lieux avant que quiconque ne voit votre fétichisme du sang.
- Haaaa ça fait un mal de chien ! REVIENS ICI ON A PAS FINI DE CAUSER OLIVIER !
Vous laissez ses hurlements pour suivre Fabrice, à une quarantaine de mètres de là, marchant seul, pour rejoindre son arrêt de bus. Il ne vous a pas remarqué pour le moment, très bonne filature de votre part. En revanche, son bus arrive dans moins de deux minutes, il faudra agir assez vite, et heureusement pour vous, un chien vient tout juste de poser une pêche contre un muret, la chance est avec vous !
Ainsi, vous courrez discrètement dans son dos, de façon vive et précipité. Vous lui aggripez les cheveux, il n'a même pas le temps de se retourner pour voir son agresseur, vous commencez alors à le faire tomber, quand soudain, l'impensable arriva.
Le jeune homme vous saisit par le bras et retourne votre force contre vous, pour ensuite vous plaquez fermement contre le sol à l'aide de son genou disposé contre votre nuque. Le souffle court et la douleur intense, vous n'arrivez pas à réagir à sa contre-attaque.
- Ecoute moi bien sale gamin, t'as voulu jouer au malin avec moi tout à l'heure en salle de cours, telle un rageux tu as préféré tester ta force brute sur moi, mais manque de peau pour toi, j'ai aussi quelques compétences en baston, en plus de mon cerveau brillant.
- Ah ok le frimeur... Dites vous en toussant suite à la puissance etreinte de Fabrice.
- Ta gueule je parle. Où j'en étais ?... Ah oui, et mon père est un sacré sac à thune, nombreux sont ces ennemies, j'ai ainsi appris à me défendre malgré moi, et à ce que je vois, ça peut servir. Allez je te libère, casse toi, sors de ma vue.
D'une main, il vous relève en serrant votre nuque à l'aide de sa main, bordel que ça fait mal, la honte et la rage sont vos deux émotions principales à cet instant précis. D'un coup de pied au cul, il vous fait chuter au sol, une nouvelle fois, sous les yeux d'une petite foule qui s'amasse, l'humiliation suprême.
1) Sortir votre couteau et se jeter contre lui.
2) Lui demander d'intégrer votre bande, coup de pied dans les couilles si refus.
3) Rentrer chez vous pour mieux vous venger par la suite.
4) Aller voir Anthony, vous aurez certainement plus de chances avec lui.
5) Repartir voir Patricia histoire d'avoir une touche.
6) Discuter avec votre soeur, présente lors de votre scène de crime la veille pour la réconforter.