Note de la fic :
Quand VOUS êtes un lycéen tueur
Par : LePatriarche
Genre : Action, Nawak
Statut : Terminée
Chapitre 25
Publié le 28/05/2014 à 21:36:53 par LePatriarche
La 5)
- Monsieur, je demande l'exclusion de ces perturbateurs. Parlez comme ça a un de leur camarade c'est juste intolérable ! Dites vous outré par le manque de jugeotte du professeur.
Réfléchissant un court instant, certainement au message que vous lui avez laissé avant de partir la veille, le monsieur demande gentillement à Fabrice et Anthony de quitter la salle quelques temps.
- C'est comme ça monsieur, on se laisse faire par une piteuse autorité incompétente et vulgaire ? Cria Fabrice d'une manière scandaleuse, ce bâtard est prêt pour faire de la politique n'empeche.
Durant ce temps, Anthony agite fermement sa langue dans sa bouche, tout en disant d'une voix de vraie pétasse en chaleur :" Mmh, c'est bon, mmh miam, ça suce beaucoup". Le professeur, indigné et pris au dépourvue, laisse couler, entrainer finalement leurs exclusions. C'est un perfect !
La matinée se déroule une nouvelle fois sans accroc, demain sera plus difficile comme journée, vue qu'il y aura d'autres professeurs que votre beau beau-père ( car oui, le père de Morgane, votre conquête de la veille, est votre professeur principal. )
Tout en prenant la direction de votre maison afin de réfléchir à une nouvelle tactique de troll, vous êtes arrété dans votre route par une main. En vous retournant, ce n'est autre que Patricia, la jeune demoiselle dont le front a fait connaissance avec l'outil génital de Kronenbourg.
- On doit parler là , viens avec moi !
- Je t'écouterais quand tu ne seras pas habiller comme une pétasse brésilienne, donc jamais !
Elle tire votre bras, votre veste, votre jean de manière complètement malsaine dans le but de vous faire lacher prise.
1) Une balayette comme dans les films d'actions et au revoir.
2) Prendre en filature Fabrice et lui faire bouffer une crotte de chien.
3) Prendre en filature Anthony l'insulteur de maman et cogner sa tête contre un pare-brise.
4) Aller voir monsieur Kronenbourg et lui expliquer qu'il doit devenir votre lieutenant.
- Monsieur, je demande l'exclusion de ces perturbateurs. Parlez comme ça a un de leur camarade c'est juste intolérable ! Dites vous outré par le manque de jugeotte du professeur.
Réfléchissant un court instant, certainement au message que vous lui avez laissé avant de partir la veille, le monsieur demande gentillement à Fabrice et Anthony de quitter la salle quelques temps.
- C'est comme ça monsieur, on se laisse faire par une piteuse autorité incompétente et vulgaire ? Cria Fabrice d'une manière scandaleuse, ce bâtard est prêt pour faire de la politique n'empeche.
Durant ce temps, Anthony agite fermement sa langue dans sa bouche, tout en disant d'une voix de vraie pétasse en chaleur :" Mmh, c'est bon, mmh miam, ça suce beaucoup". Le professeur, indigné et pris au dépourvue, laisse couler, entrainer finalement leurs exclusions. C'est un perfect !
La matinée se déroule une nouvelle fois sans accroc, demain sera plus difficile comme journée, vue qu'il y aura d'autres professeurs que votre beau beau-père ( car oui, le père de Morgane, votre conquête de la veille, est votre professeur principal. )
Tout en prenant la direction de votre maison afin de réfléchir à une nouvelle tactique de troll, vous êtes arrété dans votre route par une main. En vous retournant, ce n'est autre que Patricia, la jeune demoiselle dont le front a fait connaissance avec l'outil génital de Kronenbourg.
- On doit parler là , viens avec moi !
- Je t'écouterais quand tu ne seras pas habiller comme une pétasse brésilienne, donc jamais !
Elle tire votre bras, votre veste, votre jean de manière complètement malsaine dans le but de vous faire lacher prise.
1) Une balayette comme dans les films d'actions et au revoir.
2) Prendre en filature Fabrice et lui faire bouffer une crotte de chien.
3) Prendre en filature Anthony l'insulteur de maman et cogner sa tête contre un pare-brise.
4) Aller voir monsieur Kronenbourg et lui expliquer qu'il doit devenir votre lieutenant.