Note de la fic :
Les prisonniers de l'île
Par : Camion2LaGalayr
Genre : Action, Science-Fiction
Statut : Abandonnée
Chapitre 55
Publié le 20/04/2014 à 14:31:51 par Camion2LaGalayr
Le soleil montais dans le ciel. L’abri dans lequel nous avons passé la nuit était de plus en plus petit derrière nous. Notre cadence de marche était importante, nos pauses rares. Devant nous apparaissait des collines. Quelques arbres poussaient sur ces excroissances de la terre. Des arbres massif et très hauts.
Plusieurs heures seront nécessaires pour y arrivé, peut-être même une journée. C'est là-bas que je comptais passer la nuit.
Les jours étaient si calmes. On n'entendais que le vent et quelques oiseaux. La température était redevenue agréable en milieu de journée.
Plus on approchait des collines et plus nous voyions de verdure à leurs pieds. J'étais pressé d'y arriver.
Les heures passèrent, les kilomètres aussi. Les collines nous paraissait de plus en plus massives. Elles étaient entièrement recouverte d'herbe à part à quelques endroit où la roche dépassait. La verdure vu plus tôt en bas était en fait un amas de buissons et de petits arbustes.
Le soleil commençait à descendre vert le sol quand nous sommes arrivés au niveau des buissons.
À peine nous nous sommes approchés qu'un lapin passa brièvement dans mon champ de vision. Je voyais le repas de ce soir courir dans les buissons.
Gelly et moi nous nous sommes séparés pour le retrouver. J'écartais les branches et feuillages avec ma lame et après quelques minutes de recherches, je suis tombé sur un trou.
« C'est bon ! J'ai trouvé son terrier ! » criais-je. Quelques secondes plus tard, Gelly arriva en courant.
« Je vais l'attraper ! m'assura t-elle.
_ Ok je te laisses faire, j'veux pas mettre ma main là dedans. »
Elle passa son bras dans le terrier, tâtonnant. Je devinais que son bras s'allongeait par les mouvements de sa peau. Quelques secondes à chercher avant qu'elle me dit qu'elle tenait quelque chose.
Elle retira rapidement son bras, arrachant le lapin à sa maison.
Elle le pris délicatement avec ses deux mains, elle lui a caressé le dos pour le calmer et soudainement, elle lui a brisé la nuque.
Cet acte cruel de cet être qui à l'air inoffensif et gentil me fit froid dans le dos
Suite à cela, nous nous apprêtions à gravir la colline quand, ne regardant pour où je mettais mes pieds, je suis tombé. En reprenant mes esprits, je cherchais ce qui avait causé ma chute. En arrachant quelques plantes, je suis tombé sur une vieille planche en bois, sur laquelle la mousse avait abondement poussé. Intrigué, j'ai commencé à chercher d'autres planches similaires sur le sol. Après quelques recherches, j'ai pu trouver non seulement d'autres objets en bois mais aussi des objets en métal comme des outils et un cadenas.
Quand j'ai voulu me retourner vers Gelly, elle avait disparue. Je tournais ma tête dans tous les sens dans l'espoir de la retrouvée quand je l'entendis qui m'interpella, un peu plus loin.
Je me suis dépêché de la rejoindre. Quand je suis arrivé là où elle était, elle me montra du doigt un énorme trou, bouché par ses blanches en bois, dans la colline.
Je devinais que cet endroit devait être une mine ou quelque chose de similaire et je devinais également qu'elle n'avait pas été fermée pour rien.
« T'en connais des raisons pour lesquelles ont fermerais des mines ?
_ Des araignées ou des draugr, je dirais .
_ Oh nan »
L'idée de dormir au dessus d'un tel endroit me mettait mal à l'aise mais il fallait malgré tout que nous gravissions la colline. En haut nous serions en sécurité.
Plusieurs heures seront nécessaires pour y arrivé, peut-être même une journée. C'est là-bas que je comptais passer la nuit.
Les jours étaient si calmes. On n'entendais que le vent et quelques oiseaux. La température était redevenue agréable en milieu de journée.
Plus on approchait des collines et plus nous voyions de verdure à leurs pieds. J'étais pressé d'y arriver.
Les heures passèrent, les kilomètres aussi. Les collines nous paraissait de plus en plus massives. Elles étaient entièrement recouverte d'herbe à part à quelques endroit où la roche dépassait. La verdure vu plus tôt en bas était en fait un amas de buissons et de petits arbustes.
Le soleil commençait à descendre vert le sol quand nous sommes arrivés au niveau des buissons.
À peine nous nous sommes approchés qu'un lapin passa brièvement dans mon champ de vision. Je voyais le repas de ce soir courir dans les buissons.
Gelly et moi nous nous sommes séparés pour le retrouver. J'écartais les branches et feuillages avec ma lame et après quelques minutes de recherches, je suis tombé sur un trou.
« C'est bon ! J'ai trouvé son terrier ! » criais-je. Quelques secondes plus tard, Gelly arriva en courant.
« Je vais l'attraper ! m'assura t-elle.
_ Ok je te laisses faire, j'veux pas mettre ma main là dedans. »
Elle passa son bras dans le terrier, tâtonnant. Je devinais que son bras s'allongeait par les mouvements de sa peau. Quelques secondes à chercher avant qu'elle me dit qu'elle tenait quelque chose.
Elle retira rapidement son bras, arrachant le lapin à sa maison.
Elle le pris délicatement avec ses deux mains, elle lui a caressé le dos pour le calmer et soudainement, elle lui a brisé la nuque.
Cet acte cruel de cet être qui à l'air inoffensif et gentil me fit froid dans le dos
Suite à cela, nous nous apprêtions à gravir la colline quand, ne regardant pour où je mettais mes pieds, je suis tombé. En reprenant mes esprits, je cherchais ce qui avait causé ma chute. En arrachant quelques plantes, je suis tombé sur une vieille planche en bois, sur laquelle la mousse avait abondement poussé. Intrigué, j'ai commencé à chercher d'autres planches similaires sur le sol. Après quelques recherches, j'ai pu trouver non seulement d'autres objets en bois mais aussi des objets en métal comme des outils et un cadenas.
Quand j'ai voulu me retourner vers Gelly, elle avait disparue. Je tournais ma tête dans tous les sens dans l'espoir de la retrouvée quand je l'entendis qui m'interpella, un peu plus loin.
Je me suis dépêché de la rejoindre. Quand je suis arrivé là où elle était, elle me montra du doigt un énorme trou, bouché par ses blanches en bois, dans la colline.
Je devinais que cet endroit devait être une mine ou quelque chose de similaire et je devinais également qu'elle n'avait pas été fermée pour rien.
« T'en connais des raisons pour lesquelles ont fermerais des mines ?
_ Des araignées ou des draugr, je dirais .
_ Oh nan »
L'idée de dormir au dessus d'un tel endroit me mettait mal à l'aise mais il fallait malgré tout que nous gravissions la colline. En haut nous serions en sécurité.